La demande en organes susceptibles d’être transplantés est nettement supérieure au nombre des organes dont les donneurs ont autorisé le prélèvement à leur décès ou parfois de leur vivant. Le plan d’action que le Conseil fédéral a lancé en 2013 n’a donné que des résultats jugés décevants. On a donc échoué à convaincre. Alors, certains veulent contraindre. Par une initiative populaire fédérale, puis par une révision de la loi sur la transplantation, ils veulent changer radicalement de paradigme : au lieu de rester explicite comme aujourd’hui, le consentement du donneur serait présumé à défaut d’un refus explicite exprimé de son vivant. Pareil changement n’est pas anodin. C’est donc sur une véritable révolution que nous voterons le 15 mai prochain.
La pénurie d’organes justifie-t-elle l’instauration d’une sorte de droit organisé par l’Etat au prélèvement autoritaire des organes nécessaires à satisfaire la demande, avec au bout du chemin notre corps qui ne nous appartiendra plus ? Car une fois passée la votation, qui se souviendra de la nécessité de faire enregistrer officiellement son refus pour empêcher qu’un organe soit prélevé sans son consentement ? A part ceux d’une poignée de réfractaires, les corps des personnes en fin de vie ne risquent-ils pas de donner naissance à un vaste marché à disposition des demandeurs, avec pour résultat une forme de marchandisation du corps humain ?
On voit bien que pour les personnes aujourd’hui sur liste d’attente, la transplantation peut être une question de survie. Mais l’utilité, incontestable, doit-elle primer sur la dignité et sur un droit aussi fondamental que celui de chaque individu, par définition unique, à l’intégrité physique jusqu’à la fin de ses jours ?
L’aspiration légitime de ces personnes justifie-t-elle, pour des raisons pratiques, de passer sur toute la dimension éthique de la problématique du prélèvement d’organes ?
Car enfin, pour qu’un organe puisse être prélevé après le constat de la mort cérébrale (notion fort contestée conçue pour les besoins du prélèvement d’organes), il faut que le corps du donneur soit tout de même maintenu… en vie avant que des opérations préalables et le prélèvement lui-même lui portent l’estocade.
Qu’en sera-t-il donc des patients atteints d’un coma irréversible ?
Dans cette conception matérialiste du corps humain, restera-t-il encore une place pour l’âme ?
Pour se donner bonne conscience et éviter les dérives que l’initiative autoriserait, le Parlement a imaginé une petite soupape de sécurité : le consentement des proches. Ceux-ci, toutefois, devront respecter la « volonté présumée » du donneur. Que signifie cette notion ?
Comment les proches, sur qui on fera peser une très lourde responsabilité, feront-ils pour la connaître de manière certaine ? Et combien de temps cette barrière subsistera-t-elle ?
Non, définitivement, dès lors qu’il s’agit du corps humain, se taire n’est pas consentir. La dignité humaine, dont le corps est un élément, est et doit rester inviolable, à moins d’un consentement qui doit être éclairé et qui, surtout, doit demeurer explicite. Le don d’organes, que nul ne remet en cause, doit demeurer… un don plutôt que de se transformer en prélèvement obligatoire.
source: https://www.udc.ch/actualites/articles/editoriaux/non-au-don-dorganes-obligatoire-jla/
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Chacun est propriétaire de son corps. Les ayants-droits du défunt sont donc propriétaires du cadavre du défunt. Seuls les ayants-droits peuvent donner une autorisation de prélèvement d’un organe.
Parmi les dérives de la chirurgie sans un minimum d’éthique, il y a déjà les nouveaux commerces de la chirurgie esthétique qui dévoient la chirurgie reconstructive avec nombre de victimes dans ce monde de brigands friqués qui se moquent totalement des conséquences. Et ce ne sont pas les exemples des influenceurs et des influenceuses sur le net, qui dictent les critères de la beauté qui vont changer ces affreuses affaires. Déjà toutes ces plantes vertes qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau, ce n’est pas acceptable, mais c’est la conséquence de méthodes d’une chirurgie rentable par des actes qui suivent les contours d’une rentabilité bien respectée. Mais les échecs c’est une vie foutue : http://astuces-femmes.com/quand-la-chirurgie-esthetique-au-lien-detre-un-reve-devient-un-cauchemar-es-pires-fails-de-la-chirurgie-esthetique/https://is.gd/Pmial5 https://is.gd/Pp0LWS
Conclusions: derrière un bistouri il y a des tas de drames humains et cette rapacité mondiale peut interroger. EST-CE QUE CE MARCHÉ DES PIÈCES DÉTACHÉES DU CORPS HUMAIN, NE VA-T-IL PAS DÉBOUCHER SUR DES CRIMES ORGANISÉS ???. Des crimes payés juste pour avoir la bonne pièce avec les bons groupes sanguins pour un oligarque friqué et mondialiste pas essence. RÉVEILLEZ-VOUS, C’EST DÉJÀ LE CAS GRÂCE AUX KOSOVARS ET AUX ISRAÉLIENS TOUJOURS A L’AFFUT DE BONNES AFFAIRES: https://is.gd/kbg0oh
En conclusion Madame CALMY-REY A DEJA BAFOUÉ NOTRE NEUTRALITE. Elle qui fait partie des ONG de Soros en lien avec la Clinton à laquelle elle a versé 500’000 de notre poche, a appelé la Suisse et d’autre Etats étrangers à reconnaître l’Etat mafieux du Kosovo tout en profitant de l’aubaine de ses bonnes relations. AVANT: https://is.gd/QpePma https://is.gd/z1Gdrk https://is.gd/daImgg APRES: https://is.gd/4tn15p Un sacré boulot sur notre dos. Bon, tellement bien retapée qu’ils ont oublié le cou et on voit bien les effets sur les mandibules de la bestiole. Pour une nouvelle méthode de propagation de l’islam ont-ils aussi agit sur le cerveau,? Tout est possible. Par exemple celui d’une musulmane abusée finissant en pièces détachées aux Kosovo. Et voilà pourquoi notre Calmy-Rey au cerveau greffé a adopté sans réticences les bonnes coutumes propagandistes. https://is.gd/zfCgyU
En France le consentement présumé n’a pas fait de différence spectaculaire, d’autant plus que la mortalité routière, principale pourvoyeuse de décès par mort encéphalique, n’a cessé de diminuer. Le protocole Maastricht 3 est plus efficace mais aussi plus contesté. Ayant été moi-même greffé rein à deux reprises, avec mon expérience et après mûre réflexion, je ne suis pas favorable au consentement présumé et préfère faire face plus honnêtement au traitement de suppléance par dialyse et au risque accru de morbidité et de décès. Ca fait partie de la vie et il est vital de ne pas rester dans le déni de cette réalité.