90 généraux et amiraux à la retraite appellent Austin et Milley à démissionner après le retrait « désastreux » de l’Afghanistan

Dans une lettre publiée lundi, près de 90 généraux et amiraux à la retraite ont appelé à la démission et à la retraite du secrétaire à la Défense Lloyd Austin et du président des chefs d'état-major, le général Mark Milley, pour leur contribution au « retrait désastreux » des forces américaines d'Afghanistan.

Le secrétaire à la Défense Lloyd J. Austin III et le général de l'armée Mark A. Milley, chef de l'état-major interarmées, témoignant devant la commission des crédits du Sénat, le 17 juin 2021.  (DoD Photo par Chad J. McNeeley) 

Les vétérans ont critiqué Austin et Milley pour « négligence dans l'exercice de leurs fonctions » concernant le retrait « désastreux » du président Joe Biden, qui a fait 13 morts parmi les militaires, et a laissé des centaines d'Américains et des milliers d'alliés afghans bloqués derrière les lignes ennemies suite à la prise du pouvoir par les talibans.

« La mort et la torture d'Afghans ont déjà commencé et déboucheront sur une tragédie humaine de grande ampleur. Le fait que des milliards de dollars d'équipements et de fournitures militaires de pointe soient tombés entre les mains de nos ennemis est une catastrophe. Les dommages causés à la réputation des États-Unis sont indescriptibles », dit la lettre. « Nous sommes maintenant perçus, et le serons pendant de longues années, comme un partenaire peu fiable dans tout accord ou opération multinationale. La confiance dans les États-Unis est irrémédiablement endommagée. »

La lettre affirme que s’il s’avère que les deux chefs militaires « n’ont pas fait tout ce qui était de leur compétence pour arrêter ce retrait précipité », alors ils doivent démissionner - mais que même s'ils l'ont fait et ne sont pas parvenus à « persuader le Chef des Armées/Président de ne pas partir précipitamment », ils doivent tout de même démissionner « en signe de protestation, pour des raisons de conscience et de messagepublic ».

Les militaires à la retraite ont également fustigé la politique frontalière de Biden, notant que le retrait précipité « enhardit » les terroristes du monde entier « à entrer librement dans notre pays par notre frontière ouverte avec le Mexique ».

« De plus, maintenant, nos adversaires sont enhardis à agir contre l'Amérique en raison de la faiblesse affichée en Afghanistan », poursuit la lettre. « C’est la Chine qui en profite le plus, suivie par la Russie, le Pakistan, l'Iran, la Corée du Nord et d'autres. »

Les vétérans ont également ponté du doigt les efforts récents de dirigeants militaires pour « mettre un accent obligatoire sur la formation liée au politiquement correct ‘woke’ », qui, selon eux, est « extrêmement clivante et nuisible à la cohésion des unités, à leur préparation et à leur capacité de combat ».

« Notre armée existe pour combattre et gagner les guerres de notre nation et cela doit être le seul objectif de nos principaux chefs militaires », lit-on dans la lettre.

« Pour ces raisons, nous appelons le SECDEF Austin et le CJCS général Milley à démissionner », poursuivi le texte. « Un principe fondamental dans l'armée est de tenir les chefs pour responsables de leurs actions ou inactions. Il doit y avoir une responsabilité à tous les niveaux pour cette débâcle tragique et évitable. »

Mardi matin, lorsqu'on lui a demandé comment l'administration Biden utiliserait la diplomatie pour évacuer les Américains encore bloqués en Afghanistan, l'attaché de presse du Pentagone, John Kirby, a déclaré: «Ce n'est pas complètement différent de la façon dont nous procédons ailleurs dans le monde. Je veux dire, nous avons tout le temps des Américains qui se retrouvent bloqués dans des pays. »

https://twitter.com/ArthurSchwartz/status/1432690847263477764?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1432690847263477764%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Famericanmilitarynews.com%2F2021%2F08%2F90-retired-generals-admirals-call-on-austin-milley-to-resign-following-disastrous-afghanistan-withdrawal%2F

source:https://americanmilitarynews.com/2021/08/90-retired-generals-admirals-call-on-austin-milley-to-resign-following-disastrous-afghanistan-withdrawal/

“Nous sommes des Hongrois, pas des idiots !”

Extrait de la conférence de presse de Péter Szijjártó au sujet de l’accueil des Afghans

Szijjártó, ministre des Affaires étrangères, sur la question de l’accueil des migrants extra-européens, a éclairé ceux qui auraient encore eu des doutes :

« Nous sommes des Hongrois, pas des idiots ! »

Péter Szijjártó : En ce qui concerne les Afghans, nous n’allons accepter aucune redistribution de réfugiés, la Hongrie ne participera à aucun mécanisme de répartition.

La Hongrie va exclusivement accueillir les Afghans qui ont servi dans les troupes hongroises. L’armée hongrois a une liste fermée d’Afghans qui ont été leurs camarades, dont la vie pourrait être en danger, nous avons décidé de les faire venir avec leurs familles. Mais personne d’autres ne viendra en dehors de cette liste.

Lorsque l’OTAN  a déclaré qu’il fallait se retirer d’Afghanistan, Szijjártó et plusieurs autres ministres des Affaires étrangères ont demandé :

1) Il faut faire tout le possible pour qu’après le retrait, l’Afghanistan ne devienne pas un repaire de terroristes.

2) Il faut tout mettre en œuvre pour empêcher une nouvelle vague migratoire massive vers l’Europe.

Il suffit de regarder une carte du monde pour comprendre ce qui va se passer. Comprendre que personne, aucun pays ne pourra stopper cette vague.

Depuis la Turquie, il n’y a qu’un saut pour arriver aux Balkans. Et de là, un pas vers la Croatie et la Hongrie. Le souvenir de 2015 est encore frais, et il faut se rappeler qui a suivi cette période, cette pression des foules de migrants illégales. Car certains pays ont inspiré, encouragé, favorisé que ces masses se mettent en marche vers l’Europe.

Le point de vue de la Hongrie n’a jamais changé: il faut empêcher les vagues de déferler, il faut empêcher l’arrivée des Afghans. Pour cette raison, nous ne participerons à aucun quota ou accueil obligatoire ou volontaire, nous aiderons exclusivement ceux qui nous ont aidés et l’affaire est close. Nous avons toujours été clairs à ce sujet.

 

En ce qui concerne la défense des frontières de l’UE :

Qui se souvient encore des réactions des pays européens, de l’UE, lorsque nous avons bâti en 2015 nos barrières à la frontière pour stopper les clandestins en 2015 ?

Il  a une raison pour laquelle plus personne ne s’en souvient. C’est que partout des clôtures se dressent aujourd’hui. La Pologne, la Lituanie, la Grèce... tout le monde trouve maintenant que c’est la bonne décision.

Nous n’attendons pas que les bureaucrates de Bruxelles ou les ministres des pays voisins encore en poste se souviennent, car c’est ça la politique. Mais ils pourraient s’excuser d’avoir qualifié les Hongrois d’une manière indécente, avec des termes dégradants. Ils pourraient reconnaître que avions raison.
Nous ne pouvons pas attendre des mots d’excuse, mais les faits sont les faits.

Et si, en 2015, Bruxelles n’avait pas été surtout préoccupé de harceler et de salir le gouvernement hongrois parce qu’il construisait cette clôture, mais avait été d’accord de faire le nécessaire avec nous pour stopper les vagues de migrants illégaux, nous ne serions pas face à de pareils problèmes aujourd’hui.

Bruxelles a oublié ses prises de position de 2015 sur la Hongrie, mais hélas, elle n’a pas oublié les quotas obligatoires de répartition des clandestins. Ils ont juste été rebaptisés « Pacte migratoire » ou « Répartition dynamique obligatoire des migrants »...

Mais nous sommes des Hongrois, pas des idiots, nous comprenons ce qu’il y a derrière ces bravoures grammaticales pour ne pas appeler un chat un chat.

Les quota des réinstallation obligatoire sont toujours à l’agenda de l’UE.

Pensons seulement à la masse que cela représente, à la foule des illégaux qui veulent débarquer. Ce ne sont pas seulement des migrants afghans. Il y a aussi toutes les régions de conflits extra-européennes, toute la région subsaharienne. De tous ces territoires ils partent massivement et se rajoutent aux vagues qui vont nous arriver dessus.

Et en plus, Bruxelles veut encore imposer des quotas !
Quelle sera la pression sur les frontières hongroises ?

Nous les Hongrois, nous parlons clairement. La clôture est en place, nous allons défendre nos frontières, personne ne pourra entrer illégalement.

 

Source: Szijjártó : « Nous sommes des Hongrois, pas des idiots ! » Le ministre des Affaires étrangères a éclairé ceux qui auraient encore eu des doutes.

Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

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Toute l’organisation de rapatriement de l'Afghanistan par l’armée hongroise a été impeccablement organisée et couronnée de succès.

En 7 jours, deux avions ont fait 14 trajets vers l’Azerbaïdjan, et actuellement les personnes exfiltrées sont toutes en sécurité, soit sur sol hongrois, soit parties vers l’Autriche ou les États-Unis.

Source : Magyarország élőben Benkő Tiborral (2021-08-26) - HÍR TV

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Ci-dessous, un recueil de caricatures illustrant parfaitement l’état d’esprit qui règne en Occident envers la Hongrie qui refuse l’invasion migratoire et ne veut pas se laisser islamiser.

Nos médias n’ont pas été en reste pour vilipender le gouvernement d'Orban et les clichés ci-dessous correspondent parfaitement à ce qu’ont véhiculé la RTS et la presse romande.

 

Orban le chien

La Hongrie nazie

Orban nazi

La Hongrie qui s’en met plein les poches

 

Orban le perdant (le président le mieux élu d’Europe)

 

La Hongrie n’a pas sa place dans l’UE !

Le modèle de la Hongrie est la Chine communiste

La vérité inversée à l’état pur !

 Image en avant:

Pour le reportage à diffuser dans les chaumières occidentales, les ONG et les journalistes sur place, d’entente avec les meneurs parmi les envahisseurs, mettent les enfants et les femmes en pleurs devant, alors que derrière eux, une foule d'hommes en âge militaire sont quatre fois plus nombreux et eux, ils ne pleurent pas...

L’islam prescrit que les femmes se tiennent trois pas derrière l’homme, mais visiblement, il y a des exceptions…

Comment les Suisses au cerveau endoctriné et au cœur mou vont-ils tenir face à ces images pendant les mois à venir?