Les autorités scientifiques françaises sont en train d'étudier l'hypothèse d'une quatrième dose de vaccin anti-Covid pour les personnes âgées, même si cette question est pour l'heure «prématurée», a indiqué le 11 janvier le ministère de la Santé.
«Le COSV [Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale] doit rendre un avis sur ce sujet et nous avons également saisi la Haute autorité de santé [HAS] sur la question de la quatrième dose», a indiqué le ministère lors d'un point avec des journalistes. Ces organismes «nous diront quelle est la conduite à tenir» pour les personnes âgées ou à risque dont la précédente dose remonte à l'ouverture des rappels en septembre dernier.
Interrogé sur le fait de savoir si, à terme, une quatrième dose pourrait être nécessaire pour prolonger le pass vaccinal, le ministère a répondu: «La quatrième dose, elle est encore en discussions, il est encore trop prématuré pour se prononcer sur le sujet». «On fera comme les autorités scientifiques nous diront de faire», a-t-on poursuivi de même source.
Les pays européens s'alignent sur la politique de vaccination israélienne
«Dans les autres pays européens on est tous à peu près au même stade sur ces questions, en attente de position des autorités scientifiques», a conclu le ministère. En pointe sur cette question, Israël a commencé le 3 janvier à injecter une quatrième dose aux personnes âgées de 60 ans et plus, en pleine flambée des contaminations liée au variant Omicron.
La quatrième dose en France «est une possibilité», avait déclaré fin décembre le ministre de la Santé, Olivier Véran. «Cette question viendra en son temps [mais] pas maintenant», avait-il ajouté : «On n'a pas le recul sur la durée de l'efficacité, [...] on verra ce qu'il en est.»
En France, face à la baisse d'efficacité des vaccins contre l'infection avec le temps, la possibilité d'une dose de rappel (le plus souvent une troisième dose) avait été ouverte en septembre aux plus de 65 ans et aux personnes souffrant de comorbidités. Elle a ensuite été progressivement élargie aux plus de 18 ans. A ce stade, les mineurs ne sont pas concernés par cette troisième dose, hormis les ados de 12 à 17 ans qui souffrent de comorbidités. La HAS réfléchit à la possibilité d'élargir le rappel à l'ensemble des 12-17 ans.
L'efficacité des rappels fait toutefois largement débat. L'OMS a de nouveau estimé ce 11 janvier que combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n'était «pas une stratégie viable». Le 20 décembre, Le Monde relevait de son côté, dans un entretien avec le PDG de BioNTech (à l’origine du vaccin à ARN messager produit avec Pfizer) Ugur Sahin, qu'une équipe allemande avait «fait récemment état d’une baisse très rapide de l’efficacité, même après trois doses». «Après trois mois, celle-ci retombait à 25%», indiquait le quotidien. Le PDG reconnaissait alors que la perte de l’efficacité contre Omicron du vaccin Pfizer/BioNTech était «très probable» avec le temps, mais qu'il fallait encore en mesurer la rapidité.
Le professeur Didier Raoult a par ailleurs noté une corrélation entre vaccination et contaminations : «Dans les pays où on a le plus vacciné, il y a le plus de cas», a-t-il affirmé le 11 janvier sur Sud Radio, citant les données de l'université John Hopkins.
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4/ La fabuleuse histoire de l’hydroxychloroquine
Le 13 Janvier 2020, au moment où l’épidémie de coronavirus s’étend en Chine et en Asie, la ministre de la Santé de l’époque, Agnès Buzyn, fait classer l’hydroxychloroquine en substance vénéneuse.[13]
Cette molécule sert à soigner la malaria. Elle est consommée dans le monde par des centaines de millions de personnes.
Désormais, en France, elle ne pourra plus être vendue en pharmacie. Seuls les médecins gardent le droit d’utiliser ce médicament.
Et pour les patients qui veulent se soigner contre la malaria ? Qu’ils se débrouillent !
Sachant évidemment que le remède naturel contre cette maladie, l’Artemisia annua, est par ailleurs déjà interdit…[14]
Or, au début de l’année 2020, des études chinoises montrent que l’hydroxychloroquine pourrait fonctionner avec le covid 19.[15][16]
Il y avait donc un espoir au niveau de cette molécule.
Pourquoi le gouvernement, qui à ce moment-là n’avait aucune autre alternative, a-t-il privé les Français d’une aide potentielle ?
Etait-ce pour les “emmerder” ? Était-ce par esprit de responsabilité ?
Vous qui êtes si raisonnable, vous me direz que c’est le hasard malheureux du calendrier.
Ah bon?
Bien.
Passons.
En tout cas, les études chinoises vont convaincre Didier Raoult, à défaut du gouvernement.
Il essaye à son tour sur les patients de l’IHU de Marseille. Il trouve des résultats encourageants et les publie.
En mars 2020, le Pr Didier Raoult annonce qu’il utilise un protocole avec de l’hydroxychloroquine.
S’ensuit une polémique.
Les autorités sanitaires européennes soutiennent davantage le Remdesivir, médicament du laboratoire Gilead.[17]
Une grande étude européenne appelée Discovery est lancée sur le Remdesivir et l’hydroxychloroquine.[18]
Mais dès les premiers résultats négatifs sur le Remdesivir, l’étude est arrêtée dans son ensemble.
Les autres traitements testés seront donc exclus au même titre que le Remdesivir…
Était-ce honnête ? Était-ce responsable ?
Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
En mai 2020, une étude très grossièrement bidonnée construite sur des données inventées de toutes pièces par une société enregistrée en Inde, est publiée par le Lancet, une prestigieuse revue scientifique.
Mais les hôpitaux cités par l’étude réfutent l’existence des patients que ce document évoque.
Les scientifiques dont les noms figurent sur l’étude se rétractent.[19]
Or en France, avant que le scandale n’éclate, Olivier Véran, nouveau ministre de la Santé, avait déjà interdit l’usage de l’hydroxychloroquine pour les médecins de ville sur le fondement de cette étude.[20]
Ni lui, ni ses nombreux conseillers, ni le conseil scientifique du président, n’avaient lu l’étude.
Ce scandale suscite un tollé médiatique général.
Les revues scientifiques prestigieuses se trouvent largement discréditées.
Le monde découvre que le milieu scientifique et plus particulièrement médical, est gangréné par la corruption.
Le don du sang sera ouvert mi-mars aux homosexuels sans conditions, le gouvernement décidant d’abandonner toute référence dans les critères de don à l’orientation sexuelle pour mettre fin à une “discrimination”, a annoncé mardi le ministère de la Santé.
https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6623162/le-don-de-sang-bientot-ouvert-aux-homosexuels-sans-conditions.html
Plus on vaccine et plus les cas de variants se propagent facilement …
Cherchez l’erreur !!
Est-ce une vaccination au sens que M.Pasteur a donné à son vaccin ?
Interview du Dr Raoult :
“On sait désormais que la vaccination ne contrôle pas l’épidémie”
https://www.sudradio.fr/societe/didier-raoult-lien-utilite-vaccination-nombre-cas-covid19