Rennes sera-t-elle encore dans 20 ans la capitale de la Bretagne administrative, ou bien un cloaque façon région parisienne ? La question se pose au regard de l’évolution sociétale, démographique, culturelle de la cité, à vitesse grand V (et ce ne sera pas faute d’avoir alerté, envers et souvent contre tous, depuis des années).
Nouvel exemple de ce changement profond de type de société – que les élus ont laissé s’installer sans réagir : une jeune fille de 17 ans vient d’être tabassée, torturée, lundi 31 mai.
Le Télégramme explique qu’elle « devait retrouver une connaissance à elle près de la patinoire des Gayeulles, à Rennes. À ce moment-là, elle a été prise à partie par trois jeunes femmes qui lui ont asséné des coups de poing au visage lui reprochant d’être en lien avec un homme qui alimente un compte Instagram qui dénigre les habitants du Blosne, un quartier de Rennes. Sous la menace d’un pistolet à impulsions électriques, elle a été forcée à monter dans un véhicule. Lors du voyage, une de ses tortionnaires lui a arraché ses faux cils. Arrachant en même temps les vrais. Arrivée à Noyal-Chatillon-sur-Seiche, au sud de Rennes, et refusant de se dévêtir, la victime s’est vue arracher sa chemise et son soutien-gorge, et entailler profondément le bras avec un cutter. Ses tortionnaires lui reprochant d’être peut-être même l’auteure du compte Instagram qui dénigre les habitants du Blosne »
Séquestrée, elle a été conduite au Blosne, trainée par les cheveux devant des individus lui ayant sauté dessus à pieds joints. Puis elle a été tondue dans la foulée, ses chaussures retirées, et menacée de mort en cas de plainte. Avant de rentrer chez elle et d’être amenée aux Urgences.
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Photo : DR
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Si les auteurs du crime avaient été du type caucasien, les journalistes militants l’auraient son seulement mentionné nommément, mais auraient publié sa photo. Étant entendu que la polémique s’étendrait sur plusieurs semaines..