La dette de la France frôlera les 2000 milliards en 2014

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Selon les informations du Figaro, la dette atteindra le niveau record de 95,1 % du PIB, très éloigné de la prévision envoyée il y a six mois à Bruxelles.

Pierre Moscovici et Bernard Cazeneuve, les ministres de l'Économie et du Budget, dévoileront la semaine prochaine une prévision d'endettement de la France pour fin 2014 en très forte hausse.
La dette atteindra 1950 milliards d'euros. Un tel niveau reflète une hausse, en valeur, de plus de 120 milliards en deux ans.

Ce niveau d'endettement représentera, en théorie, une facture de plus de 30 000 euros par Français. Les taux d'intérêt auxquels l'Hexagone emprunte pourraient, sous l'action de marchés financiers de moins en moins indulgents, remonter dangereusement et compliquer le retour à l'équilibre des finances publiques programmé pour la fin du quinquennat.

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Un commentaire

  1. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    La dette? Mon grand-papa disait qu’on ne prête qu’au riches, et que celui qui paie ses dettes s’enrichit! Ces propos ne valaient pas une vérité de La Palice, j’en convient. Mais quand on me rebat les oreilles, à longueur de journées, d’informations selon lesquelles des États endettés font marcher la planche à billets, mon intelligence défaille!
    Elle défaille aussi, je le confesse, devant le fait que depuis que je suis à la retraite, j’ai reçu de quoi subvenir à mes besoins. Sans lésiner sur une entrecôte au café de Paris, un séjour en Turquie, le café chaque matin. Et j’en passe. Que dire? Sinon que j’ai peu et pourtant ne manque de rien? À qui donc exprimerai-je la gratitude dont je déborde? A Dieu? Bien évidement! Mais en Lui sont contenus tous ceux, petis et grands, qui sont coauteurs de ce dont je bénéficie aujourd’hui.
    Je veux encore mentionner un de ces patrons, dont il est pour certaims de bon ton de se gausser en les disant paternalistes. Celui qui a fondé le deuxième pilier plus de dix ans avant qu’il ne devienne obligatoire, et sans pression syndicale. Il a sombré dans la folie des grandeurs. Mais je lui suis reconnaissant.
    J’aimerai conclure en citant le Fils de l’homme. Qui est venu pour servir, et non pour être servi!

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