Etats-Unis, prochaine étape, la guerre civile?

Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens
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Après la phase de découverte des fraudes massives du scrutin du 3 novembre et la présentation des éléments, les stratégies des deux camps s'affinent et le volet judiciaire se renforce. Big Tech ploie de tout son poids pour tenter d'empêcher le grand public d'accéder aux informations données par la Présidence des États-Unis (écrire cette phrase aurait été impensable il y a deux mois) et, bien entendu, les médias européens, fidèles suiveurs des pires d'entre eux aux États-Unis, font de leur mieux pour que personne ici ne sache ce qui se passe.

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2016: "La Russie a interféré avec l'élection!"
2020: "Comment osez-vous remettre en question l'intégrité de l'élection!"

YouTube vire en mode "Ministère de la Vérité façon 1984" en interdisant désormais de diffusion toute vidéo mettant en doute "la réalité du résultat des élections américaines de 2020". Twitter a de son côté bloqué pendant quelques temps toute interaction avec les tweets de Donald Trump: plus possible de les liker, ou de les retweeter. C'est un galop d'essai. Et je vous l'avoue, pour arriver à trouver les informations qui sont en lien avec ce billet, il n'est plus possible d'utiliser Google. Je me sers désormais de DuckDuckGo pour de telles recherches.

Actualités de la fraude

Aux nombreux éléments à charge présentés sur ce blog (ici, ici, ici, encore ici, et ) de nouveaux documents se font jour. Heureusement, plus d'un mois après le vote le flux commence un peu à se tarir. La fraude électorale fut visible sur tous les écrans de télévision.

Des vidéos de télésurveillance en Géorgie montrent des observateurs républicains renvoyés chez eux "puisque le dépouillement est suspendu pour la nuit" au prétexte d'une fausse fuite d'eau, et ensuite les agents de Biden restés sur place sortent des valises de bulletins cachées depuis le début sous des tables pour les faire passer au dépouillement, rejouant parfois les mêmes liasses plusieurs fois. Des médias affirmèrent que ces enregistrements sont "bidon" mais bien sûr ils mentent.

Les votes enregistrés depuis les machines de dépouillement sont transmis aux serveurs officiels par de simples clés USB, même pas encryptées, qui ont été compromises le jour de l'élection.

Des agents intègres du dépouillement ont pu démontrer que les machines de comptage Dominion accordaient un coefficient multiplicateur à Biden contre Trump.

Le Michigan a accepté les votes de 170'000 personnes non répertoriées dans les registres électoraux. Et on trouve encore des bulletins frauduleux par palettes entières.

Le Colonel Waldron confirme que les États-Unis ont pu intercepter des paquets de données entre les machines Dominion (qu'il était illégal de connecter à Internet le jour du dépouillement!) et des serveurs à Francfort.

Les directeurs de la société Dominion, comme Eric Coomer, ont disparu. Les ex-employés de Dominion effacent leurs profils sur LinkedIn. Dominion a reçu 400 millions de dollars de la Chine juste avant l'élection présidentielle, ce qui constitue une ingérence étrangère inacceptable dans le processus électoral d'un pays souverain. Cuba et le Venezuela sont aussi impliqués, et même le Hezbollah. Bien sûr, George Soros est aussi de la partie.

Enfin, Sidney Powell affirme que Dominion a été employé pour tricher dans les élections américaines depuis "plus d'une décennie." Combien de sénateurs ont fait carrière et influé sur les grands axes du pays grâce à la fraude électorale?

L'intervention du Texas

Le Texas lança le 7 décembre peu avant minuit une action en justice contre la Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin pour avoir compromis l'égalité de traitement entre citoyens en ne respectant pas la Constitution, ouvrant la voie à de nombreuses fraudes. Le texte de la plainte est ici. Le Président Donald Trump rejoignit la plainte, ainsi que de nombreux états fédérés.

La réponse de la Pennsylvanie, disponible ici, n'oppose aucun élément contradictoire à la plainte du Texas. Elle met en avant l'indépendance de l'état, le risque de conséquences néfastes en  remettant en question les résultats des élections, mais ne conteste aucun des faits présentés par le Texas - un détail que le Texas souligna.

Le Décret 77 de Pennsylvanie modifia la conduite des élections en Octobre 2019 - à une époque où la perspective d'une épidémie mondiale de Covid-19 n'était que le délire ridicule d'une poignée d'illuminés. Elle ne fut donc pas inspirée par les conditions sanitaires en vigueur en novembre 2020, mais bien par la perspective de rendre plus facile une fraude électorale massive. Elle permit à des électeurs de s'inscrire pour l'élection jusqu'à seulement 15 jours avant le scrutin, au lieu de 30 jours. Elle dispensa ces derniers de fournir une raison pour cette demande, en violation directe de la Constitution de Pennsylvanie. Et elle fut ensuite encore poussée en avant par les autorités locales: plus besoin de vérifier la date de réception de l'enveloppe, ni même la présence d'une date sur l'enveloppe. Plus besoin de vérifier la véracité ni même la présence d'éléments de base comme une date de naissance ou une adresse. Plus besoin de vérifier la signature sur l'enveloppe contre celle de la demande de vote par correspondance, ni même, à vrai dire, la présence de la moindre signature. Les bulletins reçus même trois jours après la fin de l'élection (en théorie au 3 novembre 2020 à 20h heure locale, la fermeture des bureaux de vote physiques) durent être comptabilisés, mais comme de toute façon ils pouvaient être dispensés de tampon de la poste...

Toutes ces modifications furent imposées par décret par le gouverneur de Pennsylvanie, le démocrate Tom Wolf, et la Secrétaire d'État de Pennsylvanie, la démocrate Kathy Boockvar, ou par décision de justice de la Cour suprême de Pennsylvanie, forte de cinq membres démocrates contre deux républicains. Aucun de ces changements du dépouillement du vote de l'élection de 2020 ne fut validé par l'assemblée législative de Pennsylvanie, comme l'exigent la Constitution de l'état et la Constitution américaine. Voilà en quoi le déroulement du scrutin dans cet état viole la Constitution.

Dans une décision remontant au mois d'Octobre de cette année, le Justice Neil Gorsuch écrivait encore, au nom de la Cour Suprême dans une décision votée 5 contre 3 au sujet des lois électorales - du Wisconsin dans ce cas - que "la Constitution indique que les législateurs des états - pas les juges fédéraux, pas les juges d'état, pas les gouverneurs ni aucun autre officiel - portent la responsabilité principale de l'organisation des élections."

On ne saurait être plus clair.

Et pour couronner le tout, contrairement à une injonction du Justice Samuel Alito de la Cour Suprême imposant à la Pennsylvanie de séparer les bulletins de vote reçus après le délai normal du 3 novembre - dans la perspective de clarifier de futures contestations - les bureaux de vote de Pennsylvanie mélangèrent délibérément les bulletins de vote reçus après le soir du 3 novembre, comme dans la nuit du 3 au 4 mais aussi des jours suivants, afin de rendre tout traçage impossible, ce qui est une nouvelle violation des processus électoraux.

Conséquences de ce premier jugement

Même si la plainte du Texas et des états associés n'était en elle-même qu'un cadeau inattendu se rajoutant aux plaintes en suspens de l'équipe de campagne de Donald Trump, la façon dont le dossier fut sèchement retoqué devant la Cour Suprême n'est évidemment pas bon signe. L'échec de cette procédure judiciaire a de grandes conséquences.

Le rejet de la Cour Suprême n'est pas un problème en tant que tel - d'autres décisions sont pendantes - il l'est parce qu'une fois de plus, une Cour de justice refuse d'examiner les preuves apportées dans le dossier. Les médias mentent effrontément à la moindre occasion - clamant que tout échec devant une Cour montre qu'il n'y a pas eu fraude. Mais on ne pourrait pas être plus éloigné de la vérité. Les accusations de fraude électorale n'ont jamais été examinées, par aucune Cour. Jamais! Les dossiers portés devant la justice par l'équipe Trump sont constamment défaussés pour des raisons techniques (délais, forme, etc.) souvent pétries de mauvaise foi, mais jamais le fond n'a été examiné. Jusqu'à présent, tous les témoignages sous serment, vidéos, récits de lanceurs d'alertes, restent dans les cartons.

Un seul témoignage vieux de plusieurs dizaines d'années fut suffisant pour faire traîner pendant des semaines la nomination du juge Kavanaugh à la Cour Suprême, le temps que l'enquête amène ces calomnies à s'effondrer. Un seul témoignage d'un lanceur d'alerte anonyme fut suffisant pour provoquer une tentative de destitution du Président Trump. Mais des milliers de témoignages de fraude électorale, parfois accablants, ne sont pas suffisants pour entraîner l'ouverture d'une enquête sérieuse.

Ce n'est ni le hasard, ni la malchance. Les juristes savent très bien que le jour où un premier juge sera forcé à mettre le nez dans les faits, il sera tout simplement impossible de nier l'existence de fraudes massives. Tout le château de carte de la "victoire de Joe Biden" ne tient qu'à cette condition. Depuis un mois, la justice pratique donc l'esquive.

La Cour Suprême était la dernière instance en mesure de réellement prendre les choses en main. Le Texas lui en donnait l'opportunité, et elle s'est également dérobée. Sa décision montre que les juges qui la composent choisissent eux aussi de ne "pas se mêler" du scrutin de 2020, en tout cas pour l'instant. Or, il est indispensable qu'ils aient un jour le courage de le faire, faute de quoi toute l'approche juridique du règlement de l'élection s'effondrera.

Et elle ouvrira la porte à autre chose.

Vers une crise institutionnelle

Le régime américain traverse une des plus grande crises de son histoire depuis la Guerre de Sécession. Il ne s'agit pas du résultat d'une élection mais d'une crise institutionnelle qui se résume en une seule phrase: est-il possible que des institutions américaines soient défaillantes au point d'accorder la présidence à un candidat qui a massivement fraudé lors de son élection?

Faut-il rappeler qu'il y a quatre ans, ces mêmes institutions se sont lancées dans une guérilla de trois ans et demi contre Donald Trump sur la base mensongère d'une "ingérence russe" dans l'élection présidentielle?

Un sondage récent montre que 68% des Républicains déclarés pensent que le résultat de l'élection présidentielle a été volé, et 77% des partisans de Trump - toutes étiquettes confondues - pensent qu'il est le véritable vainqueur de l'élection présidentielle. 10% des Démocrates et 20% des Indépendants sont du même avis. Ce sondage en corrobore d'autres ; selon des chiffres plus anciens, l'un d'eux avait même mesuré que 30% des Démocrates et 75% des Républicains estimaient que le scrutin du 3 novembre avait fait l'objet de fraudes massives.

Ces chiffres réduisent en morceaux la propagande continue des médias. La digue de l'omertà et des mensonges est rompue. Une part importante d'une population de plus de 70 millions de personnes pense que l'élection présidentielle risque d'installer à la Maison Blanche un Président illégitime. Aux yeux de tous ces Américains, un coup d'état est en train de réussir.

Ils ne l'accepteront pas.

Comment réagiront-ils, voilà l'inconnue. Mais depuis des mois l'Amérique est en proie aux milices de casseurs des Black Lives Matter payées par Soros. Elle a donc vu comment certaines catégories de personnes pouvaient se livrer à la violence en toute impunité. L'Américain moyen est écœuré, ruiné par les restrictions liées au Covid-19, et ne se laissera certainement pas déposséder de son pays.

Contrairement à ce que des éditorialistes pourraient proclamer dans les colonnes des journaux, le rejet et le dégoût ne sont aucunement limités au vulgum pecus, la plèbe.

La plainte déposée par le Texas a été rejointe par l'Alabama, l'Arkansas, l'Alaska, la Floride, l'Indiana, le Kansas, la Louisiane, le Mississippi, le Montana, le Nebraska, le Dakota du Nord, le Dakota du Sud, l'Oklahoma, la Caroline du Sud, le Tennessee, l'Utah, et la Virginie occidentale. On parle de responsables juridiques experts en droit de haut vol. En face, il ne s'agit pas de le nier, d'autres états se sont ralliés quant à eux aux quatre mis en cause. La taille de chaque camp ne montre en rien qu'il a plus raison que l'autre. Elle montre, en revanche, que l'inquiétude soulevée aux plus hauts niveaux du Texas n'a rien d'un facteur isolé, et que la plainte n'a rien de frivole. Une profonde fissure s'est creusée entre les états du pays.

Les Texans - et leurs alliés - n'ont guère digéré que la Cour Suprême accepte que certains états se permettent de ne pas respecter la Constitution, et permettent ainsi des fraudes qui privent leurs millions de citoyens d'une représentation adéquate à la Maison Blanche.

Osons l'écrire, l'idée d'une sécession fait son chemin, promue par des responsables politique de haut niveau.

Pour l'instant, en apparence, tout est calme. L'affrontement se passe dans les couloirs feutrés des tribunaux, et chacun espère patiemment que la vérité surgisse des ténèbres. Il est aussi possible que cela ne soit pas le cas, et si ce moment arrive bien malin qui pourra prédire ce qui peut se passer. Mais peut-être Donald Trump a-t-il encore un tour dans son sac, nous le verrons d'ici quelques jours.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 14 décembre 2020

13 commentaires

  1. Posté par confucius le

    Le plus beau de tous les dictons sera toujours celui-ci :
    “Assieds toi au bord de la rivière et attends de voir passer le cadavre de ton ennemi”

  2. Posté par Lug le

    TRES IMPORTANT:
    ECRIVEZ UN ARTICLE ET POSTEZ LE LIEN VERS cette toute nouvelle vidéo qui ne devrait pas rester longtemps sur Youtube vu la censure qui y règne. Raison pour laquelle il est recommandé de la copier et de la diffuser.
    “Les malversations des Biden en Ukraine sont dévoilées par la justice de ce pays dans cette vidéo. Elles sont massives, extrêmement graves et prouvées par les autorités Ukrainiennes.”
    Voici le lien:
    https://www.youtube.com/watch?v=hKDXVo-OKeQ&feature=emb_logo

  3. Posté par miranda le

    PARTOUT, PARTOUT, ils ont réussi à créer DEUX PEUPLES.

    Il leur a suffit de s’emparer des médias ou d’en créer un nombre intéressant avec un bon package de divertissements pour qu’une bonne majorité d’individus cèdent à leurs pratiques hypnotisantes. Et surtout de faire en sorte que toute dissidence soit perçue comme COMPLOTISTE, alors que le complot c’est eux.

    Mais “bravo à leur manipulation ou inversion accusatoire”, car bon nombre d’individus y ont adhéré. Bien sûr cette stratégie s’effondrera avec le temps. Parce qu’elle comporte en elle les germes de sa destruction : la privation de la liberté individuelle d’abord, et les méthodes brutales pour y parvenir (car l’individu finit par comprendre parfois trop tard vers quoi on le mène et de quoi on le prive).

    L’autre partie du peuple, doté de plus de LUCIDITE a su aller chercher l’information ailleurs. On la nomme complotiste, mais demain on dira que c’était la RESISTANCE et la LIBERATRICE.

    Un journaliste va plus loin et souligne la collusion qui se produit entre la Chine communiste et les mondialistes pro-communistes (assurant leur survie) , au risque DANGEREUX de laisser la Chine dominer.
    https://www.youtube.com/watch?v=gUsck7Ziq1M

  4. Posté par Mabillard Eddie le

    Puisque nos médias n’avaient aucun sujet guerrier à discuter, alors ils se sont braquer sur le meilleur président des USA depuis Reggan. Mais maintenant ils pourront de nouveau enfin parler de guerre, car le complexe militaro-industriel intimera aux deux séniles d’en commencer deux ou trois pour compenser le retard pris pendant 4 ans.

  5. Posté par Amnesia le

    Eric Coomer toujours vivant, Denver Post, merci de vous renseigner un minimum.

  6. Posté par lefevre le

    biden voleur

  7. Posté par kandel le

    Aux USA, la peur a pris le contrôle, y-compris au sein de la Cour suprême
    Posté le 14/12/2020 dans International
    Guy Millière fait le point sur la situation institutionnelle et électorale quasi-explosive aux États-Unis, alors que le Congrès électoral est censé se réunir aujourd’hui pour choisir le futur président américain.
    source: https://goldnadel.tv/international/international/elections

  8. Posté par Stephane Montabert le

    Complément d’information: un premier rapport d’expertise sur les machines de vote Dominion est disponible. “Nous concluons que le Système électoral Dominion est intentionnellement et délibérément conçu avec des erreurs inhérentes pour créer une fraude systémique et influencer les résultats des élections.”

    https://www.depernolaw.com/uploads/2/7/0/2/27029178/antrim_michigan_forensics_report_%5B121320%5D_v2_%5Bredacted%5D.pdf

    Il s’agit d’un rapport d’expertise sur le Système de vote Dominion demandé par un juge du Michigan dans le comté d’Antrim.

  9. Posté par antoine le

    Nous sommes le 14 décembre, les Grands Electeurs votent.
    Le 6 janvier, leurs votes seront comptés et le 20 janvier un Président sera élu.
    D’ici-là, de l’eau passera sous les ponts …

  10. Posté par Chris le

    C’est plié, mais Joe se prépare une belle présidence. Avec quasiment la moitié du pays le considérant comme illégitime. Du jamais vu.

  11. Posté par Rictus le

    Calmez-vous ! L’affaire est entendue et dès le 20 janvier votre Donald adoré pourra participer toute la semaine à des tournois de golf pour vétérans. Rendez-vous dans quatre ans.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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