Ce déclin s'explique par la politique du Premier ministre italien Giorgia Meloni. Cela a permis de réduire le nombre de migrants traversant la Méditerranée.
Les choses bougent également en Suisse orientale. En Autriche, Herbert Kickl devrait devenir chancelier. Durant la campagne électorale, il a promis de faire de son pays une « forteresse autrichienne ».
Qu’est-ce que cela signifie pour la Suisse ?
Les personnes souhaitant immigrer en Suisse par la voie de l’asile pourraient bientôt connaître des difficultés plus grandes. En revanche, le gouvernement fédéral et son ministre des Réfugiés Beat Jans (SP) sont sous pression. S'il poursuit sa politique de laissez-faire, davantage de personnes pourraient tenter de venir en Suisse.
À l’heure actuelle, une partie de l’administration fédérale est toujours en vacances de Noël prolongées. Il serait important de réfléchir maintenant à la manière de réagir face au duo Kickl/Meloni.
Et vous, qu'en pensez vous ?