Les Verts veulent que la Burqa soit permise à l’Université de Kiel
L’université de Kiel, dans le Schleswig-Holstein, est confrontée au cas d’une étudiante qui se présente au cours et aux examens voilée intégralement, bien que le règlement de cette institution interdise de cacher son identité pour ne pas troubler l’enseignement et intimider les autres participants aux cours. Elle a demandé au gouvernement régional de l’aider en officialisant ce règlement, mais les Verts islamo-gauchistes ont bloqué l’affaire. Il semble qu’ils soient, comme Thilo Sarrazin le craint pour les socialistes, déjà en mains de musulmans fondamentaux, qui veulent empêcher toute discussion sur l’Islam en Allemagne.
Traduction (Claude Haenggli) : L’ethnologue et théoricienne de l’Islam Susanne Schröder met en garde contre la minimisation du danger de l’Islam. À côté des universités, c’est dans les écoles que celui-ci part en guerre ; le port du voile y joue un rôle symbolique pour imposer la supériorité musulmane et terroriser les enfants non-musulmans. Selon les études de terrain qu’elle a effectuées, les principales caractéristiques en sont le manque de respect, les attaques physiques et sexistes contre les enseignants, ainsi qu’une animosité violente contre les Allemands. Madame Schröter rend attentif au fait que les élèves musulmans considèrent leur culture d’origine comme supérieure et manifestent un refus de la culture de la majorité de la société. Ils veulent à tout prix imposer leurs normes. « L’idée d’être meilleurs en soi parce que musulmans justifie aussi un sexisme viscéral envers les jeunes filles allemandes. » S’agit-il seulement d'une complète incapacité intellectuelle des Verts d'analyser ces faits, de la minimisation répandue de l’Islam par ignorance dont Susanne Schröder parle ? Où est-ce déjà plus grave ? Les Verts de Kiel semblent donner la preuve qu’ils ne veulent plus considérer de façon critique les intentions de l’Islam radical, avec ses symboles de soumission, ainsi que la volonté de domination qui leur est afférente.
Claude Haenggli, 3.2.2020
Et vous, qu'en pensez vous ?