[Entretien] Yves d’Amécourt : « La France n’a jamais eu autant de fonction publique qu’aujourd’hui et aussi peu de service public ! »

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C’était l’insouciance et Emmanuel Macron a abandonné nos souverainetés : l’énergie et l’alimentation, sur l’autel de l’écologie politique, l’industrie et la défense sur celui d’une mondialisation heureuse…

 

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Un commentaire

  1. Posté par miranda le

    Mr Macron était tellement dans”l’insouciance” nous dit-on que celui-ci a bradé tout ce qui faisait la force de la France. ET Les mondialistes purent profiter du festin.

    Mr Macron et les mondialistes vampirisants feraient bien d’évaluer la situation dans laquelle leur “modèle” se trouve aujourd’hui, car les alliances sont bouleversées et on a le sentiment que lui et ses maîtres sont, soit dans le déni, soit dans l’illusion que leur modèle peut encore s’imposer.

    un petit éclairage proposé par : Gilles La Carbona
    Nous assistons à une grande bascule… » : qu’a sous-entendu Macron, par ces propos que beaucoup rattachent à son père spirituel, , Klaus Schawb, auteur du « great reset » ? Il est tentant d’associer l’idée d’un régime totalitaire moderne 2.0, à cette formule, car Macron ne pense pas par lui-même et ne fait que mettre en musique une partition déjà écrite.

    Il traduit en Français mais le fond reste le même. Macron rêve éveillé de ce grand changement, que la clique mondialiste de Davos veut mettre en place depuis des décennies. Il prépare les esprits à ce cataclysme orchestré et pensé à l’avance : « vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux ».

    Pour autant, même s’il use du stratagème bien connu à présent, à savoir, on annonce un malheur, on se présente comme l’unique détenteur de la solution et on impose les mesures déjà dans les cartons, il semble avoir occulté un paramètre.

    Ces « mondialistes » n’ont pas pris acte de l’état dans lequel ils se trouvent. Ils se croient encore les maîtres à penser du monde, mais ne représentent, en pratique, plus grand monde. Dans le G7, quatre pays européens, soit 3% de la population mondiale et en termes de production industrielle, ça n’est pas bien brillant. Seuls les USA tirent vers le haut cette cohorte d’éclopés. L’euro est en train de plonger et cette déconfiture ne semble pas arrêtable.
    L’arme monétaire, qui permettait à la bande de Davos de contrôler les peuples, est en passe de s’effondrer, précipitant un peu plus son isolement. Ils ne maîtrisent plus rien, mais restent persuadés du contraire.
    Ils sont isolés et si une grande bascule est bel et bien en cours, ce n’est pas celle imaginée. Les nouveaux pays influenceurs ne sont plus ceux de l’ancien monde. La Russie, la Chine, l’Inde, le Brésil, la moitié de l’Afrique, au bas mot, près de 50 % des pays européens, soit les deux tiers de la planète, n’adhèrent pas, à ce « nouvel ordre mondial », que Sarkozy fut le premier à évoquer. Impuissant à imposer leur vision du monde, ils gesticulent et font croire qu’ils peuvent encore mener leurs desseins Faible démographiquement, inexistante militairement, épuisée économiquement, cette Europe là, n’a plus les moyens de ses ambitions.

    La dernière résolution de l’ONU, qui voulait demander à la Russie de cesser son opération en Ukraine, a été approuvée par 54 pays et rejetée par 139.
    La grande bascule est en cours, mais Schwab et consorts devraient perdre la partie. C’est bien dorénavant leurs réactions épidermiques, qu’une telle déconvenue provoquera sur ces personnages, encore au pouvoir, qu’il faut craindre.
    S’il n’y a pas lieu de s’inquiéter du changement géopolitique qui s’opère sous nos yeux, tant on peut en espérer une libération des énergies et des consciences, après de si longues années de mensonges et de gabegie, on peut être inquiet des dernières salves que provoquera la perte de la partie et de l’influence d’une clique désormais aux abois.
    Il apparaît comme de plus en plus nécessaire, si on ne veut pas connaître une crise intérieure grave et douloureuse, de l’écarter du pouvoir avant la fin de son mandat.

    La destitution semble être la solution la plus sage à mettre en œuvre rapidement, avant que les peuples encore concernés, n’arrivent à l’exaspération, faute de pouvoir manger et se chauffer, que ce soit par le travail, ou par les aides sociales. Les observateurs prédisent un automne agité, cela semble assez probable…

    Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire

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