7.12.2022 - Selon une étude, George Soros pourrait influencer les médias mondiaux grâce à ses liens avec au moins 253 organisations, rapporte Fox News.
MRC Business, qui appartient au centre de recherche conservateur Media Research Center, a découvert que Soros utilise ses organisations caritatives pour établir des relations avec des organes de presse et des organisations de "médias militants".
"Les groupes de journalistes soutenus par Soros sont capables de façonner l'opinion publique sur pratiquement tous les continents et dans de nombreuses langues. Ils le mettent également à l'abri des enquêtes, car les journalistes le considèrent comme un allié plutôt que comme une cible à surveiller", écrivent Joseph Vazquez et Daniel Schneider, analystes commerciaux chez MRC.
Les millions de dollars déployés par ce philanthrope de 92 ans pour promouvoir son étrange programme de "société ouverte" soutiennent les idées de gauche les plus radicales en matière d'avortement, d'économie marxiste, d'anti-américanisme, de réduction des effectifs de police, d'extrémisme environnemental et de sectarisme LGBT", poursuivent-ils. "Aux États-Unis, Soros est connu pour son soutien massif aux politiques et aux politiciens de gauche. Depuis l'élection de 2016, il a dépensé au moins 200 millions de dollars pour soutenir des candidats politiques, dont 29 millions de dollars donné à des procureurs locaux et procureurs de district".
Soros a été le plus grand donateur des Démocrates lors des élections de mi-mandat, mais selon MRC Business, il s'agit d'"une goutte d'eau dans la mer par rapport aux plus de 32 milliards injectés dans les fondations Open Society (OSF) depuis 1984 pour façonner les politiques au niveau mondial."
Soros est associé au Marshall Project, au Disinformation Governance Board de l'administration Biden, aujourd'hui disparu, au Project Syndicate, à openDemocracy (basée au Royaume-Uni), à l'International Fact-Checking Network du Poynter Institute, à NPR, à ProPublica, à la Free Press, à une "litanie de groupes militants de gauche" et à de nombreuses autres organisations.
Bon nombre des publications financées par Soros sont considérées comme une source d'information par les Big Tech et d'autres journalistes, tandis que d’autres en reprennent carrément les thèmes militants.
De nombreuses publications financées par Soros sont peu connues mais très influentes, comme Project Syndicate, qui a un lectorat dans 156 pays et 66 langues, selon le MRC.
"Il est facile de critiquer les politiques de Soros. Mais c'est un investisseur avisé - que ce soit pour faire de l'argent ou pour promouvoir son programme", écrivent Vazquez et Schneider. "Le type d'utopie de gauche qui constitue la base de la propagande alimentée par les organisations médiatiques avec l'argent de Soros se répand depuis des décennies."
Le MRC estime que les caractéristiques de la "société ouverte" de Soros comprennent la gouvernance mondiale, l'ouverture des frontières et l'agitation politique, et qu'il fait régulièrement des dons importants à des groupes qui se consacrent à "briser" l'exceptionnalisme américain et le capitalisme.
"Oui, un homme qui a gagné des dizaines de milliards de dollars grâce au capitalisme considère celui-ci comme une menace", écrivent Vazquez et Schneider.
Brent Bozell, fondateur du Media Research Center, est apparu sur "Fox News @ Night" lundi pour discuter d'un examen approfondi des connexions médiatiques de Soros.
"Nous sommes à l'ère de l'information, la gauche l'a compris... nous avons juste regardé Soros. Au cours des trois dernières années, je crois, il a financé 253 organisations médiatiques dans le monde entier", a dit Bozell. "Partout où on regarde... si on regarde l'Institut Poynter, un grand institut de fact-checking, il est financé par George Soros. Si vous cherchez quelque chose sur Google, vous obtenez immédiatement Wikipédia, qui est financée par George Soros ?"
Bozell estime que Soros est un "homme dangereux", mais qu'il a le droit de dépenser son argent comme il l'entend.
"Voilà à quel point cet homme est ambitieux", a déclaré Bozell. "Il veut détruire les fondements de la civilisation occidentale, et c'est à cela qu'il consacre les 36 milliards de dollars qu'il dépense. Cet homme est sérieux, il a une mission."
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Soros déclare la guerre à l’essence
7.12.2022
Un groupe lié à la Maison Blanche et soutenu par George Soros mène une guerre en coulisses contre l'essence, écrit le groupe Firewall dans son dernier billet.
Selon cette source, Governing for Impact (GFI) est un groupe secret, financé par George Soros, qui a conseillé l'administration Biden, notamment en publiant un mémo à l'intention des décideurs politiques sur la réduction de la consommation d'essence.
Selon le mémo de GFI, la loi sur la qualité de l'air donne à l'Agence de protection de l'environnement (EPA) le pouvoir de contrôler, voire d'interdire, la vente de tout carburant automobile. Le mémo soutient également que l'agence peut exiger des stations d'essence qu'elles construisent sur leur propriété des bornes de recharge pour véhicules électriques.
En vertu de ce pouvoir, des règles plus strictes sur les carburants des véhicules, telles que l'obligation pour certaines stations-service ou marques nationales de construire des infrastructures de recharge des véhicules électriques, pourraient réduire la pollution atmosphérique mortelle, poursuit le mémo.
Le prix de l'essence est resté élevé tout au long du mandat du président Biden.
Le mémo ajoute que leur objectif était de "donner les moyens aux défenseurs d’intérêts et aux décideurs" de prendre les mesures qu'ils décrivent.
Les groupes ont conclu qu'une interdiction complète de l'essence par l'EPA serait possible en vertu de la loi sur la qualité de l'air, mais ont déconseillé cette mesure car la Cour suprême la rejetterait probablement, "malgré le langage clair de la loi".
Les organisations à but non lucratif de George Soros ont donné des millions de dollars à GFI et à son Fonds d'action. Fondé en 2019, GFI est resté dans l'ombre jusqu'en avril dernier, quand un employé du Capital Research Center a porté l'attention sur ce groupe dans un reportage de Fox News Digital.
Le site web de GFI, qui n'était pas trouvé par les moteurs de recherche Internet et qui, jusqu'au reportage de Fox News Digital, ne pouvait être découvert que par ceux qui connaissaient l'URL, indique que le groupe est dirigé par Rachael Klarman.
Klarman est diplômée de la faculté de droit de Harvard, où GFI recherchait des talents pour son service de politique juridique. Selon une information antérieure, GFI a été créé pour préparer l'administration Biden à une "gouvernance transformatrice" et pour produire "plus de 60 recommandations réglementaires approfondies et immédiatement applicables" pour des dizaines d'agences fédérales.
Le site web de GFI contient des dizaines de notes de stratégie juridique pour l'élaboration de décrets et de lois dans les domaines de l'éducation, de l'environnement, de la santé, du logement et du travail.
"En tant que sponsor fiscal, le New Venture Fund fournit un soutien opérationnel et administratif pour aider les défenseurs d’intérêts et les philanthropes à lancer rapidement et efficacement de nouvelles solutions aux défis les plus difficiles d'aujourd'hui".
Toutefois, des liens entre GFI et le New Venture Fund peuvent être découverts dans la base de données des subventions des fondations Open Society de Soros. Ces dernières ont donné plus de 5 millions de dollars au New Venture Fund pour GFI.
La relation de GFI avec le réseau de Soros ne se limite pas aux dons. Tom Perriello, directeur exécutif d'Open Society-US, siège au conseil d'administration de GFI, composé de quatre membres, selon le site web de l'organisation. M. B. Maxwell, conseiller spécial d'OSF, figure également sur une photo publiée par GFI lors d'une de ses tournées de lobbying.
"Open Society est fier de soutenir les efforts de Governing for Impact visant à protéger les travailleurs, les consommateurs, les patients, les étudiants et l'environnement américains au moyen d'une réforme politique", a précédemment déclaré Perriello à Fox News Digital.
Leur travail donne une voix aux personnes qui sont souvent négligées dans un environnement réglementaire trop souvent dominé par les intérêts des entreprises,
- a dit Perriello. "Le soutien au travail de Governing for Impact est publiquement disponible sur notre site web, et nous exprimons de manière transparente notre enthousiasme pour leurs victoires au nom des travailleurs et des familles américaines."
Source: https://www.origo.hu/itthon/20221207-soros-haboru-benzin.html
Traductions: Albert Coroz
Sorros par ses actions démontre en permanence que pour certains milliardaires l’argent n’est pas le but final ; le but final est le POUVOIR.
Le POUVOIR de décider de la VIE de Milliards de personnes sur cette terre.
Les Ideo de gauche, de droite ne sont que des paravents destiner a caché aux populations le véritable but de cette caste qui durant des siècles a tisser sa toile comme le fait une araignée.
L’humanité doit sortir de sont rêve et mettre rapidement un terme a la “Conspiration” de cette caste malfaisante.
SOROS “gagne” en spéculant sur l’avenir. C’est évidement plus lucratif en manipulant l’avenir. Pour cela, Soros manie tout, secrètement, par dirigeants corrompus interposés, dans le secret. C’est pour cela que nos dirigeants corrompus foncent carrément dans le mur, partout. Soros aura les option PUT qu’il faudra, celle qui exploseront lors du “grand reset”. Quand on arrivera tous dans le mur. Les banques “faiseuses de marché” qui auront vendu les PUT, perdront les milliards que Soros gagnera…