L’invité de la RTS, un sociologue français, interprète pour les gueux les émeutes à Lausanne

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Émeute à Lausanne Flon, 1er juillet 2023 RTS - Forum du 2 juillet

lien vers l'audio: Violences à Lausanne similaires à ce que traverse la FranceComment analyser cette vague de violences en France?
Interview de Jean Viard, sociologue. 5 min

résumé, commentaires en italiques: Carla Montet

Thibaut Schaller, journaliste RTS: La vague de violence qui embrase la France depuis plusieurs jours a atteint la Suisse, Hier, à Lausanne, une centaine de jeunes ont saccagé certains commerces. Nous essayerons de comprendre ce qui se joue au sein de cette jeunesse.

Renaud Malik: Lausanne a connu hier soir une vague de violence similaire à ce que la France traverse: vitrines cassées, affrontements avec la police. La police estime que l'événement fait écho aux émeutes en France. Si la casse est similaire, les revendications politiques semblent faire défaut?

Romain Carrupt, RTS: Oui, les déprédations au centre ville de Lausanne n'ont pas l'air d'être liées à du militantisme. Les appels au rassemblement sur les réseaux sociaux n'auraient pas mentionné la question d'éventuelles violences policières racistes, il n'y aurait en particulier aucun lien avec le récent acquittement des policiers lausannois dans l'affaire Mike Ben Peter, comme on aurait pu le penser avec le parallèle tiré entre les déprédations en Suisse et les émeutes en France, parallèle tiré par la Police lausannoise.

Renaud Malik: Néanmoins, la police a été attaquée, ciblée par des projectiles ?

Romain Carrupt: Oui, les cinquante agents mobilisés ont dû faire face à des jets de pavés et à un cocktail Molotov, mais c'était lorsqu'ils tentaient de disperser la centaine de jeunes à l'origine des débordements.
Aucune voiture et aucun poste de police n'a, sinon, été spécifiquement visé, comme c'est le cas par contre en France.

"aucun poste de police" ? A Lausanne il n'y a qu'un seul poste de police dans l'hypercentre où les émeutes se sont déroulées, en plus fermé hors des heures de bureau.
La ville a quatre milliards de dettes, un record d'assistés, de subventionnés, un record d'étrangers d'origine musulmane et d'Africains. Les élus sont très soucieux de féminiser des noms de rues,  travaillent pour la densification effrénée tout en visant le "zéro carbone 2035", dilapident de l'argent sans modération. La ville subventionne la fête du cinéma africain, de la danse africaine, de la cuisine africaine, Festival de la Cité 2023: la musique rap et africaine à gogo, etc.

Relevons encore la banalisation par des journalistes et leurs experts du jet d'un cocktail Molotov sur la police au Flon, alors qu'il s'agit d'un acte d'une extrême violence, d'une volonté claire de brûler vifs des policiers.


Heureusement les émeutiers de Lausanne ont raté leur cible.
Mais
combien y a-t-il de policiers en France qui sont tués chaque année durant leur service et que la bienpensance ignore, combien de blessés graves, d'handicapés à vie, dus aux différents agissements de la racaille?

 

Renaud Malik: Est-ce qu'on connaît les motivation de ces casseurs?

Romain Carrupt: Tout simplement, piller des magasins.

Selon P.-A. Hildbrand, municipal PLR chargé de la sécurité: "On est dans une délinquance sauvageonne. Rien ne justifie ces tentatives organisées de pillage de commerces en bande organisée... on a des gens qui s'organisent pour casser des vitrines et s'emparer de biens."

Romain Carrupt: Et cette lecture des événements est partagée par Toto Morand, le patron des magasins Pomp it Up. Les auteurs des infractions ont vu qu'en France, ses jeunes pouvaient obtenir des biens gratuitement, et ils s'en sont inspirés.

Cela expliquerait pourquoi ce sont des commerces populaires auprès des jeunes qui ont été visés et pourquoi on a trouvé un mineur à l'intérieur de la FNAC, une fois sa porte défoncée.

Et quand on parle de jeunes, on parle notamment de mineurs: parmi les sept personnes interpellées, trois garçons et trois filles n'avaient pas 18 ans.

Résumons. Une centaine de manifestants organisés, munis de cocktail Molotov, une cinquantaine d'agents déployés, et seuls six mineurs et un majeur interpellés. Est-ce que la police lausannoise a reçu elle aussi l'ordre de limiter les arrestations, comme en France?

***

Interview de Jean Viard, sociologue - Marseille

Renaud Malik RTS: Il y a cette contagion de la colère jusqu'à Lausanne, comment analysez-vous tout cela?

Jean Viard: Il y a le meurtre de ce garçon qui a profondément scandalisé, non seulement parce qu'il a été filmé, mais aussi parce que, comme souvent en France, la police avait d'abord menti, en disant ils étaient dans la voiture, on allait se faire écraser. Puis on s'est rendu compte qu'ils étaient sur le côté, etc.

Carla Montet: La vidéo qui concerne l'arrestation et le tir du policier sur Nahel a circulé depuis le début de l'affaire; il n'y a pas eu de mensonge possible de ce côté-là. Par contre, LES MÉDIAS ONT MENTI en racontant que le "petit ange" n'avait pas de casier judiciaire, alors qu'il était un délinquant avéré: trafic de drogue, conduite sans permis, avec de fausses plaques, refus d’obtempérer à répétition. (Appelé d'abord "un adolescent", puis Naël pour faire moins arabe...)
Le comportement d'un policier n'est qu'un prétexte dans ces émeutes: tout était mis en place pour l'explosion, tout comme aux USA en 2020, lors des émeutes "George Floyd", pour régner par le chaos.

 

Jean Viard: Il y a donc une omerta de la police qui la décrédibilise.
Après, je pense qu'il y a des mouvements de gens liés au  meurtre lui-même, des manifestations politiques, mais il y a aussi une logique de fête, une logique de monômes, une logique de pillage, qui est extrêmement forte.
Là, ce qui se passe en Suisse, c'est ce type de contagion structurée, qui se répand par les réseaux sociaux: "on va se faire la FNAC", on descend...
Il y a eu les gilets jaunes en France aussi. Il ne faut pas tout mélanger (sic!). Ils profitent d'une opportunité qui permet des pillages.
Ces pillards, pour moi, qui suis de Marseille, où il y a beaucoup de trafic de drogue, je pense que derrière, il y a des réseaux. En France, 200'000 jeunes y travaillent, ils sont très structurés.
À Marseille, ils ont pillé 400 boutiques, alors qu'ils n'étaient que quelques centaines. Il y a des gens qui profitent de la situation.
(La RTS et nos médias diffusent à répétition des avis de spécialistes qui prônent la libéralisation des drogues.)

Mais en même temps, visiblement, la police craint surtout un deuxième mort. Donc, ils préfèrent laisser piller les boutiques qu'aller à l'affrontement. Donc, peut-être c'est stratégique, parce que dans une telle situation, s'il y a un jeune qui meurt, ou un policier d'ailleurs (ah, ah, ah!), on ne sait plus où on va. Il vaut mieux laisser piller quelques boutiques, c'est dramatique de dire cela - mais le plus dangereux, ce serait un nouveau mort.

 

"Préférer laisser piller les boutiques qu'aller à l'affrontement", c'est faire payer aux innocents la lâcheté du pouvoir en place.
Viard pense que le problème vient du fait que la police a le droit de tirer sur les gens qui s'enfuient. En réalité, le problème est que le policier n'est pas autorisé à se servir de son arme d'une façon plus étendue pour stopper la racaille.
Des passants sont tabassés, des policiers reconnus par la racaille sont lynchés en bande, retrouvés entre la vie et la mort, des pompiers ou chauffeurs de camions qui ne faisaient que leur travail sont tabassés, des magasins pillés, des immeubles et des de véhicules incendiés en masse, et Viard pense que ces caïds qui ne respectent rien aspirent au dialogue? Faut-il rappeler au Sociologue que le rôle d'un gouvernement, c'est avant tout d'assurer la sécurité des personnes et de leurs biens, et non pas, par "stratégie", de les sacrifier pour une paix sociale très momentanée.

 

Renaud Malik: Vous disiez que le profil des émeutiers était très différent: d'un côté, il y a une colère légitime, la cocotte minute qui explose, et de l'autre il y a un effet d'opportunité.
Mais est-ce que cette violence n'est pas contre-productive quand on veut sensibiliser la population à la violence des autorités?

Jean Viard: Dans les quartiers populaires les gens sont consternés.
Ils apparaissent comme des pillards, alors qu'ils aimeraient qu'on discute. En France il y a un mort par mois sur les routes du fait que la police tire sur des gens qui fuient (JV appelle vaguement "fuite" le refus d’obtempérer). En Allemagne, il y a eu un mort sur dix ans. En France, il y a 25'000 personnes par an qui ne s'arrêtent pas quand la police le leur demande.

Depuis 2017, la police a le droit de tirer sur les gens qui s'enfuient.
Là il y a un problème législatif certain, - conclut le sociologue.

 

Carla Montet: Jean Viard  fait perdurer le mythe galvaudé par la gauche et son électorat : le "flic salaud qui tue gratuitement".

Néanmoins, les statistiques prouvent exactement le contraire.
Voir l'article:  Non la police française n’a pas la gâchette facile, suivi du commentaire  d'Anne-Claire Montellier :

Le 4 juillet 2020, Mélanie LÉMÉE, une jeune gendarme de 25 ans est percutée et tuée par le délinquant Yassine qui conduisait sans permis et a refusé d’obtempérer par deux fois.
Ce jour-là, c’est un ange qui est parti, un ange au service des autres et de la République. Il n’y a eu aucune émeute dans les villes de France, aucune minute de silence à l’Assemblée. Mais pour le voyou NAHEL, ce sont des incendies, des pillages, des saccages, des agressions d’élus. Honte à ce gouvernement de lâches toujours prêt à s’excuser devant les hors-la-loi et qui porte la responsabilité du chaos. Le voyou Nahel est mort “trop tôt”. 

En fait, si problème il y a, c'est tout le contraire de ce que Jean Viard avance. En effet, comment est-il possible qu'autant de personnes n'obéissent pas aux ordres de la police? Qu'est ce qui a causé ce profond discrédit, sinon un profond mépris de la police, des institutions par une catégorie de la population qui rejette tout ce qui représente la France et à fortiori, l'autorité ?

Par le fait que les journalistes accordent de facto une supériorité morale  aux gauchistes, ils reformatent notre réalité, ce qui empêche d'empoigner les réels problèmes qui viennent de l'immigration de masse incontrôlable et le mélange de civilisations incompatibles qui en résulte. En plus, les élites font croire que l'on peut acheter la paix sociale. C'est aussi le fonds de commerce de la gauche qui rackette la classe moyenne avec ses programmes socio-culturels, lui faisant payer les frais et des conséquences de l'invasion, des émeutes, et cohabiter avec des masses de migrants ou descendants de migrants inassimilables.

 

Jean Viard: Le fond du débat, c'est la place dans la société française des Arabo-musulmans. On n'a pas fini la guerre d'Algérie. Dans les "quartiers", qui sont en réalité des faubourgs, sont concentrées, se sont regroupées beaucoup des populations qui viennent d'Afrique.
En France, il y a 1 jeune sur 5 qui est d'origine maghrébine ou africaine. C'est une énorme communauté, en développement, qui fait beaucoup d'enfants, plus que les autres groupes sociaux, et qui au fond n'a pas de place. On dit "immigrés", mais on est immigré pendant combien de générations? Souvent c'est la troisième génération. Je préfère dire Arabo-musulmans, qu'ils soient réfugiés, immigrés ou descendants d'immigrés, ils ont la même culture.

Cette énorme jeunesse Arabo-musulmans, elle est, pour une partie, aussi diplômée de l'université que le reste de la jeunesse. En gros la moitié de ces jeunes s'intègrent normalement, font des études, deviennent médecins, chauffeurs. Une autre moitié reste dans les quartiers, soit parce qu'elle n'a pas travaillé à l'école du tout – on a 100'000 jeunes qui abandonnent l'école sans études – soit qu'ils vivent de trafic de drogue. Soit ce sont les derniers arrivés, avec une culture archaïque, de l'islamisme radical, etc., une vision de la femme totalement archaïque. C'est ça qui est en train de bouger.

La question, c'est: est-ce que la société française est capable un jour de dire: il y a une communauté arabo-musulmane, qui fait un Français sur cinq, qui sont Français?
C'est la France post-coloniale, ils viennent des anciennes colonies, ils ont appris le français dans leur pays. On n'est pas capable de ça. On fait comme s'ils allaient disparaître.

Et au fond les jeunes, là, ils nous disent: on va pas disparaître. Vous pouvez en tuer un de temps en temps, on ne disparaîtra pas.

 

Renaud Malik: Est-ce que la réponse des autorités est à la hauteur? Est-ce qu'une désescalade à long terme est envisageable?

Jean Viard: Pendant les Gilets jaunes, il y avait beaucoup de violences à Paris. On a changé le préfet de police et la police a fait de gros efforts: il n'y a plus eu de violences pendant les phénomènes des retraites. La tactique de la police a évolué, c'est la moindre des choses.

Les jeunes, il y en a qui sont contrôlés 10 fois par jour dans ces quartiers. C'est une guerre absolument infernale. Pourquoi est-ce qu'ils courent quand ils voient un policier? Parce que ça fait 10 fois qu'on leur demande leurs papiers. C'est une sorte de couvre-feu qui ne dit pas son nom. Je pense que les autorités n'acceptent pas l'idée qu'il y a cette communauté.

 

Carla Montet: Ce sont les autorités qui n'acceptent pas l'idée de "cette  communauté", ou bien la population Française qui n'en veut et n'en peut plus? Même de la part d'un journaliste romand, poser cette question serait taxé immédiatement raciste, une question de l'extrême droite.
Mais malgré cette répression féroce de la liberté d'expression, le peuple français a parlé à travers la cagnotte qui a réuni 1,5 million d’euros en faveur du policier inculpé dans l'affaire Nahel.

Nous avons parcouru les médias romands concernant ces émeutes. Soit les journalistes et leurs experts évitent de mettre en question l'immigration extra-européenne, soit ils dévient sur la critique de l'UDC, en l'accusant d'amalgames entre l'immigration et les émeutes, et parle de nationalités, alors que probablement, la plupart des jeunes sont nés en Suisse, ou viennent de Lausanne.

Bien entendu, la Gauche  n'est pas innocente dans le comportement désinhibé, et même violent, d'une certaine jeunesse, zadiste, Antifa,..., en cultivant la désobéissance civile, les discours anti-police, si bien qu'ils se considèrent au-dessus des lois.

Il y a une grande pression mentale sur la population pour faire croire qu'en France c'est une colère légitime qui explose, par défaut de ne pas avoir donné aux Arabo-musulmans la place qu'ils mériteraient.

En ce qui concerne les pronostics des "experts", ils  sont très rassurants concernant la Suisse, qui pratique le dialogue, des mesures antiracistes, et bat sa coulpe du Blanc coupable de son passé réécrit.
Les spécialistes affirment qu'en France, derrière les émeutes, il y a une revendication politique légitime.
A l'opposé - selon la doxa, - en Suisse ce n'est pas politique, il n'y a là  qu'un fantasme d'ado de se servir dans un magasin sans payer.

 

Jean Viard: Le président Macron a rêvé de développer les liens avec l'Algérie, il a rêvé de transformer Marseille, l'ancienne capitale coloniale. Le pouvoir algérien vit sur le souvenir de la colonisation, c'est ce qui lui permet de rester aux affaires. Macron a tenté une politique qui n'a pas marché, on est face à un vrai problème.

Et comme cette communauté fait plus d'enfants et se développe, si on ne veut pas aller vers un nouveau "récit" sur ce qu'est qu'être Français, ce problème on va l'avoir tous. L'Allemagne, qui a fait un énorme travail d'accueil des Syriens, a aussi cette question.
Il faut qu'on accepte en Europe de modifier nos récits nationaux. La période postcoloniale ne revient pas à avant la période coloniale. C'est une autre époque.
Peut-être que l'Angleterre a plus avancé avec ses réflexions sur la place des communautés: regardez le maire de Londres, le Premier ministre d'Écosse. En France, ce serait incroyable, des choses pareilles, or ce serait la moindre des choses.

Renaud Malik: Merci, Jean Viard, pour vos lumières.

https://www.rts.ch/audio-podcast/2023/audio/comment-analyser-cette-vague-de-violences-en-france-interview-de-jean-viard-26152407.html?id=26152407

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Aperçu des médias romands:

https://lecourrier.ch/2023/07/02/une-jeunesse-meprisee/

Le syndic socialiste Grégoire Junod: Je me désole qu’il puisse y avoir une instrumentalisation politique de ces événements.

Nicolas Bancel, professeur à l’Université de Lausanne: «Les jeunes des quartiers portent les stigmates de la colonisation»

Edito de Philippe Bach,Le Courrier: Les poursuites engagées contre Assa Traoré qui, avec beaucoup de courage, se bat pour que la mort de son frère Adama ne reste pas impunie, en sont une triste illustration. Cette question n’est pas réservée à la France. On songe aux Etats-Unis, avec l’affaire George Floyd. Mais le récent procès de l’affaire Mike Ben Peter laisse lui aussi un goût amer.

20min.ch: Alors que les scènes venues de France dénotent une violence sociale profonde, le théâtre lausannois semble témoigner d’une réalité différente. Le point au lendemain d’une nuit inédite.

L'UDC dénonce une gauche laxiste. Cette dernière réplique et regrette cette récupération politique

 

Voici quelques illustrations d'actes "politiques" et de "revendications légitimes" d'une jeunesse indignée par une bavure policière:

 

Le sociologue Jean Viard: [...] la police craint surtout une deuxième mort. Donc, ils préfèrent laisser piller les boutiques qu'aller à l'affrontement. Donc, peut-être c'est stratégique, parce que dans une telle situation, s'il y a un jeune qui meurt [...]

 

 

 

2 commentaires

  1. Posté par Jean-Luc Tuc le

    Franche approche d’Aldo; en appui Jean-Luc Tuc, si ce dernier ne fait mauvaise figure :
    Droits-de-l’Homme est une expression historique de Guerre “in-“civile ! Voir le sort de la Vendée pendant la Révolution ! À cette expression désastreuse, abêtissante, “nullocratre” (i.e. plus que tendanciellement “génocidaire”), nousdevonssubstituer méthodiquement la désignation de «libertés anthropoloqiques» ; ainsi distinguerons-nous les valables des «infoutus» se prétendant mieux que valables, hyper valides !

    «Made in France aktuel» reconnaît très officieusement de payer, et paer,et payer… pour son statut juridique de “dhimma” (loi d’urgence pour la réfection des «quartiers», Macron – Borne_stein*)… France confrontée à ses populations d’importation  : musulmanes, maghrébines, afro-musulmanes, bref à des affreux… devenant soudainement atroces parce que «Chez ces gens-là…» (Jacques-le-Brel), toute «justice» est tribale et doit satisfaire inconditionnellement à la loi du Talion. Ce que l’État “made in France” comprend parfaitement, s’empressant d’y satisfaire : Négation de la présomption d’innocence, transition de pouvoirs censés agir indépendamment, prévenu déclaré avoir agi de façon «inexcusable» – E. Macron dixit.

    *Les affaires sont promises à divaguer bon train et force profits pour la bourgeoisie qui vit déjà “à la sud-africaine”, dans des îlots de fraîcheur dûment protégés ! Le peuple (contribuable) peut donner encore ; cette mafia ne le lâchera pas tant qu’il ne s’avèrera moins-que-mort-vivant ! Aussi j’invite à la grève «unanimiste» de l’impôt —quand il est encore temps,— ici et point après-demain ! Nos illuminant démocrates à l’assemblée fédérale, au conseil national et dans chacun des cantons, districts, communes doivent s’expliquer : En effet, tout ce qui se passe en France, pour le meilleur comme pour le pire, est destiné à contaminer tout le monde blanc. Or, nous sommes aux frontières-qui-n’existent-plus… Par ailleurs, on nous impose les sanctions contre Moscou, le tout-à-l’égout ukrainien, après les millions de masques jetés dans des crématoires et des “flopées” de vaccins contreproductifs, des confinements destructeurs d’enfants et de travaux !… à présent, il s’agirait de s’abriter au moyen de quelque «french letter» ou quelque préservatif féminoïde, étant donné qui se trouve être à la manœuvre… otanesque !

  2. Posté par aldo le

    Ces discours “bonnes” consciences ne sont comme toujours, que dans l’occultation des réalités. Les casseurs en tout genre sont tout simplement des drogués et des dealers qui veulent faire pression sur la société pour bénéficier de toujours plus d’avantages de cadeaux “sociaux” donc de pressions fiscales au détriment des contribuables. Tout ces incendies à répétition que ce soit sur Genève au Lignon et ailleurs, à Bienne etc, portent l’étiquette de l’Afrique où mettre le feu fait partie de leurs cultures criminelles.

    La première intervention pour lutter contre ces criminalités qui servent de soutiens politiques et surtout économiques aux SELISBOLFA (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) c’est de ROMPRE TOTALEMENT AVEC LES DINGUES DE L’UE rss, et des DROITS DE L’HOMME PERVERTIS PAR LES MAFIAS SOROS & CO. De décréter l’ IMMIGRATION TOTALEMENT ILLÉGALE ET DE FAIRE PAYER LE CHEVAL DE TROIE CONSTITUÉ, PAR L’INVASION TRANS-FRONTALIÈRE, en gardant les sommes versées aux communes françaises, parce qu’on a aucun intérêt réel à ce que des entreprises françaises s’installent en Suisse pour exploiter son système politique et économique tout en utilisant que des français, une des causes de la SURPOPULATION. Ils n’ont qu’à renverser et juger leurs pervers comme Macron, Bernard-Henri Levy alias Botul. Idem pour la fiente Zelensky dont une partie importante des 80 millions d’habitants d’Ukraine encombrent et déstabilisent nos hôpitaux et les stocks de médicaments tous comme les Français, puisque Levrat descendant (arabo-?) des Levrak ou Levrar s’est fait remettre une Légion d’honneur par le Consulat de France pas pour rien! Autre priorité est de lutter contre les dégâts nocturnes dont les tag, pure culture de drogués venu aussi d’autres pays, qui impose ses merdes à toute la population, dans le style “La rue est à nous” prôné un avocaillon politicard et combinard dans l’immobilier et bien connu à gauche: Ferrazino.

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