Lancé à grand renfort de publicité en février dernier par le président Macron et présenté sans cesse depuis comme le signe de la « volonté très ferme » du gouvernement de lutter contre le développement sur notre sol d’enclaves communautaristes « hostiles à la République », le fameux projet de loi contre le séparatisme, dont les premières mesurettes ont été dévoilées en début de semaine, risque fort de se limiter une fois de plus à une vaste opération de communication. Notamment parce que, comme d’habitude, il élude le problème de l’immigration-invasion qui est pourtant la première et principale cause du séparatisme islamiste en France.
« Il faut employer les bons mots »
Faire la guerre commençant toujours par désigner l’ennemi, on notera d’abord, comme l’a fait mercredi Robert Ménard, que, « sur le séparatisme, il faut employer les bons mots ». En effet, a rappelé sur France Info le maire de Béziers en commentant le séminaire organisé le jour même sur le sujet par le gouvernement, « c’est l’islamisme la question », et non le bouddhisme, le taoïsme ou encore le judaïsme. Or, on soulignera que, une fois de plus, le gouvernement, effrayé à l’idée d’être accusé par le lobby islamophile de « stigmatisation », préfère se cacher piteusement derrière le terme très général et assez vague de « séparatisme ». Pire encore : alors que nos compatriotes attendent de l’Etat un véritable « plan de bataille » programmant l’éradication définitive de l’islamisme dans l’ensemble des secteurs et à tous les échelons de la société française, les quelques mesures annoncées par le gouvernement ces derniers jours ressemblent plus à des « rustines » qu’à autre chose. C’est ainsi que, dans ce projet encore provisoire, et dont on ne connaîtra l’intégralité qu’à l’automne prochain lors de sa présentation en Conseil des ministres, figurent pêle-mêle l’accélération de la fermeture des salles de prières et sites Internet « ne respectant pas les valeurs de la République », le renforcement du contrôle des associations de soutien scolaire et autres associations briguant des subventions publiques, la lutte contre la polygamie ou encore l’interdiction et la « pénalisation » des certificats de virginité.
Pas un mot sur l’immigration !
Enfin, dernière mesure qui montre bien à quel point le gouvernement est à côté de la plaque, celui-ci envisage de rendre « plus solennelles » les cérémonies de… naturalisation. En clair, alors que ces dernières décennies d’immigration massive, essentiellement en provenance de pays musulmans, ont justement créé toutes les conditions pour que se constituent et se développent sur notre sol de véritables enclaves étrangères aux mains des islamistes, le gouvernement n’envisage pas un seul instant de mettre immédiatement fin à ce déferlement, et encore moins de stopper sa politique folle de naturalisations systématiques ! Autant dire que le « séparatisme » contre lequel Macron prétend vouloir lutter aujourd’hui a encore, hélas, de beaux jours devant lui… •
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Extrait de: Source et auteur
”M. Micron élude le problème de l’immigration-invasion qui est pourtant la première et principale cause du séparatisme islamiste en France.”
Cette remarque correspond exactement à l’image du petit singe qui met ses mains devant les yeux pour surtout ne PAS voir la réalité en face !
Cette attitude est typique du politicard qui brasse de l’air pour faire croire à son électorat qu’il est efficace … comme mettre un emplâtre sur une jambe de bois … !!
Le gouvernement n’est qu’une bande d’irresponsables !
”le gouvernement n’envisage pas un seul instant de mettre immédiatement fin à ce déferlement de migrants muzz”