On cherche à comprendre…
Vendredi, Macron avait tenu son discours contre le « séparatisme », sifflé par la gauche, et applaudi par une partie de la droite. Mais le débat se prolonge sur un point précis de son intervention, qui pourrait ruiner le côté « droit dans ses bottes » du discours : c’est l’idée qu’il faudrait développer en parallèle l’apprentissage de l’arabe, à l’école et dans le cadre périscolaire. On croyait pourtant que la majorité avait tourné le dos à la pratique si confuse et paralysante du « en même temps ». Darmanin, le dur de dur sur ces questions, Blanquer, le Jules Ferry du XXIe siècle, applaudissent pourtant des deux mains.
Les arguments du gouvernement sont les suivants : l’arabe est la cinquième langue du monde, il faut l’enseigner davantage. D’autre part il vaut mieux que son apprentissage se fasse dans des structures « maîtrisées » plutôt que dans des mosquées salafistes. Enfin la « culture plurielle » est une richesse qu’il faut valoriser. Mais l’intégration, qui est la grande question, la question de l’appartenance à une communauté de destin, passent le plus souvent par une langue commune, cette question est éludée.
Certes l’arabe est une belle langue, mais la possibilité de l’apprendre et de l’étudier est une option déjà ouverte. Et puisque l’arabe n’est que la cinquième langue du globe, n’est-il pas plus urgent d’apprendre d’abord les quatre premières, à commencer par le français, insuffisamment possédé et défendu par les Français eux-mêmes, trop souvent remplacé par un sabir anglo-arabe ? Quant à l’idée que la promotion de l’arabe éviterait aux jeunes de se rendre dans les mosquées salafistes, elle est pour le coup empreinte d’une grande naïveté. La bonne question est : que font des mosquées salafistes sur le territoire français ? Les fermer réglerait de façon plus radicale le risque d’endoctrinement islamiste. Quant au dernier argument, il est alambiqué : « la culture plurielle est une richesse » nous dit Macron, et enseigner l’arabe de façon plus systématique permettrait donc le développement de cette richesse…
« Une islamisation de l’Education nationale » (Luc Ferry)
L’ancien ministre de l’Education nationale de Chirac, Luc Ferry, a réagi assez violemment à ce qu’il avait déjà eu l’occasion d’appeler « une fausse bonne idée » : « C’est ridicule ! » a-t-il lâché, expliquant que c’était au contraire le meilleur moyen de favoriser « la prolifération d’écoles coraniques ou d’écoles confessionnelles ». Luc Ferry craint pour sa part « une islamisation de l’Education nationale ».
Curieusement les recettes que les adeptes du « laïcisme républicain » (Macron n’a eu que ces mots à la bouche pendant toute son intervention de vendredi) ont appliqué aux petits Français, sous la IIIe République, consistaient à leur interdire la pratique des langues régionales. Les petits Bretons, en particulier, furent les victimes d’une véritable discrimination, et d’une sorte de génocide culturel. Il s’agissait en fait, dans ces régions, d’arracher les enfants aux « superstitions », et plus globalement à l’influence de l’Eglise. Le nouveau « laïcisme républicain » commande donc à présent d’enseigner la langue qui véhicule l’islam, pour que les enfants ne fréquentent pas les mosquées islamistes. On a du mal à comprendre le raisonnement !
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Extrait de: Source et auteur
Les plus vieux d’entre nous connaissent l’histoire de Gribouille qui, pris par la pluie, se jeta dans la rivière pour ne pas se mouiller. C’est exactement la politique de l’énergumène de l’Élysée. Tout de même ! Il faut être un vicieux crétin pour introduire le charabia à l’école. Il est vrai que l’école de la république ne vaut plus tripette ! Elle a fonctionné jusqu’à la réforme Fouché, lorsque les délires pédagogiques venus d’Amérique ont rencontré l’oreille des ministres qui, chacun à son tour, ont apporté des détériorations. Voilà, mon p’tit Mohamed, tu n’as plus besoin de te mettre la rate au court-bouillon pour apprendre le françaouya, t’est chez toi, la France c’est le bled, tu peux jacter en chamelier.
crétins.. le ministre de l’Intérieur DARMANIN EST ARABE LUI-MÊME
son véritable nom de famille est MOUSSA !
Pour comprendre il faut savoir que le mignon Macron et un des pires crypto-communistes élevé en stabulation libre dans le bac à sable des bobos par sa mégère “bonne conscience” et qu’il gouverne comme il déclare, c’est-à-dire qu’il adapte ses bobards aux lieux où il s’exprime donc sans crainte de se contredire 5 minutes après, ce qui qualifie son autre qualité de faux-culs. Il faut penser que la vieille l’a soustrait à sa famille pour vraisemblablement en faire son sex-toys-boy et que maintenant dégouté par la gente féminine et devenu pd comme un phoque et il courre dès qu’il repère un négro. https://www.ladepeche.fr/article/2018/10/02/2880309-felix-eboue-revient-humour-visite-emmanuel-macron-antilles.html donc naturellement LA PHOTO DU TASTE-NÈGRE EST LARGEMENT CENSURÉE A POSTERIORI DANS TOUS LES MÉDIAS A LA BOTTE, DONT TWITTER. https://www.huffingtonpost.fr/2018/10/01/fabrice-eboue-macron_a_23547275/ Heureusement causeur sauve la mise https://www.causeur.fr/macron-antilles-doigt-eboue-braqueurs-154950
C’est donc sans étonnement que cet imposteur mondialiste anti-national a déclaré devant les Algériens que la colonisation était un crime contre l’humanité. Sous-entendu que les Français devaient payer par l’invasion migratoire de criminels de masse échappés aussi d’asile psychiatriques.