Didier Calame est une des surprises de ces élections. Terre-à-terre, l'agriculteur neuchâtelois a raconté à Arcinfo comment il s'est lancé dans la course au Conseil national. Coup de fraîcheur garanti dans la Berne fédérale.
Keystone
Didier Calame est une des surprises de ces élections. Terre-à-terre, l'agriculteur neuchâtelois a raconté à Arcinfo comment il s'est lancé dans la course au Conseil national. Coup de fraîcheur garanti dans la Berne fédérale.
L'agriculteur de 50 ans, qui mène aussi une société de vidage et de curage, a «volé» le siège du popiste (NDLR Communiste) Denis de la Reussille, pourtant très populaire dans le Haut du canton. Un profil populaire rural qui remplace un profil populaire ouvrier.
Didier Calame. Keystone
Dider Calame a tout de suite séduit sur les ondes de la RTS, avec son caractère jovial et authentique. Le Neuchâtelois de 50 ans s'est très vite montré à l'aise malgré le direct de l'émission spéciale de la RTS, animée par Alexis Favre.
Extrait de: Source et auteur
C’est une belle surprise pour nos médias à la botte qui claironnaient que l’intégralité des politicards neuchâtelois avaient été réélus au 1er tour. A croire que l’illettrisme de nos SELISBOLFA médiatiques (socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) est aussi complémentaire à leur “esprit” bolchévique. REMPLACER UN GARS DU PARTI DU TRAVAIL, C’EST UNE EXCELLENTE PERFORMANCE qui mérite nos soutiens, surtout dans le canton de Neuchâtel, sinistré depuis longtemps à cause de ses gauches d’imposteurs. Il ne leur manquent que cette peste du soutien à l’écriture inclusive nommée Coline de Senarclens, journaliste de pacotille. Qu’attend-elle pour y déposer ses bagages.
Imposteurs, tant chez les écologistes que chez ces faux travailleurs du parti du travail, qui voudraient en plus nous gouverner sans avoir aucune expérience du réel, c’est-à-dire prêts à nous sacrifier même aux pires saloperies et traîtrises de connivences avec l’industrie de l’immigration de masse, juste pour garder le seul job qui leur sert d’alibi: politicards à vie, grâce à l’alcool et à la fumette. Rappelons-nous la Garbani à charge des contribuables genevois grâce aux combines de la Salerno, mais depuis planquée chez les socialistes à Vevey. Une ville devenue ville dortoirs de merde, démunies de la plupart de ses célèbres ex-industries en complotant avec les milieux de l’immobilier et du bétonnage. Alors qu’elle pratique la guérilla anti-automobile, toujours sous prétextes de mobilité douce, aussi douce que les drogues douces… https://www.generations-plus.ch/societe/valerie-garbani-en-insatiable-apprentie-2289 https://duckduckgo.com/?q=lesobservateurs.h+valerie+garbani