La traite des blanches, un esclavagisme qui sévit toujours au cœur de nos nations
Lorsque le mot « esclavage » est prononcé, les cerveaux conditionnés s’imaginent immédiatement les supplices de l’Oncle Tom et des siens, faisant abstraction des autres formes d’esclavagisme qui eurent lieu par le passé et dont certaines formes subsistent. Si l’on dénonce parfois à raison l’exploitation et l’esclavagisme qui sévissent dans les pays en développement, il est facile de fermer les yeux sur celui qui se déroule ici même en Occident.
Ce n’est pas la première fois que j’aborde le sujet de la traite des blanches pour Eurolibertés ou un autre média, mais à chaque fois, sans trop y croire, j’espère que ce sera la dernière. Cet esclavage sexuel qui se passe dans nos villes avilit la femme jusque dans son âme et, si certaines survivent à cette épreuve inhumaine, elles n’en réchappent jamais vraiment totalement. Les féministes avec leur combat contre le « man spreading » n’ont jamais lu les témoignages poignants sur ce que ces femmes ont vécu et ne parviennent jamais à exhorter.
Dans le cas présent, c’est un réseau d’environ 45 femmes qui furent enlevées au Québec avant d’être « utilisées » en Ontario. Le réseau était un de ces réseaux composés de tortionnaires qui se sont fait une spécialité de ce genre de commerce. Depuis l’Opération Scorpion à Québec au tournant du siècle, on le constate, les réseaux de prostitution agissent selon un pattern qui ne respecte pas la vision de la diversité de nos élites : des hommes noirs qui gèrent leurs victimes, habituellement blanches. Si les rôles étaient inversés, on crierait au racisme, mais dans ce cas, on n’en parle pas, l’origine ethnique est ici taboue et puis après, le seul vrai racisme qui existe est le racisme systémique.
Tai Truong de la police de York, qui participa à ce démantèlement d’envergure, tint à récuser tout doute concernant le consentement de ces femmes, pour la plupart dans la vingtaine ou la trentaine : « Ces femmes pouvaient sourire aux clients, mais ne vous méprenez pas, elles n’étaient pas des participantes consentantes. Elles étaient sous l’emprise » de leurs proxénètes.
Le chef de la police de York, Jeff Jolliffe en rajouta une couche pour être certain de balayer toute ambiguïté : « Dans de nombreux cas, les victimes sont forcées de se livrer au commerce du sexe par la violence, les menaces de violence, la coercition et la tromperie ». Contrairement à ce que clament certains en invoquant un « empowerment » féministe, la prostitution n’est pas un choix.
L’enquête Convalesce fut lancée originellement en octobre 2018 et visait Jonathan Nyangwila, une chance pour le Québec, qui avait, grâce à ses frères et un cousin, établi un véritable réseau de traite des blanches au cœur du Canada. Les femmes étaient prises sous la contrainte au Québec, puis envoyées loin de leurs proches et de leurs familles au Canada anglais. Avec l’encadrement qui était le leur, difficile, voire impossible pour ces femmes de demander de l’aide.
En plus des chefs d’accusation concernant la traite des personnes, les 34 accusés font face à des chefs de harcèlement criminel, de fraude, de vol d’identité, de gangstérisme, de possession illégale d’une arme à feu et de trafic de cocaïne. Au total, plus de 300 accusations pour ces gens venus nous enrichir culturellement et combler cette fameuse « pénurie de main-d’œuvre » avec laquelle les médias de masse nous rebattent les oreilles.
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