Ndlr. En tenant ce genre de propos, les Universités en question et sans doute aussi beaucoup d’autres dans bien des pays n’en disent-elles pas plus sur elles-mêmes que sur les menaces politiques de la prétendue “extrême droite”? Rappelons que même la présidente de l’Université de Harward aux U.S.A. a dû démissionner en étant accusée de wokisme, de progressisme, etc. Certaines Universités n’auraient-elles pas intérêt à revenir en priorité à leurs missions premières et en étant dirigées par des scientifiques très largement reconnus et exigeants?
Autriche. La présidente de la Conférence universitaire (uniko), qui regroupe les recteurs d’université, Brigitte Hütter attaque la formation du gouvernement réunissant les patriotes du FPÖ et les conservateurs/sociaux-chrétiens de l’ÖVP : « Une politique qui construit des forteresses, qui s'isole, qui méprise les droits de l'homme et qui ne considère pas l'Autriche comme faisant partie de l'Union européenne, signifie exactement le contraire de ce que les universités vivent et enseignent naturellement dans leur vie universitaire quotidienne. »
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