Mais ça c’était avant.
Un colloque à Corfou est consacré ce week-end à Jean-Gabriel Eynard. 150 ans après sa mort, il reste perçu comme l’homme qui mit financièrement la Grèce debout
Quel symbole! En pleine débâcle économique, alors que les experts européens de la «troïka» tentent ces jours-ci à Athènes d’évaluer l’impact des réformes exigées par Bruxelles, la Grèce honore la mémoire d’un banquier qui la porta sur les fonts baptismaux. 150 ans après la mort, le 5 février 1863, du financier genevois Jean-Gabriel Eynard, un colloque réunit samedi et dimanche sur l’île de Corfou les plus fins connaisseurs du personnage, et de ses efforts inlassables pour remplir, à partir de 1823, les caisses vides des indépendantistes Grecs en rébellion contre l’Empire Ottoman.
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Ils peuvent bien faire de la lèche : qd ils s’occuperont de leur corruption et l’avoueront devant leurs électeurs en + de s’excuser pour avoir traité Mme Merkel de nazi… peut-être qu’on pourra donner qq’crédit de bonne foi à leurs blabla.