À Cergy (95), les étudiants de l’ESSEC face à l’insécurité : « Ce n’est pas normal de mettre sa vie en danger pour étudier ! »

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Dans cette ville du Val-d’Oise, la délinquance «fait quasiment partie du décor», selon un commissaire de police. Une tache de boue sur le nom d’une des plus prestigieuses écoles de commerce françaises.

Tout commence par un mail anonyme adressé au Figaro en novembre 2021. Un certain «Tyler», qui se présente comme un étudiant de l’ESSEC – l’une des premières écoles de commerce en France -, souhaite nous faire part du climat d’insécurité qui se serait installé autour du campus, situé à Cergy (Val-d’Oise).

La situation aurait «énormément empiré» ces derniers temps et serait «devenue invivable», selon ses mots. Il est question d’agressions, de vols avec violence et même de tentatives d’enlèvements. Le jeune homme affirme aussi que «nombre d’étudiants [seraient] traumatisés et ne [voudraient] plus prendre de cours terminant après le coucher du soleil par peur de rentrer seuls la nuit».

(…) Le Figaro

 

Extrait de: Source et auteur

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3 commentaires

  1. Posté par J' ai rien vu, mais... le

    Mais quand il s’ agit de préciser le profil- type des agresseurs, ces ” woke” se montrent bien empruntés , et se limiteront à mentionner ” des jeunes”, très probablement.
    Alors que tout le monde a compris.

  2. Posté par LE LOUAR le

    Ancien élève de l’Ecole, je suis en mesure d’affirmer que Tyler ne raconte rien de nouveau.
    Affirmer que cela peut nuire à la réputation de l’école est parfaitement abusif. La place de l’Essec, tout en haut des classements d’Ecoles européennes de gestion, n’a pas changé depuis de très nombreuses années.
    Lorsque l’Essec a quitté le quartier latin, il y a bientôt 50 ans, pour s’installer, en multipliant la surface des locaux par 15 ou 20, dans la ville nouvelle de Cergy, l’idée était de favoriser le brassage des populations. A l’époque, la cohabitation entre les étudiants « couche tard » et les ouvriers africains prenant leur poste de travail en usine au petit matin n’avait rien de simple. Les populations se croisaient mais ne se rencontraient pas.

  3. Posté par Clairvoyant le

    Quelle horreur, ces pauvres petits chéris font enfin connaissance de cette diversité tant vantée par leurs bobos de parents qui les chouchoutent dans des beaux quartiers encore mono-culturels pour un temps !
    Et bien, va falloir en plus prendre des cours de combat de rue, parce que ça va devenir de pire en pire !

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