«J'ai bien vu qu'elle ne respectait pas la distance avec moi, mais comme elle m'a demandé de l'argent, je lui ai donné le peu que j'avais.» Cette retraitée aux cheveux gris était assise sur un banc au soleil, mercredi après-midi, quand une inconnue, posée à un mètre d'elle à peine, l'a accostée pour lui soutirer des sous.

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Quelques jours avant, trois autres mendiantes sévissaient dans le même secteur

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article complet: https://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/Mendiantes-roms-dans-la-rue-durant-le-Covid-19-22641487

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Criminalité tzigane en Hongrie :

Au début de mars, un pauvre homme de Kaposvár, en Hongrie, qui vivait seul avec 6 de ses 7 enfants, l’autre ayant déjà quitté le foyer, a été tué à coups de hache par un Tzigane, ainsi que son fils de 17 ans. Pour rien.

Le père et le fils de 17 ans étaient en train de couper du bois lorsqu’un Tzigane éméché, citoyen roumain, circulant à vélo, leur a demandé une cigarette. Ils n’avaient pas de cigarettes, il se peut même qu’ils aient lancé un « Tu n’as qu’à travailler pour en avoir », l’essentiel est que le Tzigane s’est mis à couper du bois avec eux. Est-ce que le « salaire » tardait à venir, est-ce que le téléphone de l’ado était trop tentant, on ne le saura jamais. Lorsque le père est allé dans le dépôt à bois, le Tzigane a planté sa hache dans le crâne du garçon de 17 ans, puis il est entré dans l’abri à bois pour tuer le père de la même manière, enfin il a bouté le feu au baraquement. Lorsque la police l’a arrêté, il a avoué à moitié son crime en disant qu’il les croyait riches et qu’il voulait les voler.

Les crimes de ce genre sont légion en Hongrie. Le vivre-ensemble ne marche pas, malgré les efforts colossaux des divers gouvernements qui se sont succédé, avant, pendant et après le communisme, chacun voulant prouver que grâce aux mesures adéquates, l’intégration serait possible.
Le sort des Tziganes s’est remarquablement amélioré durant la gouvernance d’Orban, grâce au travail obligatoire en échange de l’assistance, grâce aux mesures sévères pour la scolarisation obligatoire (sans scolarisation, pas d’aide de l’Etat), grâce aux prestations gratuites pour la scolarité et durant tous les études, favorisant même les Tziganes par rapport aux Hongrois pauvres.
Malgré une grande liberté d’expression en Hongrie, aucune étude approfondie ne peut être faite sur la criminalité des Tziganes, bien qu’ils soient très nettement surreprésentés pour les crimes graves.
L’UE et les ONG, avec la gauche hongroise, ainsi que les GAFA, se chargent de la censure et de lourdes punitions s'abattent sur ceux qui osent parler de ce problème.

Là où les Tziganes s’installent massivement, la criminalité s’installe également, faisant chuter les prix de l’immobilier et causant la fuite de ceux qui le peuvent. Ceux qui restent, les vieux, les pauvres deviennent des proies faciles.

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Partout en Europe Occidentale, au début de la pandémie, la quasi totalité des mendiants sont rentrés en Roumanie, car ils y ont tous de coquettes maisons et vivent souvent bien mieux que les Roumains moyens, et sensiblement mieux que les retraités locaux. Ce retour massif ne s’est pas passé dans le calme. Des vidéos ont circulé sur leur retour massif en Roumanie : attaques de la police lorsqu’ils n’obtenaient pas ce qu’ils voulaient, champs dévastés par les excréments, et autres incivilités.

Maintenant que l’agriculture a besoin de bras, ceux qui veulent s’en sortir par le travail sont repartis massivement (pour l’Allemagne, l’Autriche, l’Espagne), trimballant avec eux aller-retour diverses maladies.

Précisons que nous nous gardons de généraliser. Il y a aussi plein de Tziganes honnêtes, parfaitement adaptés à leur pays, citoyens modèles à tout point de vue. Dans cet article, nous parlons seulement de la catégorie de ceux qui refusent de s’adapter à la société.

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La Suisse romande et surtout la ville de Lausanne, gouvernée par la gauche et l’extrême gauche, dépense massivement l’argent des contribuables pour attirer et choyer cette population exotique, repoussée de partout à cause de son refus de l’intégration. Les infrastructures d’hébergement ont partout été agrandies, les prestations de soins ont été étendues pour leur montrer combien la ville est bonne et généreuse.

Alors que la Suisse aurait pu avoir le privilège de ne pas s’encombrer avec cette minorité qui pose des problèmes dans les pays de l’Est depuis des siècles, ni se sentir obligée d’accepter massivement des populations musulmanes, par idéologie, elle persévère à avoir sa part de misère dont personne ne veut.

Nous avons appris par nos médias qu’à Lausanne, au début du confinement, la ville a décidé de confisquer des bâtiments de l’Etat pour y offrir le gîte, trois repas gratuits, avec nettoyage, soins, encadrement :

Sans-abri: «On ne fait plus du social, mais de l’humanitaire» - 13.04.2020

L'hébergement d'urgence à Lausanne, c'est désormais 212 lits 24h sur 24 et 700 repas par jour. L'après-crise inquiète déjà beaucoup. [...]

https://www.24heures.ch/suisse/coronavirus/social-humanitaire/story/17415207 (article réservé aux abonnés)

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Comment est-il possible qu’à Lausanne, les mendiants restent, alors que la mendicité est interdite, et que les autres mendiants roumains en Europe rentrent chez eux durant le confinement ?

Simplement parce qu’une partie des mendiants qui ont quadrillé les rues de Lausanne et harcelé la population depuis la libre circulation jusqu’à l’interdiction ne sont jamais partis.

Comme dans l’extrait de 20minutes ci-dessus, les mendiants s’en prennent de préférence aux personnes à mobilité réduite et aux personnes âgées, celles qui ont été élevées dans un esprit de charité chrétienne.

Autres exemples :

– Un homme malade avance avec deux cannes avec énormément de peine : un mendiant lui barre le chemin, bien qu’il soit impossible à cette personne de lâcher sa canne pour sortir son porte-monnaie.

– Un jeune mendiant barre le chemin, en ne se laissant contourner ni à gauche ni à droite, à une dame très âgée au dos courbé sur son déambulateur, sac à main suspendu au déambulateur.

– Exemple durant le confinement : une mendiante, qui est une célébrité locale avec ses chaussures orthopédiques, fonce en tendant déjà la main, tard le soir. Sa victime potentielle, portant masque et protection faciale, fuit vers la chaussée d’en face, où une dizaine de trafiquants de drogue agglutinés l’attendent... Retour dare-dare de l’autre côté du boulevard...

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La ville de Lausanne a délibérément voulu sédentariser sa minorité tzigane sur son sol. Pour cela, ainsi que pour ses clandestins et requérants d’asile déboutés, elle a créé des infrastructures ad hoc.

Exemples :

– Immeubles squattés avec la bénédiction des autorités, et les associations créées pour les soutenir.

– Scolarisation des Tziganes analphabètes, rompus depuis l’enfance à l’exercice des vols, des cambriolages et de la mendicité. (Échec total.)

– Mise en place, à coup de dizaines de millions sinon plus, d’un service médical complet et gratuit pour les populations vulnérables. (Y faire carrière, ou du moins y passer un semestre en tant que médecin assistant, est un sorte d’ersatz pour ceux qui fantasment de pratiquer la justice sociale dans une Suisse riche et coupable.)

– Obligation d’offrir des aires de stationnement pour les Tziganes en transit.

– Augmentation constante des lieux à bas seuil pour SDF : soupes populaires, services d’hôtellerie, accueil de jour, services tels que coiffeur gratuit, pédicure gratuite, douches, lavoirs…

Dès le début du confinement, le Gymnase du Bugnon, la Caserne de la Pontaise et quatre autres sites ont été mis à la disposition des SDF car il fallait réserver l’espace requis pour les 212 mascottes de la gauche.

La Fondation Mère Sofia servait environ 300 repas avant le confinement : il a fallu désormais prévoir 700 repas journaliers pour les SDF sédentarisés. En temps normal, 45 collaborateurs et 15 bénévoles faisaient tourner la manège (total des salaires et frais de fonctionnement : combien ?) : maintenant, 120 personnes DOIVENT assurer la présence et le travail.

En ce qui concerne la nourriture, l’hôtel Lausanne Palace fournit depuis le 13 mars 100 repas par jour, l’entreprise de restauration collective Eldora cuisine 80 repas par jour et le cigarettier Philip Morris a promis de mettre sa cantine à contribution dès cette semaine (source : 24 heures du 14 avril).

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Questions à deux sous : Que se passe-t-il à votre avis dans la tête du pékin resté au bled, qui reçoit des messages de Lausanne d’un cousin « SDF », nourri par le Lausanne Palace, logé, bichonné, sans limite et sans aucune demande de contrepartie ?

Et que peut faire un contribuable de cette ville, sinon prendre ses jambes à son cou et fuir en quatrième vitesse ?

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Le blog ci-dessous recense les meurtres et assassinats commis en Hongrie par des Tziganes :

http://szentkoronaradio.com/blog/2020/03/28/ciganyok-gyilkossagainak-listaja-csak-eros-idegzetueknek-2006-2010-i-resz/
http://szentkoronaradio.com/blog/2020/04/02/ciganyok-gyilkossagainak-listaja-csak-eros-idegzetueknek-2011-2015-ii-resz/
http://szentkoronaradio.com/blog/2020/04/16/ciganyok-gyilkossagainak-listaja-csak-eros-idegzetueknek-2016-2020-iii-resz/

A cause du volume de ces documents, il nous était impossible de les traduire. Le lecteur peut du moins constater le nombre des cas. A l’aide d’une traduction automatique (p. ex. translate.google.com ; seulement 1 année à la fois, ou 5000 caractères), et malgré les nombreuses erreurs, il peut aussi se faire une idée générale. Attention : déconseillé aux personnes sensibles !