Lors des élections fédérales 2019, la gauche rose-verte a raflé plus de 20 sièges. Si elle devait remporter 10 à 15 sièges supplémentaires, la majorité du Parlement basculerait complètement à gauche, ce qui serait un véritable désastre pour notre pays. La gauche rose-verte veut détruire l’économie et les emplois qui vont avec. Elle prône l’introduction de la semaine de 35 heures, un congé parental payé de 24 semaines, l’ouverture totale des frontières pour les migrants illégaux et leur prise en charge totale et à vie par l’Etat. Par l’adhésion insidieuse mais progressive à l’Union européenne, qui est aussi un objectif de la gauche, elle pousse la Suisse dans une situation de dépendance des bureaucrates de Bruxelles. La gauche partisane de la mise sous tutelle des citoyennes et des citoyens exige des restrictions étatiques réglementant la consommation de viande et de sucre, la mise en zone 30 km/h, à terme, de toutes les villes et agglomérations, une augmentation massive des prix des carburants et du mazout de chauffe, une interdiction des moteurs thermiques, l’instauration de toilettes publiques « gender neutral » (sans distinction de genre) ou encore une signalisation routière également « gender neutral ». Ces aberrations seront financées par la population, qui travaille dur au quotidien et doit s’acquitter des impôts, des taxes et des redevances.
La politique Covid donne un aperçu clair du type de menace qui plane sur la Suisse en cas de victoire d’une majorité de gauche rose-verte
La pandémie de Covid-19 nous a donné un petit avant-goût de ce qu’impliquerait une majorité de gauche rose-verte au Parlement fédéral ; pendant cette période, la gauche rose-verte a dépensé l’argent des contribuables sans compter, elle a massivement augmenté l’endettement de l’Etat et foulé au pied le fédéralisme et les libertés individuelles. La politique Covid de la gauche est un édifiant aperçu des mécanismes auxquelles elle compte s’employer pour sa politique climatique et sa politique de mise sous tutelle des citoyennes des citoyens : une politique aux relents totalitaires, où la fin justifie les moyens.
Il est donc important d’empêcher tout virage à gauche lors des élections fédérales 2023. L’UDC prend la pleine mesure du sérieux de la situation et est prête à mener ce combat politique. « La gauche rose-verte veut gouverner la Suisse par l’échec », déclare le directeur de campagne Marcel Dettling. « L’UDC est le seul parti qui s’engage résolument en faveur de la classe moyenne, pour une réduction de la bureaucratie, pour une industrie suisse forte et pour à la fois plus de liberté et de sécurité. »
Le comité de campagne de l’UDC Suisse est prêt et se met au travail dès le début du mois de janvier 2022. L’équipe est composée des personnes suivantes :
Marcel Dettling Conseiller national SZ chef de campagne et responsable pour la Suisse centrale Sandra Sollberger Conseillère nationale BL responsable pour la Suisse Nord-Est (BS, BL, SO, AG, BE) Marco Chiesa Conseiller aux Etats TI responsable pour la Romandie et le Tessin Manuel Strupler Conseiller national TG responsable pour la Suisse orientale
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