Français enfermés, islamistes en liberté

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Présent en est ce jour à son numéro 9732. Comme un clin d’œil de l’histoire. Ce n’est pas le seul cri que le passé a poussé ces dernières vingt-quatre heures : des miliciens turcs se sont livrés à une chasse aux Arméniens nulle part ailleurs qu’à… Vienne. Scandaleux spectacle que celui de cette meute de centaines de Turcs se baladant en liberté et criant Allah Akbar dans les rues de la France profonde pour tabasser des chrétiens arméniens alors que les Français, assignés à résidence, étaient priés de regarder, devant leur télévision, le président censé les protéger.

Le lendemain de cette soirée absurde, c’était le jour anniversaire de Mahomet. Enfin pour une partie des musulmans, parce qu’une autre refuse de reconnaître cette date comme authentique. Ce qui devrait déjà nous éclairer sur le sérieux de la relation des musulmans avec le passé et la vérité de l’histoire. Toujours est-il que cet anniversaire de la « religion de paix et d’amour » a été dûment arrosé par le sang français, à Nice cette fois. Les faits se sont produits autour et dans la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption, où un islamiste a décapité une vieille dame et attaqué deux autres personnes au couteau, dont le sacristain. A l’heure où cet article est rédigé, le bilan est de trois morts. L’assaillant répétait compulsivement « Allah Akbar », information confirmée par les pouvoirs publics très rapidement. Personne ne peut plus dire décemment que c’est la République qui est visée par cette attaque : c’est bel et bien la France, la France que nous croyons éternelle, mais qui ne le sera plus pour longtemps si une politique d’extrême fermeté n’est pas adoptée. La presse régionale a confirmé que le gardien de l’église faisait partie des victimes. Selon le magazine L’Incorrect qui s’est procuré une photographie de l’auteur, il s’agit d’un garçon de type extra-européen d’une vingtaine d’années.

L’auteur de cet attentat ignoble sur des personnes parfaitement incapables de se défendre en raison de leur âge est d’une lâcheté répugnante. Il a été maîtrisé, environ dix minutes après les faits, par la police qui a ouvert le feu pour le mettre au sol. Il est à ce moment encore en vie. « Nous sommes en guerre contre l’islamo-fascisme » a déclaré Christian Estrosi, maire LR (favorable à une alliance avec LREM) de Nice, comme si le terroriste, ivre de haine et de rage, avait un quelconque rapport avec l’idéologie qui a guidé la politique italienne entre 1922 et 1945. Une déclaration dont nous laissons l’appréciation aux lecteurs.

Ce quinquennat n’est objectivement pas facile du tout pour Emmanuel Macron, qui hérite d’une situation compliquée entre Gilets jaunes, pandémie mondiale, attentats et tension avec la Turquie. Mais il est d’une part responsable de sa gestion, et d’autre part coresponsable de la situation dans la mesure où l’idéologie progressiste et républicaine à outrance des membres de son gouvernement et de la majorité du Parlement est l’exact calque de celle de leurs prédécesseurs. Jusqu’au cou. •

Benoît Busonier

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