Les amis, en cette veille de Noël, revenons très vite sur les élections américaines.
Le 21 décembre, Donald Trump a réuni un groupe de parlementaires Républicains à la Maison Blanche afin d’élaborer une stratégie visant à renverser le scrutin frauduleux du 3 novembre.
La vidéo ci-dessous fait suite à cette réunion. Trump résume parfaitement ce qui est le putsch électoral le plus diabolique de tous les temps.
Déclaration officielle de Donald J. Trump, Président des Etats-Unis 22/12/2020 -VOSTFR-
Visionnez cette vidéo, tout ce que dit Trump est vrai.
Au soir du 3 novembre, en suivant les élections américaines État par État, j’ai pu observer que Trump allait pulvériser tous les records et rafler au bas mot 350 grands électeurs sur 588. Et soudain, le dépouillement s’est arrêté net, sans la moindre explication.
Il s’avère que les Démocrates ont d’abord fraudé dans tous les États, à petites doses indécelables. Mais en voyant le raz-de-marée trumpiste qui se profilait, totalement inattendu, les Démocrates ont paniqué et ont aussitôt décuplé la fraude dans les 6 derniers États restant à dépouiller.
Mais évidemment, cette fraude massive, à l’échelle industrielle, ne pouvait plus être occultée. Mais il fallait bien renverser les résultats en un temps record, coûte que coûte.
Quand à minuit, Trump gagne la Pennsylvanie avec 700 000 voix d’avance et les 3/4 du dépouillement effectués, mais se retrouve perdant au petit matin, c’est parce que les 25 % de votes restants ont TOUS été attribués à Biden, sans un seul bulletin pour Trump ! Du jamais vu.
La seule option pour le camp démocrate a donc été de nier l’évidence et de rejeter systématiquement toutes les plaintes du camp républicain, avec la complicité d’une presse et d’une justice totalement corrompues.
On peut également supposer que les juges intègres ont été menacés.
Dans ces conditions, Trump peut-il encore gagner ?
Oui ! Dites-vous bien que Trump ne se bat pas depuis 50 jours sans avoir une chance de l’emporter.
Mais s’il refuse de décréter la loi martiale ou de mettre en œuvre l’Insurrection Act, il ne peut compter que sur les législatures des États litigieux, à majorité républicaines, pour contester les certifications des listes pro-Biden validées par les gouverneurs.
Sept États ont envoyé des listes dissidentes républicaines au Congrès.
Mais pour forcer la main de la Cour suprême, qui craint par-dessus tout d’être accusée d’être responsable du chaos consécutif au renversement du scrutin, il faut que les législatures s’impliquent encore davantage, en venant massivement contester le décompte des grands électeurs le 6 janvier, qui validera définitivement les résultats.
Ce n’est pas gagné, mais c’est encore jouable.
Au bas mot, sur les 50 États, Trump a été spolié d’au moins 10 millions de voix, par bourrage des urnes ou par la fraude informatique.
Le peuple américain sait maintenant ce qu’il en est de cette victoire illégitime de Biden et le monde entier le sait aussi.
Si la presse se tait et ne démonte pas le discours de Trump, point par point, c’est parce que la fraude est bien réelle et n’a rien d’une fake new.
Le silence est l’arme de Biden. Il fait le dos rond mais n’affronte pas Trump sur cette question, comptant sur les juges corrompus pour lui donner raison.
En pressant le peuple américain de ne pas capituler face aux tricheurs, Trump espère aussi faire pression sur les juges de la Cour suprême, qui seront appelés à trancher le 6 janvier entre les listes concurrentes.
À suivre, tout va se jouer le 6 janvier.
Je ne sais pas si Trump va s’en sortir. Il le mérite mais les forces du Mal sont colossales et bon nombre de traitres du camp républicain l’ont lâché.
Contre Trump, c’est l’union sacrée des Démocrates, de la presse et de la justice, alors que les Républicains sont divisés, avec bon nombre d’élus qui se couchent au lieu de se battre pour la justice, la vérité et la démocratie.
Cela dit, gardons espoir jusqu’au bout, comme Trump, et joyeux Noël à tous.
Jacques Guillemain
Les juges des tribunaux locaux, des États et de la Cours Suprême des États-Unis sont des vendus aux démon-rats, des lopettes !
Il est devenu évident qu’une FRAUDE industrielle a eu lieu le 3 novembre 2020 lors de l’élection présidentielle !
Les démon-rats en sont les instigateurs et il ne faudra pas trop attendre (6 janvier) pour que Justice se fasse !
Les fraudeurs et ceux qui tirent les grosses ficelles en coulisse (Obama, Clinton s0r0s, etc …) vont en payer le prix et finir au trou !
Si Trump venait à renverser le scritin le 6 janvier prochain, alors la Fête des Rois n’aura jamais aussi bien porté son nom.