Aujourd'hui, 80% des assurés renoncent volontairement au libre choix du médecin afin d'économiser sur les primes. Les demandeurs d'asile et les bénéficiaires de l'aide sociale ne sont pas obligés de le faire, une position avantageuse par rapport à tous les autres.
Aujourd'hui, 80% des assurés renoncent volontairement au libre choix du médecin afin d'économiser sur les primes. Les demandeurs d'asile et les bénéficiaires de l'aide sociale ne sont pas obligés de le faire, une position avantageuse par rapport à tous les autres.
Doris Kleck / ch media
L'objectif? Bénéficier d'un rabais sur leurs primes. Parmi les systèmes alternatifs, on trouve par exemple le modèle du médecin de famille ou celui du conseil téléphonique dit Telmed.
Le conseiller national PLR Marcel Dobler l'assure:
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