Le débat sur le chaos racial aux États-Unis, sur l’esclavage, sur le racisme ou sur les violences policières est un débat sans fin, puisque la question noire dure depuis 400 ans.
Mais il s’en dégage une évidence que personne n’ose avouer ou ne veut reconnaître : cet embrasement et ces scènes de guérilla urbaine qui ne datent pas d’hier, sont bien la preuve irréfutable que le « vivre-ensemble » est tout simplement impossible dans de nombreux cas, tant le contentieux est lourd à porter et tant la haine est présente.
Contentieux de l’esclavage aux États-Unis, mais aussi contentieux de la traite atlantique, de la colonisation et des guerres coloniales en France.
Sur toutes les chaînes, un seul discours : violences policières et racisme à sens unique.
En Amérique, les Noirs se plaignent de racisme et se posent en uniques victimes, mais qu’observe-t-on sur certaines vidéos politiquement incorrectes ?
Des scènes de pur racisme anti-Blancs, des chasses en meute pour lyncher un Blanc isolé ou pour tuer un policier, des commerçants blancs tabassés, des femmes blanches humiliées, sommées de s’agenouiller devant des Noirs et de s’excuser d’être blanches. Sans parler des pillages, des incendies et des destructions en masse dans toutes les villes d’Amérique.
Un avant-goût de guerre civile, que certains attendent en attisant les braises.
Voici des vidéos que vous ne verrez jamais au 20 h de votre écran TV, où la désinformation la plus ignoble fait loi.
La mort de George Floyd tué par un policier ne doit pas occulter la vérité : le racisme anti-Blancs est aussi une réalité. Assez de mensonges et de sanglots à sens unique.
lien vers la vidéo de Pierre Cassin:
https://pierrecassen.com/2020/06/02/ras-le-bol-des-petits-blancs-honteux-a-genou-devant-des-noirs-racistes/
On dit la société américaine inégalitaire. Mais ce qui frappe aux États-Unis, c’est le fossé ahurissant qui sépare les Noirs des Asiatiques. C’est la consécration du mérite.
D’un côté, une communauté présente depuis des siècles ne parvient toujours pas à surmonter ses rancœurs et à s’intégrer à 100 % dans la société américaine.
De l’autre, la communauté asiatique fraîchement arrivée et largement minoritaire, ne cesse d’engranger les success-stories et de caracoler au sommet de la pyramide sociale.
Pourquoi les Noirs ne cessent-ils pas de se lamenter malgré la discrimination positive qui les favorise, alors que les Asiatiques ne se plaignent jamais, bien qu’ils subissent aussi une discrimination négative dans les universités ?
Sans discrimination, les Asio-Américains rafleraient toutes les premières places.
Il est évident qu’avant de taxer les Blancs de racisme, la communauté noire ferait mieux de se remettre en cause et de balayer devant sa porte.
Les boat-people arrivés dans les années 80 n’ont pas attendu des années pour s’intégrer. Au bout de six mois, leurs enfants parlaient anglais et se hissaient au sommet des classements scolaires. Le confucianisme a fait ses preuves !
La victimisation permanente, 50 ans après l’abolition des lois de discrimination, cela n’invite pas à la compassion. Que les Noirs prennent exemple sur les Asiatiques au lieu de bêler au racisme et tout ira mieux.
Quand il afficheront le même taux de réussite que les Asiatiques, ils n’auront plus aucun complexe d’infériorité et n’en voudront plus à la terre entière.
Car tout le problème est là, ils refusent d’assumer leurs échecs et font porter le chapeau aux Blancs, éternel coupables.
Voici un tableau de la société américaine en 2019 (source « Départment of justice » et Figaro)
Répartition de la population :
60 % de Blancs – 18 % de Latinos – 14 % de Noirs – 7 % d’Asiatiques et 1 % d’Amérindiens.
Taux de chômage 2019 :
Asiatiques 3,3 % – Blancs 3,6 % – Latinos 5,4 % – Noirs 6,6 %.
Population ayant fait des études supérieures :
Asiatiques 60 % – Blancs 40 % – Noirs 27 % – Latinos 18 %.
Revenu médian du ménage 2018 :
Asiatiques 87 000 dollars – Blancs 71 000 dollars – Latinos 52 000 dollars – Noirs 41 000 dollars.
Population carcérale 2018 :
Blancs 50 % – Noirs 33 % – Latinos 15 % – Asiatiques 2 %.
Bilan : Les Asiatiques sont deux fois moins nombreux que les Noirs. Ils sont deux fois plus riches, ont un taux de chômage deux fois moindre, sont en moyenne trois fois plus diplômés et sont proportionnellement huit fois moins incarcérés.
Pourquoi une telle différence de réussite ? La réponse est chez les Noirs, sans se retrancher derrière de faux prétextes.
Dès lors qu’Obama est devenu Président, qu’on ne nous dise pas que les Noirs sont victimes d’un barrage raciste infranchissable.
99 % des Noirs ont voté Obama. Un vote purement racial.
Si 99 % des Blancs avaient refusé de voter pour un Noir par principe, Obama n’aurait jamais été élu.
Des deux communautés, aujourd’hui, laquelle est la plus raciste ?
Cette photographie des États-Unis doit nous alerter sur les dangers d’une immigration de masse.
Pourquoi la France réussirait-elle son « vivre-ensemble » là où les États-Unis ont échoué ? Chez nous, la menace est pire.
Car non seulement nos immigrés, Arabes ou Noirs, réclament repentance pour l’esclavage et la colonisation, mais de plus, un grand nombre de musulmans rejettent la loi républicaine au nom du Coran.
Si on ne stoppe pas l’immigration, la France connaîtra une situation bien plus dramatique que celle des États-Unis.
Veut-on risquer une guerre raciale doublée d’une guerre de religion ?
Et la surenchère dans la repentance ou l’aplaventrisme le plus humiliant n’y changera rien. Il faut impérativement stopper l’immigration avant la désintégration de la nation. C’est une question existentielle.
Quant à ceux qui bêlent au racisme à qui mieux mieux, qu’ils regardent comment ça se passe au Liban ou en Afrique du Sud, qu’ils regardent comment sont traités les chrétiens minoritaires en pays musulmans.
Des milliers de chrétiens sont assassinés chaque année par des fanatiques, fidèles aux préceptes du Coran.
Nos associations antiracistes et nos ayatollahs de la bien-pensance s’en foutent éperdument. Mais dès qu’un immigré éternue, c’est l’émotion générale jusqu’au plus haut sommet de l’État. C’est pitoyable.
Jacques Guillemain
Lorsque l’homme Blanc a débarqué en Afrique, il a tué les animaux et a vacciné les Noirs.