Carla Montet: Nos médias ont diffusé à l'unisson le 12 janvier la nouvelle connue depuis longtemps (voir en fin d'article): les hybrides consomment 230% de plus qu'annoncé et leurs émissions de CO2 sont trop élevées.
Le canton du Valais a même arrêté les subventions à cause de cela. Jusque-là, comme les autres cantons romands, soit il octroyait des bonus/malus sur les taxes auto, soit, d'une manière plus apparente, il versait une prime à l'achat (Valais: 2500 francs aux moins de 3,5 tonnes et 5000 pour les plus de 3,5 tonnes).
L'idée est du socialo pur sucre: plus les bagnoles sont pour les riches, plus on va prendre dans la poche des contribuables.
Et tout cela au nom de la "justice climatique", s'il vous plaît!
Les néo-marxistes ont imposé une réalité alternative avec la guerre culturelle qu'ils mènent contre notre civilisation, assortie d' une morale alternative, une réalité parallèle, qui ne sert qu'eux-mêmes..
C'est que la Suisse court comme un toutou derrière tous les délires idéologiques progressistes, et suit méticuleusement leur catéchisme, dont l'écologisme fait partie, prétextant la planète en péril. Et leur rhétorique ne s'embarrasse jamais de détails contradictoires.
Les bienpensants affirment avec le plus grand sérieux que les ressources de la Terre sont finies, mais les seuls coupables qui doivent passer à la caisse sont ceux qui financent tous ceux qui vivent de ces bobards.
Dans la même logique écologiste, nos idéologues prônent de ranimer la consommation moribonde par le renouvellement du parc des véhicules, dans le but de relancer la croissance, mais en même temps c'est haro sur la société de consommation, vive le recyclage et la revalorisation! Pousser les gens à acheter des véhicules électriques, tout en réclamant la décroissance, c'est signé.
Les progressistes refusent de miser sur les progrès technologiques, ils optent d'avance pour taxer et interdire à tout va "pour la planète". Ils s’agrippent aux arguments antinucléaires, et encensent les éoliennes également par principe, bien qu'elles soient peu efficaces, jamais rentables, et nuisent en plus à la nature, tout en laissant entier le problème du recyclage des déchets.
Nos écolos critiquent le bétonnage, mais promeuvent l'immigration de masse; ils pointent nos vaches qui émettent du méthane, mais excusent le tiers-monde pour ses fleuves-poubelles.
Dans ce contexte, le 12 janvier 2022, notre « diversité médiatique » proposait un peu partout un article contenant une information qui sentait le réchauffé: les voitures hybrides polluent trop, ce n'est pas cet engin qui va sauver la planète:
Les hybrides consomment 230% de plus qu'annoncé, Les véhicules hybrides consommeraient autant que les diesels, Les véhicules hybrides consommeraient autant que les diesels.
Cette guerre à la mobilité nous rappelle les pays totalitaires, où voyager, sortir du pays était réservé à une minorité privilégiée.
Nos apparatchiks Verts ont majoré déjà les taxes d'avion, les taxes d'électricité, les carburants, et ils font la promotion de voitures électriques hors de prix pour le pékin moyen, mais accessibles à une minorité qui ne sera jamais affectée par ces mesures.
Nos élu.e.s Vert.e.s rappellent que le but final, c'est de ne plus permettre la circulation de voitures à carburant fossile, et que les gens prennent les transports publics ou le vélo. Actuellement, Les Vert.e.s réclament que la Suisse "s'aligne sur l'Europe" pour la fin des énergies fossiles [Norvège: 2025, Belgique: 2026, Allemagne, Islande, Danemark, Royaume-Uni: 2030, Italie: 2035].
Et dans le cadre de ce journalisme militant, l'émission Histoire vivante, sur la RSR-La Première, a diffusé du 10 au 14 janvier "L'histoire de la voiture".
Nous apprenons d'un spécialiste que dans le futur, nous aurons encore des voitures mais en tant qu'objets de service, avec une modalité de propriété différente. La location et les infrastructures qui l'accompagnent créeront des emplois et aideront la transition écologique. En d'autres termes, l'agenda écolo mondialiste annonce, comme Klaus Schwab du WEF: "Vous ne posséderez rien mais vous serez heureux."
Ce qui veut dire que seule une minorité privilégiée possédera encore des voitures individuelles, et que pour les autres, les déplacements seront contrôlables au moyen des voitures de location.
Nos centres d'intérêts, nos contacts, nos opinions sont déjà enregistrés par des algorithmes, notre bulletin de santé est informatisé.
La suppression de l'argent liquide permettra de tracer nos achats.
À ce futur dystopique qu'on nous annonce se rajoute encore la dernière nouvelle – désormais il sera possible par des technologies de lire dans la pensée des gens:
source: https://www.20min.ch/fr/story/vers-la-traduction-orale-de-nos-pensees-349583074334
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Étude: Vers la traduction orale de nos pensées
Une recherche genevoise a mis en évidence des signaux neuronaux produits par notre cerveau lorsqu’on imagine des mots ou qu’on se les dit à nous-même. Elle offre une perspective d’avenir pour les personnes qui ont perdu la capacité de s’exprimer à l’oral.
Des scientifiques ont fait une avancée majeure dans le décodage de nos monologues internes. Menée conjointement par l’Université de Genève (UNIGE) et les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), l’étude – dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue «Nature Communications» – met en évidence certains signaux neuronaux produits par notre cerveau lorsqu’on imagine des mots ou qu’on se les dit à nous-même.
Lorsqu’une personne s’exprime à haute voix, il est possible de mettre en relation les sons émis avec les régions cérébrales sollicitées. S’agissant d’une parole imaginée, le processus devient plus complexe parce qu’on ne dispose «d’aucune information manifeste sur le séquençage et le tempo des mots ou des phrases formulés à l’interne par l’individu», explique le communiqué de l’université. De plus, «les zones recrutées dans le cerveau sont également moins nombreuses et moins actives».
Timothée Proix, collaborateur scientifique au Département des neurosciences fondamentales de la Faculté de médecine de l’UNIGE complète: «Ces signaux neuronaux sont faibles et variables par rapport à la parole explicite. Ils sont donc difficiles à décoder par des algorithmes d’apprentissage.»
Décoder le langage imaginé
Pour décrypter cette parole interne, il faut savoir quelle zone observer en priorité. Les scientifiques l’ont mise en évidence: celle située dans la partie latérale gauche du cerveau, appelée le cortex temporal. Elle intervient dans le traitement des informations relatives à l’audition et la mémoire. Surtout, elle «abrite une partie de l’aire de Wernicke, responsable de la perception des mots et des symboles du langage».
Il faut également savoir se «brancher sur la bonne fréquence», imagent les scientifiques. Les patients qui ont participé à la recherche devaient prononcer puis imaginer des mots. Grâce à des électrodes implantées dans leur cerveau, les neuroscientifiques ont observé «plusieurs types de fréquences produites par différentes zones cérébrales lorsque les individus s’exprimaient à l’oral ou à l’interne». Il en ressort de l’étude que «certaines contiennent des informations essentielles pour le décodage de la parole imaginée».
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Moteurs alternatifs en Suisse - Le temps se gâte pour les voitures hybrides rechargeables -
Le Canton du Valais vient d’en arrêter la subvention. En cause: des émissions de CO2 trop élevées. Les Suisses privilégient les électriques et les hybrides.
C’est un virage à 180 degrés que vient d’annoncer le conseiller d’État valaisan PLR Frédéric Favre: le Canton retire les subventions à l’achat de voitures hybrides rechargeables (PHEV), dites «plug-in». Des primes de 2500 fr. (moins de 3,5 t) et 5000 fr. (plus de 3,5 t) introduites en novembre 2020, qui étaient censées courir jusqu’au 31 décembre de cette année.
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Bravo les bobos! Les voitures hybrides subventionnées polluent jusqu’à huit fois plus que les chiffres déclarés. Parmi eux: Volvo, Porche… - Article publié par notre site le 10.02.2021
L’écart entre les valeurs de CO2 mesurées en laboratoire et sur route nuit au climat
L’ATE demande la fin des subventions pour les hybrides rechargeables
9 février 2021 | Martin Winder
Berne
Souvent, les émissions réelles de CO2 des hybrides rechargeables sont des multiples des chiffres déclarés. Ces véhicules peuvent rejeter autant de CO2 que des voitures avec moteur à combustion. Malgré cela, la majorité des cantons et certaines communes encouragent l’achat d’hybrides rechargeables par des rabais fiscaux ou des primes. L’ATE demande la fin de ces subventions.
Des études menées par Transport & Environment (T&E), l’ICCT et l’institut Fraunhofer révèlent que les véhicules hybrides rechargeables (VEHR) émettent jusqu’à huit fois plus de CO2 sur la route que les valeurs officielles déclarées. L’écart s’explique par le fait que leur technologie hybride a été conçue avant tout pour donner de bons résultats sur les bancs d’essai en laboratoire. Or, sur la route, c’est le moteur thermique qui fonctionne la plupart du temps.
Avec la forte progression du marché des motorisations hybrides rechargeables, l’écart entre les émissions mesurées en laboratoire et sur la route en conditions réelles devient un problème croissant: le soutien à ce type de véhicules par des allègements fiscaux ou des primes à l’achat va à l’encontre de la protection du climat et de la transition énergétique.
Subventions de fait à l’énergie fossile
Comme les VEHR ne sont pas conçus pour rouler autant que possible à l’électricité, leur consommation de carburant n’est généralement pas inférieure à celle des voitures thermiques. Dès lors, subventionner les VEHR équivaut à subventionner les combustibles fossiles. L’ATE Association transports et environnement demande donc aux cantons de renoncer à accorder des primes à l’achat ou des rabais fiscaux aux hybrides rechargeables.
Rabais de l’impôt sur les automobiles
Dans de nombreux cantons, les VEHR bénéficient de généreux allègements de l’impôt sur les véhicules automobiles: quatre cantons octroient une réduction aux hybrides rechargeables sur la base de leur technologie de propulsion, alors que dans neuf autres, les émissions de CO2 déterminent le montant de l’impôt. Ces avantages offerts aux VEHR sont injustifiés, puisque leurs valeurs officielles de CO2 ne correspondent pas à leurs émissions réelles.
Sept cantons accordent un rabais aux voitures de la catégorie d’efficacité A, dans laquelle entrent la plupart des VEHR, puisque leurs valeurs de consommation sont sous-estimées dans la procédure de mesure officielle.
Subventions à des voitures de luxe
Dans le canton de Genève, les voitures dont les émissions de CO2 sont inférieures à 121 g/km, selon l’ancien cycle de mesure NEDC, sont exemptées de la moitié de l’impôt sur les véhicules automobiles pendant deux ans.
Par exemple, une Porsche Cayenne Turbo S E-Hybrid (prix catalogue: 228’200 francs) bénéficie d’un rabais de 1’464 francs pendant deux ans. Cela correspond à une subvention de 2’928 francs pour un modèle de luxe qui, avec 122 g de CO2/km (WLTP), rate d’ailleurs tout à fait officiellement la valeur cible de CO2 pour les voitures neuves (95 g selon NEDC ou 118 g selon WLTP).
La Volvo XC60, testée par Transport & Environment, profite d’un rabais fiscal de 558 francs sur trois ans dans le canton de Zurich, sur la base de sa catégorisation en classe d’efficacité A et de ses émissions de CO2 théoriquement basses, avec 64 g/km (WLTP). Les contribuables zurichois·es subventionnent donc à hauteur de 1’674 francs l’achat de cette voiture pour laquelle T&E a mesuré des émissions supérieures à 100 g de CO2/km, malgré une batterie pleine.
Primes à l’achat en Valais
Le canton du Valais n’accorde pas de rabais fiscal, mais en soutenant les hybrides rechargeables avec une subvention de 2’500 francs, il se montre particulièrement vis-à-vis de ces voitures pseudo-électriques. La commune de Hochdorf, dans le canton de Lucerne, et la compagnie d’électricité de Romanshorn offrent aussi des primes à l’achat pour les hybrides rechargeables.
Aperçu des rabais de l’impôt sur les véhicules automobiles pour hybrides rechargeables
Cantons avec rabais pour hybrides rechargeables: JU, NW, OW, TI
Cantons avec rabais / barème d’impôt basé sur les émissions de CO2: BL, BS, GE, GR, NE, SG, VD, TI, ZH
Cantons avec rabais pour les véhicules de la catégorie d’efficacité A: BE, FR, GL, NW, SG, TG, ZH
Liens:
Aperçu des rabais cantonaux de l’impôt sur les véhicules automobiles (Office fédéral de l’énergie): www.bfe.admin.ch/bfe/fr/home/mesures-d-encouragement/efficacite-energetique/mobilite.html
Communiqué de presse de l’ATE sur l’étude de T&E: www.ate.ch/medias/detail/article/en-tests-en-conditions-reelles-sur-route-les-hybrides-plug-in-emettent-bien-plus-de-co2-que-sur-le/
Volvo XC60 (en anglais): www.transportenvironment.org/sites/te/files/publications/2020_11_Plug-in_hybrids_report_final.pdf
Etude de l’ICCT (en anglais): https://theicct.org/sites/default/files/publications/PHEV-white%20paper-sept2020-0.pdf
Pour toute information supplémentaire:
Martin Winder, chargé de projets Politique des transports, tél. 031 328 58 63
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voir aussi: Stéphane Montabert: La nouvelle mobilité face à la loi
Une hybride consomme moins qu’un moteur thermique uniquement si on “récupère” dans de longues descentes pour recharger la batterie. A plat la batterie est rechargée par le moteur thermique. Elle n’est intéressante que dans des villes avec des hauts et des bas comme Lausanne. Pas étonnant que les hybrides consomment autant que les diesels.