Restez sagement chez vous !
Nous avons déjà entendu parler de l'opération Litto menée par la police neuchâteloise avec la "collaboration" entre autres du service de la cohésion multiculturelle. Manifestement, malgré quelques succès revendiqués par les Pandores, le résultat n'est pas au rendez-vous. Depuis peu, un tract circule en ville de Neuchâtel signalant que quelques citoyens sont prêts à en découdre avec la crapule importée si les choses ne s'améliorent pas. La chose a mis en émoi le porte-parole des forces de l'ordre qui rappelle que personne ne doit se substituer à la police. A l'appui de son propos, l'homme fait savoir que 184 personnes ont été arrêtées et que plusieurs sont encore en détention. Plusieurs, c'est combien plusieurs ? Selon le Larousse, devant un nom au pluriel, plusieurs indique un nombre non précisé (mais au moins égal à deux) d'être ou d'objets.
Dont acte, au moins égal à deux. Il vaut sans doute mieux ne pas savoir combien sont les délinquants que la justice a jugé utile de maintenir au frais. Comme il ne faut pas compter sur des expulsions vu que cette racaille nous arrive du Maghreb, c'est le service de la cohésion multiculturelle qui prend le relais, dont les missions sont les suivantes :
"Le service de la cohésion multiculturelle (COSM) est chargé de la coordination de la politique d'intégration interculturelle du canton de Neuchâtel. Il a pour mission d'appliquer les législations fédérale et cantonale concernant l'intégration des étrangères et étrangers, la lutte contre le racisme, la xénophobie et les discriminations ainsi que de promouvoir toute action favorisant la cohésion multiculturelle."
Il va de soi qu'on ne saurait compter sur pareil organe pour apporter une éventuelle solution au problème dans la mesure où sa mission consiste précisément à tout mettre en œuvre pour qu'aucun enrichisseur culturel n'ait à quitter le sol suisse. Cela tombe bien, la justice n'est pas particulièrement sévère à ce sujet, rejetant l'expulsion dans 3 cas sur 4. Et pendant ce temps, on remet sur rue selon l'expression consacrée ces braves gens qui peuvent reprendre leurs activités criminelles en toute quiétude. En toute quiétude car c'est contre les personnes excédées par cette impunité que se dirigent maintenant les investigations policières. Curieux canton dans lequel la police protège les délinquants des honnêtes gens. En attendant, son porte-parole invite les victimes à rester sagement chez elles. J'avoue être soulagé d'avoir quitté les rangs de l'institution, j'aurais quelque peine à exercer dans ces conditions.
Voici ce que le porte-parole de l'institution fait savoir alors que certains citoyens envisagent de faire ce qu'il faut face à cette délinquance importée qui se montre volontiers violente, 34 cas rien qu'en juillet à Neuchâtel. Il a raison. La police fait de son mieux. Elle a arrêté 184 personnes. C'est bien. Bravo ! Mais mon ancien collègue oublie un élément qui pèse lourd dans la balance. La justice. Ou plutôt ce qui en tient lieu. Parmi les personnes mises très momentanément au frais, combien goûtent encore à notre hospitalité carcérale ? Mieux vaut peut-être ne pas le savoir. Vu que pour l'essentiel, ces crapules nous arrivent du Maghreb, il ne faut pas compter sur d'éventuelles expulsions, ceci d'autant plus que le canton de Neuchâtel applique l'exceptionnelle clause de rigueur dans 3 cas sur 4, record suisse.
Que faire, alors ? Rester sagement chez soi comme le prône le policier d'ordinaire plus inspiré ? Laisser la racaille triompher sur le terrain ? Manifestement, l'Etat ne remplit pas sa tâche première qui est d'assurer la sécurité des personnes et des biens. On paie des impôts pour ça et dans le canton de Neuchâtel, on en paie plus qu'ailleurs. Et en retour, restez sagement chez vous ! Comment ne pas comprendre ces personnes excédées qui souhaitent que la peur change de camp ? J'ai tout lieu de penser qu'elles devront encore longtemps prendre leur mal en patience, la façon dont sont traitées les crapules ne peut que les motiver à persévérer, le canton est si accueillant.
Yvan Perrin, 19.08.2020
Et pourtant, les racailles souhaitent ardemment recevoir un implant 9mm dans la tête, qui leur permettra de discuter directement avec leur Allah chéri, et surtout de recevoir leur 72 gamines vierges au paradis d’Allah le le menteur. Googlez: Allah=Satan
Le Far West, c’est pour bientôt ! Voilà pourquoi l’EU tient tellement à désarmer le p’tit Suisse. Et nos 7 rigolos à Berne qui ne pigent rien si ce n’est de nous vendre à l’UE.
”On ne développe pas la société de surveillance pour lutter contre l’insécurité, on utilise au contraire l’insécurité comme prétexte pour justifier la société de surveillance.”
On constate le même processus en informatique entre les virus et les sociétés qui vendent des logiciels anti-virus …
c’est très bien, il n’y a plus de solution politique depuis longtemps ce qu’il nous faut pour sortir de cette situation ce n’est pas des initiatives ou d’autres blabla les européens vont disparaître si l’on continue d’écouter les anciens politiciens, ils ne savent pas ce que c’est de grandir dans cette situation ils n’ont pas connus de sale de classe avec une majorité d’africains
cette engeance ne comprend qu’une chose…
Nous sommes donc tous d’accord, mais jusque à quand allons-nous accepter cette situation ?
Ou plutôt jusque à quel degré de dangerosité allons-nous accepter que l’état non seulement ne nous défende plus et même pire, nous empêche de nous défendre.
Dit encore plus clairement, à partir de quand faudra t-il considérer que la légalité étatique doit être un élément à contourner ou à dépasser ?
Et je ne prends même pas en compte le paramètre suivant qui n’est pas encore pertinent en Suisse, mais de plus en plus dans les pays voisins, à savoir que l’allogénat hostile s’implante directement au sein des forces de l’ordre et de l’armée, aussi bien sur le terrain que dans les organes de commandement.
Monsieur Perrin, j’aime tout autant vous lire ici (vous êtes très bon en “métapolitique”) que j’ai apprécié auparavant votre action au Parlement et à la direction de l’UDC. C’est donc dans cet état d’esprit que je vous dis, moi simple citoyen, qu’en cas d’altercation avec “des chances pour la Suisse”, j’appréhende désormais au même niveau de désagrément cette altercation que l’interaction ultérieure (bien entendu, si je suis encore en état) avec les forces de l’ordre qui seraient dépêchées sur l’incident. Parce que si les “chances” peuvent me ruiner physiquement, les forces de l’état (police et justice) peuvent me ruiner socialement, notamment si j’ai été trop efficace dans ma défense. Et ce n’est pas normal. Le sociologue Eric Werner en parlait très justement ainsi:
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On croit volontiers que l’insécurité est toujours et nécessairement en elle-même une calamité. Mais c’est là une vue par trop étroite du problème. En réalité elle joue un rôle important dans le maintien de la stabilité du système. Elle concourt utilement par exemple à démoraliser les populations, et par là même aussi à les convaincre de la vanité qu’il y aurait à vouloir s’opposer au “sens de l’histoire” (tel que le définissent les autorités). On pourrait dire aussi qu’elle a une fonction rééducative. Elle achève de réduire les individus à l’impuissance et de les mettre dans l’incapacité de ne rien entreprendre contre la nomenklatura en place. Bref, c’est un instrument efficace de contrôle social. On lui est redevable de soustraire les autorités aux désagréments liés à une hypothétique et toujours aléatoire contestation venue de la base. On comprend dès lors le soin tout particulier qu’elles mettent à la laisser se développer comme elle le fait. Elles ne disent naturellement pas qu’elles sont pour l’insécurité (non quand même), mais elles ne s’emploient pas moins à la favoriser discrètement. L’insécurité a parallèlement encore une autre fonction pédagogique : celle d’habituer progressivement les populations à l’absence de droit. La croyance en l’existence du droit n’a en effet de sens que dans un état de droit. Dans un état qui n’est pas de droit ou l’est de moins en moins, parce que les autorités elles-mêmes en prennent de plus en plus à leur aise avec le droit (quand elles n’en viennent pas purement et simplement, comme c’est souvent le cas, à se mettre au-dessus du droit), une telle croyance perd évidemment toute raison d’être. A la limite même, elle pourrait passer pour subversive.
Beaucoup reprochent à la police sa relative mollesse, pour ne pas dire son inaction, en matière de lutte contre l’insécurité, inaction que reflètent les courbes de la criminalité. Mais c’est mal comprendre la fonction actuelle de la police. La fonction actuelle de la police n’est pas de combattre l’insécurité ; elle est, ce qui est différent, de contrôler et de surveiller les personnes. Pas seulement certaines personnes, comme le prétendent les dirigeants (délinquants, criminels, terroristes, etc.), mais toutes. C’est ce qu’on veut dire lorsqu’on parle de société de surveillance. La société de surveillance est à elle-même sa propre fin. Ou si l’on préfère, sa finalité propre c’est le pouvoir. Or, sur ce plan-là, elle est très efficace. En tant que société de surveillance, elle fonctionne, on peut le dire, plutôt bien. L’accroissement des chiffres de la criminalité n’y change rien, pas plus que la multiplication, elle aussi bien documentée, des zones de non-droit. Même si le territoire tout entier se transformait en zone de non-droit, la société de surveillance n’en continuerait pas moins à fonctionner. La police sait d’ailleurs fort bien ce qui se passe dans les zones de non-droit (qui fait quoi, quand, comment, etc.). Mais elle n’intervient pas. En ce sens, effectivement, l’insécurité n’est qu’un prétexte. On ne développe pas la société de surveillance pour lutter contre l’insécurité, on utilise au contraire l’insécurité comme prétexte pour justifier la société de surveillance. Car c’est un bon prétexte. Au nom de la lutte contre l’insécurité, les gens sont prêts à avaler pas mal de choses. Non pas toutes peut-être, mais beaucoup quand même, en proportion même des peurs que leur inspire l’insécurité. Souriez, vous êtes filmés. Rien qu’en Grande-Bretagne, le nombre de caméras de vidéosurveillance dans les rues, les gares, les grands magasins, etc., avoisine aujourd’hui les 3 millions. Et que dire de l’Internet ? Puisqu’il arrive aux terroristes d’échanger entre eux des courriels, il est bien normal que l’état cherche à les intercepter. Or, il ne peut le faire qu’en identifiant tous les internautes et en en dressant le profil. Quoi de mal à cela ? C’est l’application stricte du principe de précaution. Et les gens en redemandent. D’où ce paradoxe : la justification de la société de surveillance est la lutte contre l’insécurité, mais c’est son échec même en tant qu’instrument de lutte contre l’insécurité qui fait qu’elle prospère en tant que société de surveillance.
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C’est une évidence, pour le système est beaucoup plus dangereux l’individu qui prend en charge lui-même sa sécurité que l’allogène hostile qui justifie par ses méfaits l’appareillage de contrôle sociétal. Moi, un jour, je rêve de “monter au château”, pas seul et pour voir les comptes, et c’est cela que redoute nos diverses oligarchies.
Vu la hargne de l’autorité envers celui qui aura porté secours à autrui contre la racaille, vu la haine des médias et des institutions contre celui qui oserait se rebeller contre ces enrichisseurs, la société doit penser à se protéger de l’Etat et de ses méfaits.
Merci Monsieur Perrin!
Votre canton opte pour une solution très semblable à celle de Vaud où Valérie Jaggi Wepf, municipale en charge de la Sécurité à Yverdon, justifiait ainsi le retard volontaire de la police appelée par les citoyens:
«Vous avez en face des gens qui recherchent l’affrontement direct avec la police. Alors si vous leur donnez ce qu’ils veulent, cela tourne en une émeute incontrôlable»
Je n’avais évidemment pu me retenir d’y réagir…
https://lesobservateurs.ch/2020/08/02/violences-le-1er-aout-a-yverdon-les-bains-les-autorites-nous-ont-abandonnes/