Féminicides, parlons peu, parlons clair !
"L'objectif est de mieux connaitre la manière dont les homicides se produisent et bien sûr d'en déduire des mesures permettant de prévenir ces homicides à l'avenir."
Voici ce qu'un chef du bureau fédéral égalité entre femmes et hommes disait au 12h45 il y a peu. Des études, des recherches et peut-être quelques résultats espérés en 2024. En attendant, des femmes meurent.
Le sinistre compteur tourne dans l'inaction générale. La motion demandant l'usage du bracelet électronique pour protéger les femmes victimes de violences remonte au 25 novembre 2009, douze ans, oui douze ans déjà et on évalue encore.
Face à la gauche bisounours qui demande plus d'argent, c'est le pragmatisme qu'il faut adopter. La société doit tenir un langage que les auteurs comprennent. Les menaces sont sanctionnées par l'imposition du bracelet. Si l'auteur persiste, c'est la prison et s'il est étranger, c'est ensuite l'expulsion. La vie de nombreuses femmes en dépend.
Amaudruz Céline
Conseillère nationale
Présidente UDC Genève
La gauche et le féminisme : “Féminicide. le Théâtre de la Colline refuse de déprogrammer Bertrand Cantat
Le directeur de la salle, Wajdi Mouawad, considère qu’il ne doit pas se substituer à la justice. Lundi, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot avait regretté que l’ex-chanteur de Noir Désir, qui a tué sa femme en 2003, soit invité sur les planches.”
https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/ce-serait-se-substituer-a-la-justice-le-theatre-de-la-colline-refuse-de-deprogrammer-bertrand-cantat-20-10-2021-LDWIJPTNGZEC7A3ESIYAPA4SSA.php
Cela fait penser à une institution appelée “L’observatoire de la pauvreté”. Il est très richement fourni en fonctionnaires, munis d’ordinateurs, œuvrant dans de luxueux bureaux. Ces grands commis de l’État observent…