Sale temps pour la police. Et pour le gouvernement. Avec ces affaires de « violences policières » qui se suivent dans les médias, il ne fait pas bon résider place Beauvau. Il y a d’abord eu l’évacuation musclée de la place de la République, qui a mis vent debout l’extrême gauche et son cortège d’immigrationnistes hurlant aux violences policières. Et voilà qu’une autre affaire est mise en lumière. De quoi ébranler un peu plus le ministre de l’Intérieur. Samedi dernier, Michel Zecler, le patron d’un studio d’enregistrement, Black Gold Studios, situé dans le XVIIe arrondissement de Paris, s’est fait tabasser par trois policiers qui passaient par là. L’homme est noir, ne porte pas de masque et affirme s’être dépêché de rentrer chez lui en voyant l’équipage de police. Lequel équipage l’a suivi et roué de coups tout en lui servant des injures racistes… On s’étonne d’une telle violence gratuite surtout par les temps qui courent et l’hystérie collective autour de Black Lives Matter. Les images sont là, car la scène a été filmée par la vidéo de surveillance du studio mais on ne voit pas, cependant, comment tout a commencé. Pourquoi ce déchaînement de violence ? Le mystère, pour l’instant, reste entier. Ce que l’on sait, c’est que les trois fonctionnaires – qui ignoraient être filmés – ont rapporté dans leur PV des faits qui ne concordent pas avec ce que montre la vidéo. Délicat.
Délicate aussi, de fait, devient la position de Gérald Darmanin qui se serait fait sermonner par un chef de l’Etat « très choqué » par les images de la vidéo et très en colère. Pensez donc : des migrants expulsés manu militari puis ce producteur noir tabassé, ça commence à faire beaucoup pour un régime qui se veut tolérant, libéral et bienveillant. Aussi, pour redorer son image faut-il taper sur la police. Des sanctions ont été demandées contre des policiers un peu trop zélés de la place de la République, les trois fonctionnaires épinglés par la vidéo sont d’ores et déjà mis à pied et une enquête de l’IGPN a été diligentée.
Comme un fait exprès, ressurgit ces jours-ci l’affaire Théo, pour laquelle la défenseure (sic) des droits, Claire Hédon, demande que des sanctions disciplinaires soient appliquées envers les policiers qui auraient agi de façon « disproportionnée ». Que ledit Théo ait un casier judiciaire long comme le bras et soit bien connu des services de police ne pèse apparemment pas dans la balance.
Alors, que se passe-t-il en France ? Notre pays serait-il malade de sa police ? Qu’il y ait des planches pourries, c’est certain. Qu’ils le soient tous relève du pur fantasme de La France insoumise. Mais la médiatisation de toutes ces affaires entretient une petite musique condamnant l’usage de la force, même quand celle-ci est justifiée. La presse de gauche se récrie, pleure, récrimine et le pouvoir tremble : c’est le pouvoir des Blancs qui se déchaîne sur les gens de couleur. Elle a oublié de s’offusquer – tout comme Emmanuel Macron d’ailleurs – lorsque les policiers de Valls ont gazé et tabassé des manifestants LMPT ou ceux de Castaner éborgné des Gilets jaunes. Mais eux l’avaient bien cherché et puis ils étaient blancs. D’ailleurs, à ce jour, l’IGPN n’a fait que deux propositions de sanctions sur les 378 enquêtes ouvertes.
La légende des « violences policières » servirait-elle à faire oublier une réalité, la violence qui s’abat sur vous au coin de la rue pour une cigarette refusée ou un « mauvais regard » ? •
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Extrait de: Source et auteur
Parce que le “migrant” qui a faillit tomber la tête la première sur un bloc de granit, et toutes les images de violence gratuite contre les Gilets jaunes, n’existent pas ?
Et les images ou des policiers se changent en casseurs Au cul du camion de Police , non ?!
Certes l’état manipule , Mais les images sont la ….ces images à présent interdites……la dictature en marche Donc.
Des collabos en bas et des collabos tout en Haut, qui obéissent à soros , attali et gates.