24heures.ch - Hausse de la migration: Comment le système suisse d’asile peut-il déjà être saturé?
En 2015, la Suisse faisait face à 40’000 demandes d’asile. Aujourd’hui, elle est débordée alors que les autorités en prévoient environ 22’000. [...] (suite réservée aux abonnés)
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Résumé: Le centre fédéral de Zurich est saturé, comme tous les autres en Suisse, avec les migrants venant par la Turquie (Afghanistan, Bangladesh, Pakistan, Iran, etc., etc.) et ceux d'Afrique du Nord. Actuellement, quelque 800 demandeurs d'asile arrivent par semaine, et en plus 600 Ukrainiens.
En ce qui concerne les réfugiés d'Ukraine, 65'000 réfugiés statutaires sont déjà installés en Suisse, venus ces 8 derniers mois. Ces personnes disposant du statut "S" ne logent pas dans ces centres.
A la fin de 2019, il y a eu une baisse "drastique" des demandes d'asile en raison du Covid, leur nombre a même "chuté" depuis lors à 15'000. Il y a eu une réduction des effectifs et des places d'accueil.
Ada Marra (PS/VD): ces réformes qui partagent les responsabilités entre cantons et Confédération, la réduction des places, des effectifs, ça marche sur le papier, mais pas en temps de crise, et le système panique au détriment de l'accueil.
Christine Schraner Burgener, Secrétaire d’État aux migrations, ne voit pas le problème de cette façon et approuve la réforme, la Suisse augmente ses capacités d'accueil selon la demande.
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Albert Coroz: Lorsque les médias romands parlent de la situation de l'asile en Suisse, il n'y a même pas une ébauche de réflexion autour de l'idée qu'il faudrait peut-être fixer une limite. C'est comme si le peuple suisse pouvait indéfiniment faire de la place à tous ceux qui cherchent une vie facile, entretenir le monde entier.
L'idéologie, la lâcheté et la médiocrité dominent la politique suisse, mais la réalité fera son chemin et finalement, sans mesures drastiques, nous finirons par CREVER de notre politique migratoire! Nous sommes surpeuplés, 40% de la population n'est plus d'origine suisse, et nous allons vers des temps économiquement très difficiles.
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Asile: l’Allemagne critique la Suisse
Alors qu’environ un millier de réfugiés atteignent la frontière suisse à Buchs (SG) chaque semaine, l’Allemagne se montre critique vis-à-vis de la Suisse, qui laisserait transiter ces voyageurs vers un autre pays sans qu’ils ne doivent demander l’asile. «Nous autorisons formellement la poursuite du voyage», confirme la police st-galloise dans la NZZ am Sonntag. «Les égoïsmes nationaux nuisent à l’espace Schengen», réagit Andrea Lindholz, vice-présidente du groupe parlementaire allemand CDU/CSU. Elle appelle à une intervention auprès du Conseil fédéral. Un porte-parole de l’Office fédéral des migrations allemand avance, lui, une violation de l’accord de Dublin. Le Secrétariat d’Etat aux migrations contrecarre ces critiques: ni l’accord de Dublin ni d’autres lois ne sont enfreints. [...]
J’ai été éduqué dans la fierté de pouvoir offrir un asile à des demandeurs d’asile, soit ceux qui risquent leurs vie dans leurs pays d’origine pour leurs opinions, pour autant que ces opinions soient en accord avec nos valeurs basées sur notre culture. Cette offre d’asile s’entend limitée dans le temps, les personnes à son bénéfice devant retourner chez elles lorsqu’elles ne risquent plus rien, afin de laisser la place à d’autres qui en ont besoin. Depuis des années nous voyons les cigales de notre pays faire pression pour que le simple péquin qui n’est pas content dans son pays d’origine puisse venir engorger notre système d’asile et le saturer. Aujourd’hui, nous ne pouvons faire face à l’urgence, et c’est bien normal. Les places sont limitées. Pour faire face à une guerre et son lot de réfugiés, nous devons savoir planifier, ce qui veut dire réserver suffisamment de place et non pas engorger à outrance notre système avec des migrants. Je suis aujourd’hui fou de colère dans ce que nous avons laissé faire en autorisant l’acceptation de personnes qui n’arrivent ici que pour les facilités que nous leur proposons. Je suis aujourd’hui fou de colère parce que nous ne pourrons pas sauver ceux pour qui notre système d’asile a été construit. Je suis aujourd’hui fou de colère contre les gauchistes (et bien d’autres dans la sphère politique) qui ont perdu toute mesure, qui se sont montrés totalement incapable de prévoir l’avenir, qui ne se sont contentés que de promouvoir des doctrines dans l’inconscience des conséquences de leurs décisions. Leur propagande irresponsable et notre mollesse dans le fait de ne pas avoir réussi à les recadrer comme les enfants qu’ils sont nous ont conduit aujourd’hui à ce système insupportable où migration et asile sont mélangés pour aboutir à une impasse.
Nos élites savent obéir et encourager l’immigration pour satisfaire leurs maîtres qui ont horreur de faire face à une majorité de gens de la même origine qui ont en quelque sorte le même système de pensée. Un même système de pensée, ça unit et souvent CA SAIT CONTESTER.
L’ avenir (souhaité par nos élites) est donc à la multiplicité des minorités qui, bien souvent ne se côtoient que très peu, n’ont pas la même façon d’envisager le monde et restent très attachés à ce qui les a construits, leur culture et donc leurs traditions. Leur venue en occident est motivée par un désir d’accéder au matérialisme. L’état de la France va vite les faire déchanter.
Donc pour empêcher une nation de se fortifier, rien de mieux que d’introduire des centaines de cultures. Nous y sommes vraiment .
Pour cela il faut savoir payer grassement les organisations immigrationnistes favorisant le départ de migrants de l’Afrique et celles favorisant l’implantation de ces migrants arrivant en EUROPE.
Les amis à qui l’on offre un poste généreusement payé de directeur ou président de ces organisations permettent d’atteindre cet objectif.
Pour réaliser “ce rêve ou objectif”, les élites appauvrissent les citoyens en vampirisant leurs ressources:
Le coût de la migration en France :
un clandestin dans un centre de rétention avant une éventuelle expulsion (puisque la moitié sont relâchés dans la nature) coûte 690 euros par JOUR et par MIGRANT (source cour des comptes)
Une expulsion coûte en moyenne 13800 euros. Ces sommes seront nourries soit par l’impôt soit par la dette, que nous devrons toujours rembourser…par l’impôt.
Quand nos pays seront redevenus libres, le retour au pays, des migrants (de la période Soros), sera conseillé, voire exigé et “accompagné” d’une carte de travailleur détaché. Qui rétablira de meilleures relations entre eux et nous et fera du gagnant-gagnant.