Le drame de Bussigny n’est ni un drame des armes à feu, ni un drame de la misogynie

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Drame à Bussigny : « On l’entendait parfois se disputer fort au téléphone »

Cenator : Un policier a tué son amie avec son arme de service et s’est ensuite suicidé.

Nous avons appris par le 24heures du 22.03.2021 un peu plus sur le policier qui a commis ces actes horribles; -il était un Suisse de 52 ans, père de deux enfants, ne vivait pas avec cette femme originaire d'Amérique du Sud, détail caché auparavant par les médias, qui l’appellent audacieusement « sa compagne ».

Des féministes et des journalistes ont crié au féminicide et les amalgames ont refait surface accusant le genre masculin, la virilité, qui comporterait en lui de facto un composant de violence.

Lorsqu'un homme assassine une femme, on parle aussitôt de masculinité toxique, de féminicide qui serait lié à la sociabilisation virile des garçons.
Lorsque les journalistes parlent de féminicide au lieu d’homicide, les genres deviennent subitement bien distincts, fini la fluidité !

En réalité, dans le cas du drame de Bussigny, on pourrait parler par exemple d’un drame du multiculturalisme, d’un drame de la solitude, d'un drame de la séparation, ou des conséquences d’une erreur de la police communale qui savait cet homme psychologiquement fragile, ou encore de l’inefficacité des soins psychiatriques qui ne sont dans bien des cas qu’un emplâtre sur un jambe de bois.

Les voisins ont entendu le policier s’énerver souvent au téléphone en la questionnant pour savoir ce qu’elle avait fait de l’argent qu’il lui avait donné, ou avec qui elle était.

Le policier souffrait selon les voisins d’une grande solitude.

Un de ses voisins a confié aux journalistes qu’un soir, le policier lui avait même confié ses deux armes chargées pour lui éviter de faire une bêtise. Il avait alors bu un thé avec lui et l’avait conduit en hôpital psychiatrique, où il est resté un peu plus d’un mois.

*
Toute notre compassion à ses enfants et aux deux familles endeuillées.

source : https://www.24heures.ch/il-mavait-confie-ses-flingues-de-peur-de-faire-une-connerie-799920796107 ( article sous abonnement)

Un commentaire

  1. Posté par antoine le

    L’utilisation de ce genre information pour des raisons politiques est la preuve de l’inconscience des journaleux !
    En effet, au lieu d’avoir de l’empathie pour les familles en deuil, l’info est déformé dans le but de nuire à une partie de la population, les hommes.
    Cela devient lassant et ces féministes ne défendent plus les femmes !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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