Belgique : la Ligue des droits humains souhaite l’interdiction de la reconnaissance faciale par IA pour la police car cela renforce « la surveillance de groupes de personnes historiquement marginalisées et criminalisées »

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La Ligue des droits humains (LDH) et la Liga voor mensenrechten appellent vendredi dans un communiqué commun à une interdiction « pure et simple » de la reconnaissance faciale en temps réel en Belgique. Cette demande intervient à l’approche de l’entrée en vigueur, le 2 février, d’une partie de l’AI Act, une législation définissant les contours de l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans l’Union européenne.

L’association s’inquiète par ailleurs de la possibilité que la police poursuive un « fichage de la population » et renforce « la surveillance de groupes de personnes historiquement marginalisées et criminalisées ». « Il est (aussi) nécessaire de s’interroger sur les conséquences qu’auraient ces décisions dans le contexte d’un régime autoritaire », alors que « l’extrême-droite gagne du terrain ».

sudinfo.be

 

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3 commentaires

  1. Posté par Radar le

    Certaines personnes éprouvent le besoin de porter un masque lorsqu’elles sont en groupe. Non, ce ne sont pas les carnavaliers de Venise ni les nostalgiques de la Covid.

  2. Posté par Poilagratter le

    C est tout un chacun qui sera surveillé et criminalisé selon le plan de la dictature mafia mondialiste . Vive le crédit social à la Chinoise.

  3. Posté par antoine le

    Quels sont les critères concernant le contrôle d’un certain groupe de personnes ?
    « la surveillance de groupes de personnes historiquement marginalisées et criminalisées »
    – le trafic illicite (drogues)
    – la provenance des personnes qui participent à ces trafics ?
    – l’ethnie, la race ou la nationalité
    Il ne fait aucun doute dans l’esprit des forces de l’ordre que les personnes provenant de l’Ouest africain participent en majorité au deal de rue à Lausanne …
    Donc les fonctionnaires vont plutôt contrôler en premier ces ressortissants ! C’est une évidence !
    D’autre part, toutes les ONG, la municipalité et le conseil communal son complices depuis des lustres de cet état de fait !
    Si la police n’en fait pas trop, c’est qu’elle reçoit des ordres depuis en haut !
    Il suffit de se poser la question suivante : qui consomme quoi ?
    Si certaines personnes sont ”protégées” malgré leur trafic illicite, il y a bien des gens qui en profitent …

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