Ndlr. Pour la gauche un politicien de gauche ne peut pas être coupable. Quant à l’opposition entre vie privée et vie publique, elle a bond dos. En son nom on semble pouvoir commettre des actes graves en privé sans que cela ne regarde le public. Par exemple sur des femmes? Ensuite, la théorie du complot, tant critiquée par cette même gauche, sert une nouvelle fois à disculper un socialiste. Pour les gens de gauche, les vrais coupables ce sont ceux qui ont des “intentionnées cachées et intéressées”, intentions que rien ne prouvent. N’est-ce pas cela la théorie du complot?
Le Conseiller fédéral Alain Berset est pris dans une tempête déclenchée par la Weltwoche, journal proche de l’UDC. Un des plans cachés derrière cette histoire: la votation du 28 novembre sur le certificat sanitaire.
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Le Conseiller fédéral Alain Berset est pris dans une tempête déclenchée par la Weltwoche, journal proche de l’UDC. Un des plans cachés derrière cette histoire: la votation du 28 novembre sur le certificat sanitaire.
Après son premier coup de fusil la semaine dernière, la Weltwoche en remet une couche, ce jeudi. Une deuxième «Une» sur l’«affaire Berset», où elle revient avec insistance sur ses accusations d’utilisation par Alain Berset de moyens publics pour régler une affaire privée. En évacuant les reproches adressés au conseiller fédéral, ce deuxième tir ne fait que renforcer une idée: l’hebdomadaire et le premier parti de suisse sont en croisade contre le Fribourgeois.
Extrait de: Source et auteur
Le National Berset aurait dû démissionner après la gifle titanesque infligée par le peuple pour sa lumineuse idée de refonte les retraites. Sa gestion de la COVID, l’a enfoncé au point qu’à la seule vue de sa coupole à mouche, on pouffe de rire. Maintenant, il se fait étriller dans une affaire de fesses qui donnent un aperçu de la considération qu’il a pour les femmes et des deniers publics. Mais…mais…mais, attention, c’est un camarade.