Carla Montet: Les militants occidentaux de l'extrême gauche qui prétextent la cause climatique sont juste des marionnettes au service des ambitions d'un néocommunisme mondialiste, qui cherche en réalité un pouvoir transnational en Occident et une destruction des nations souveraines. C'est le même chant de la lutte finale, qui sévit depuis 1917.
Credit Suisse, qui était infiltré par des agents de ces puissances pour wokiser l'entreprise historique, vendait des chimères conformes aux critères "carbone planétaire", au lieu de se soucier en priorité d'efficacité et d'objectifs qui servent les intérêts de la banque.
De même, les idiots utiles endoctrinés dit "militants" qui ont été dirigés contre Credit Suisse prouvent que des puissances de l'ombre cherchent méthodiquement, pas à pas, à détruire la banque, comme toute concurrence qui les gêne.
Notons également que pour un État de droit, comme la Suisse prétend l'être, confisquer les biens d'une personne sur la base de sa nationalité, c'est se discréditer à jamais comme partenaire neutre et fiable.
La Suisse, en cherchant à plaire aux intérêts du deep state des USA, a perdu sur les deux tableaux: nous n'avons pas pu sauver notre économie et notre honneur en a pris un coup.
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RTS: La cause climatique ne justifie pas les actions entraînant des dégâts, juge le TF
Les dégâts avaient été commis le 13 octobre 2018 lors d'une "marche pour le climat". Deux ans et demi plus tard, la Cour de justice genevoise avait infligé une amende de 100 francs au militant pour dommages à la propriété. Elle justifiait cette clémence par le mobile honorable du condamné qui aurait aussi agi dans un "état de détresse profonde et de profond désarroi".
Dans un arrêt publié mercredi, le Tribunal fédéral admet le recours du Ministère public, annule la condamnation [...]
"Préoccupation respectable"
[...] Dans un Etat de droit comme la Suisse, qui offre de larges garanties en matière de droits politiques et de liberté d'expression, "de telles actions ne peuvent pas être justifiées par des idéaux politiques, aussi respectables soient-ils".
Appels à la désobéissance
La cour relève aussi que les appels à la désobéissance, lancés parfois lors des actions climatiques, peuvent remettre en cause la légitimité démocratique du droit. De tels appels ne peuvent pas être considérés comme l'expression de valeurs éthiques partagées par l'ensemble ou une majorité de la population.
[...]ats/fgn
Publié à 12:59 /3/5/23
article complet: https://www.rts.ch/info/regions/geneve/13993634-la-cause-climatique-ne-justifie-pas-les-actions-entrainant-des-degats-juge-le-tf.html
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Forum - 3/5/23 - extraits - foire aux débilités&propagande de gauche
La cause climatique justifie-t-elle les actions entraînant des dégâts?
Interview de Valérie Vuille, experte en questions d'égalité et directrice de l'association féministe genevoise DécadréE
Pour mieux fustiger la règle honnie du "masculin générique" (celle qui fait écrire "le camion et la voiture sont verts").
Valérie Vuille cite un grammairien du 18e siècle, Nicolas Beauzée, qui expliquait la règle ainsi: "Le masculin est réputé plus noble que le féminin à cause de la supériorité du mâle sur la femelle."
En réalité, cette règle (qui est plus ancienne) est une simple convention, sans contenu idéologique ni misogyne, et ce n’est pas cela qui peut influencer la place des femmes.
Sur la dérive du langage inclusif, Laure Lugon: La RTS cède au militantisme.
extrait: [...]«Le langage a le pouvoir de faire exister ce qu’il énonce», affirme en préambule le guide de langage inclusif à l’adresse de toutes les rédactions de la RTS. C’est vrai. Et c’est justement pour cela qu’il est dangereux de l’entraver. Car le journalisme n’a pas vocation à faire advenir de nouvelles réalités. Vouloir codifier le langage au nom des convictions, c’est codifier la pensée. [...]
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Voici le programme dont la RTS fait la publicité:
formation pour devenir une journaliste militante:
Extraits du site: - ATELIER -Journalisme événementiel
FORMATION Écriture inclusive et accessible
Une langue avec et pour chaque personne
Afin de vous familiariser avec l’écriture non-sexiste et accessible et l’intégrer à vos pratiques professionnelles, nous organisons un cours d’écriture incluant pratique et discussion. Cette formation est réalisée avec Vision positive, partenaire en matière de déficience visuelle.
Inscription Le 8 juin 2023 9h00-16h00 – Genève CHF 400.00
Info pratiques Objectifs
- Acquérir les outils pour développer une approche circonstanciée du langage non sexiste et des méthodes d’écriture et communication inclusive et FALC
- Assurer une cohérence rédactionnelle personnelle
- Assurer une accessibilité de son texte aux publics empêchés
Public cible: Métiers de la rédaction, de la communication et des ressources humaines, pour les administrations, les entreprises et les associations.
Intervenantes
Valérie Vuille Directrice
Experte en questions d’égalité, Valérie Vuille s’est spécialisée sur les questions de genre dans la communication et les médias. Formée en lettres avec un focus littérature et cinéma et en études genre, elle sollicite au quotidien ses connaissances pour former, sensibiliser et proposer des alternatives inclusives aux médias d’aujourd’hui. À l’aise avec les outils de gestion de projet et gestion associative, elle coordonne décadréE.
Pour l’institut, Valérie Vuille est également formatrice en écriture inclusive et visuels inclusifs et coordonne les projets concernant les problématiques de violences sexistes.
Écriture inclusive non-binaire
Pour une langue qui inclut au-delà de la binarité
Comment inclure toute personne, au-delà de la binarité femmes-hommes ? DécadréE collabore avec une personne experte et concernée pour organiser une formation sur la thématique, qui allie théorie, discussion et pratique.
Plus précisément, vous (ré)apprendrez des stratégies langagières cohérentes dans le but de visibiliser les personnes non binaires dont l’existence est effacée par la langue française.
Inscription
Vendredi 28 avril
Info pratiques
Objectifs
- Acquérir les outils pour écrire en incluant toute personne, indépendamment de son genre
- Comprendre les enjeux autour de l’écriture inclusive non-binaire
- Assurer une cohérence entre la langue et ses valeurs
- Distinguer le(s) choix le(s) plus pertinent(s) selon le contexte et les valeurs d’inclusivité que l’on veut promouvoir
Public cible
Métiers de la rédaction, de la communication et des ressources humaines, pour les administrations, les entreprises et les associations.
Intervenant-e-xs
Noémie Schorer Responsable de projets
Formée en sociologie et en études genre, Noémie Schorer est spécialisée sur les questions de normes sociales de genre et des discriminations multiples qui en découlent. Elle souhaite que toute personne y soit sensibilisée pour vivre dans une société plus inclusive et respectueuse.
A DécadréE, Noémie Schorer forme en communication inclusive (langage et visuel) et s’occupe du pan représentations des thématiques LGBTIQ+ du programme média. Au travers de projets, d’ateliers, de formations et de recherches, elle souhaite toucher différents publics pour des médias plus égalitaires.
Nyx Formateuricex partenaire, cheffex de projets Groupe Santé Genève
Chercheureuse dissidente, organisatorix de fêtes légendaires (GENEVEGAS), Djx flamboyant, poétesse hystérique, performeureuse en résistance et professeuse indignéx, le champ multiple de l’activisme et de la pratique artistique développés par Nyx -feu Nina Nana- ébranle les normes et les notions de genres et de productivité en posant jusqu’au Grand conseil de Genève la question: « peut-on être queer et prof » ?
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Céline Witschard Formatrice partenaire, directrice Vision Positive
Spécialiste en information accessible, ancienne journaliste et enseignante, Céline Witschard a fondé et dirige Vision Positive. Déficiente visuelle de naissance, elle combine expertise professionnelle et expérience personnelle du handicap.
Grâce à elle, vous découvrirez les différentes problématiques liées à l’accès à l’information par l’ensemble des publics. Pour une rédaction et des contenus 100% inclusifs.
Vous avez 🖤 nos formations
« Même si la route est longue, je pense que ça a fait bouger certains de nos collègues. »
Programme à la carte
10h-11h45 – Atelier: Journalisme Événementiel
L’atelier aborde les enjeux spécifique de la couverture d’événements lors de la préparation, de la rédaction et de la publication d’articles.
En savoir plus sur l’atelier « Journalisme Événementiel ».
12h-13h30 – Atelier: Édition web
La formation apporte les bases de l’édition d’articles pour le web et du référencement tout en adressant les enjeux liés à l’écriture inclusive sur le web.
Pour cet atelier, il est nécessaire de se munir d’un ordinateur. Si tu n’as pas d’ordinateur personnel, n’hésite pas à nous contacter et nous trouverons une solution.
En savoir plus sur l’atelier « édition web ».
15h-16h00 – Discussion: Parler du Care
Rencontre et discussion avec Anto, militante membre du groupe de travail sur le travail invisible de la Grève Féministe vaudoise, et Julie Bianchin, journaliste indépendante et responsable du Lab de décadréE, autour du traitement médiatique des thèmes du Care.
En savoir plus sur la discussion « Parler du care »
16h30-17h30 – Discussion: Parler des inégalités salariales
Discussion avec Katja Bergonzoli, chercheuse en économie politique à l’Université de Lausanne et membre de l’association Rare Voices in Economics, et Julie Bianchin, journaliste indépendante et responsable du Lab de décadréE.
En savoir plus sur la discussion « Parler des inégalités salariales »
Couvrir un évènement comme des pros
[...]S’inscrire : [email protected]
Cet atelier est proposé dans le cadre de la Mini rédaction 2023 du Lab (il reste des places): En savoir plus sur la Mini rédaction 2023
Samedi 20 mai Lausanne Prix libre
Info pratiques 10h-12h (à confirmer) Bénévolat Vaud: Avenue Louis-Ruchonnet 1
Intervenante - Julie Bianchin Responsable du Lab
Journaliste indépendante, Julie Bianchin s’intéresse tout particulièrement aux inégalités sociales et aux questions de genre.
Sa mission en tant que responsable du Lab de décadréE : transmettre sa passion pour son métier et pour le monde des médias.
Au travers de formations, d’ateliers, d’événements, du webzine et des soutiens aux projets, Julie Bianchin transmet les bases de son métier tout en déconstruisant les fonctionnements qui empêchent une représentation juste des personnes minorisées et en mettant un accent sur la création d’environnements bienveillants, inclusifs et ouverts à touxtes.
Correctif, le 3ème alinéa : Un combat suppose la présence d’adversaires; or nous n’avons pas d’adversaires mais des ennemis ! En ce sens, là où devrait opérer «le sens critique» dans le public et parmi les politiciens, les administrateurs, les professionnels de l’information, des hommes d’expérience et de savoir, le débat est a priori exclu ! Nos ennemis sont des hommes de foi, fort “dogmatiques” donc, et les gardiens d’un temple au sein duquel la transvaluation de toutes les valeurs ne saurait être exposés à simples manants : Qu’ils se satisfassent de nos raisons et explications !
Les synthèses et les prises de position limpides, solidement documentées et résolues de Mme C. Montet constituent un véritable stimulant. Les remarques ci-après ne la concernent donc aucunement, en tous cas sous leur aspect critique.
Quel est le sens du combat culturel que nous menons ? À moyen terme, il vise à faire l’économie d’une guerre incivile ou d’une tyrannie transnationale; à court terme, il s’agit de mobiliser un peuple en l’extrayant de sa léthargie et de sa propension à l’inertie. Autant dire que la tâche est immense si, comme je puis en faire l’expérience, nous prenons en compte la dévotion à «Sainte Trouille & Indifférence» de la plupart de nos contemporains, que vous inviteriez fort civilement à quelque discussion sérieuse, argumentée, raisonnée sur quelque thème ou objet que ce soit quelqu peu contrariant. .
Un combat suppose la présence d’adversaires; or nous n’avons pas d’adversaires mais des ennemis ! En ce sens, là où devrait opérer, dans le public et parmi les politiciens, les administrateurs, les professionnels de l’information, des hommes d’expérience et de savoir, le débat est a priori exclu ! Nos ennemis sont des hommes de foi, fort “dogmatiques” donc, et les gardiens d’un temple au sein duquel la transvaluation de toutes les valeurs ne saurait être exposés à de simples manants : Qu’ils se satisfassent de nos raisons et explications !
Le problème : Depuis que sont apparus des sites dits de réinformation afin de contourner, justement, l’exclusion du débat de la sphère publique, il est fort difficile de calculer au plus près l’impact de telles actions. Pour ma part, je pense que si nous réunissions tous ces sites, entre la Belgique, la France, la Romandie…, nous ferions l’amer constat qu’à eux tous ils atteignent bien moins du dix pour cent du public auquel ils s’adressent. Car, il ne s’agit pas seulement de susciter quelque intérêt ou curiosité, de temps à autre, mais une adhésion ; c’est à dire l’habitude de se référer à l’un ou l’autre de ces sites de réinformation comme à une référence, et “qu’on le sache…”
Là-dessus vient également se greffer la difficulté à se financer… qui en est véritablement une. Car l’effondrement du «niveau de vie» — qui en est encore à ses débuts, relativement à ce qui nous attend prochainement — et la précarité de l’emploi font que la plupart d’entre-nous doit calculer au plus près. Ainsi 1 Franc vaut bien 1 fr et non 10 ct. comme d’aucun pouvait encore en user, il y a une vingtaine d’années. Cet aspect de la question ne peut que s’aggraver, c’est certain.
La méthode : Par trop souvent, ces sites travaillent de manière réactive… et perdent un temps précieux à croire “devoir se justifier” : Non ! nous ne sommes pas ceci, pas cela mais… pourtant… et puis… Etc. Comme si nous ne voulions pas “prendre acte du fait” que les soupçons, voire accusations que nous subissons, “ce n’est point nous qui en décidons”, mais l’ennemi ! Alors, faut-il rendre les armes avant de défendre sciemment sa cause… parce qu’on pourrait croire que… ?!
Cette attitude n’est point pour attirer le public et d’autant plus qu’elle ne saurait éviter l’écueil consistant à justifier “par la bande” les soupçons répandus à notre égard. C’est ainsi que nous nous sommes vu “institutionnaliser” des monstres sémantiques et pratiques au prétexte d’imposer la non-discrimination”(ou confusionnisme), le thème médiéval de la Grande Égalisatrice (fort juste comme réaliste, dans le champ qu’il embrasse), enfin, que nous sommes sommés de travailler à l’ «accroissement du désert» (selon F. Nietzsche).
Les moyens de sortir de ces impasses peuvent être communiquées directement aux différentes Rédactions