Lorsque l'épidémiologiste d'État Anders Tegnell a été invité à l'émission Aktuellt de la chaine SVT [NDLR : Télévision suédoise] jeudi soir, on lui a demandé, entre autres choses, pour quelle raison le nombre de morts en Suède pendant la pandémie se démarque si fortement par rapport aux pays voisins. En plus de souligner la forte proportion d'immigrants en Suède, M. Tegnell a également affirmé que la Suède est dans la norme, tandis que la Norvège et la Finlande font office d'exceptions en Europe.
On sait depuis longtemps que c'est principalement parmi les migrants que l'infection se propage. Lorsque le nombre de morts venait de dépasser 1 000 individus, il a été établi que les immigrants étaient surreprésentés. Il s’agit également de maisons de retraite où travaillent de nombreux immigrants sans connaissances ni expérience supplémentaires.
Selon M. Tegnell, la raison de cette différence est que certains pays sont moins peuplés que d'autres, mais aussi qu'ils ont des groupes d'immigrants relativement petits. Les migrants ont été très actifs dans la transmission de l'infection.
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
Une preuve de plus pour que ces immigrants ne soient accueillis qu’à dose homépathique et pas en masse comme en Suède justement.
Il est bien connu que ces immigrants sont des importateurs de maladies: SIDA, tuberculose toujours très contagieuse et de plus en plus souvent multi-résistante aux antibiotiques, variole du singe, ou orthopoxvirose simienne, drépanocytose, maladies parasitaires, gale, poux, lèpre, maladies sexuellement transmissibles comme la syphilis, hépatites A et B, poliomyélite, coronaviroses telle que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV), dentition négligée, affections psychiatriques en particulier la schizophrénie qui est plus fréquentes dans les familles où les cousins se marient entre eux, etc. La malaria est même revenue en Italie en 2016 avec les immigrés. Quand la malaria reviendra-t-elle dans notre plaine du Rhône et le Seeland? Ont aussi été reportés en Italie un premier cas de chikungunya qui n’a guère alerté les autorités puis 102 cas, un mort d’une méningo-encéphalite d’origine sahélienne et un méningite du type Nil occidental. Ces immigrants extra-européens non-contrôlés et pas expulsés à la frontières de Schengen sont des réservoirs infectieux contaminants qui n’ont pas été vaccinés, ni traités comme il se doit dans leur pays d’origine. De plus ces sacs à maladie sont difficiles à vacciner, à examiner, à soigner et à isoler car tout vaccin, dépistage, analyse du DNA, traitement, isolement, moyens anticonceptionnels, leur paraissent discriminants et racistes. De plus tous les illégaux disparaissent dans la nature. Et voilà que, associée à la pouillerie musulmane, la gauchiasserie et ses élus dispersent ces sacs à maladie dans les villages de toute l’Europe et des médecins de gauche d’affirmer dans la presse médicale que les pathologies des immigrants ne sont pas un risque contagieux pour les habitants. Pourtant selon le CDC américain (le célèbre Center for Diseases Control de Atlanta) le mycobacterium tuberculeux n’est pas seulement contagieux mais appartient à la catégorie C des agents biologiques pouvant être utilisés à des fins offensives et le Escherichia coli de la viande halal appartient à la catégorie B.
”Les migrants ont été très actifs dans la transmission de l’infection.”
Nous allons entendre hurler les ONG et autres associations !! Pas d’amalgame ou autres âneries !
A Malte, 70% des migrants illégaux étaient contaminés.
https://lesobservateurs.ch/2020/08/01/pres-de-70-des-migrants-arrives-a-malte-ont-ete-testes-positifs-au-coronavirus-annonce-le-gouvernement-maltais/