Thérèse Zrihen-Dvir rend compte d’un livre de Maria Giuseppina Muzzarelli au sujet de l’histoire des couvre chefs féminins, évidemment, dans le cadre de la polémique autour du voile islamique.
https://ripostelaique.com/tout-savoir-sur-le-voile-le-nikab-la-burka-le-tchador-le-hijab.html
Quand, au début des années 1990 j’ai séjourné au Pakistan, je n’ai vu aucune burqa. Les femmes portaient le shalwar kameez et jetaient leur dupatta, une longue étole, sur la tête ou plus souvent sur les épaules de façon très élégante, surtout quand ce sont des soieries vaporeuses et très colorées. Ça n’avait rien à voir avec l’uniforme noir islamique qui circule en Europe. Regardez sur google «shalwar kameez femme images» ou «dupatta»
On a beaucoup écrit au sujet du voile islamique. Le «voile» existe depuis toujours mais aussi le statut de la femme et les problèmes de sexe qui vont avec. Ou mieux : le sexe existe depuis toujours et les problèmes qui vont avec d’où le statut de la femme et le voile.
Les patriciennes avaient le droit de se couvrir et donc de se soustraire aux offenses des mâles, par contre les esclaves étaient à la merci des libidineux en tout genre…
Le prophète Mahomet qui, selon ses biographes E. Dinet et El Hadj Sliman ben Ibrahim, «préférait en ce monde la prière, les femmes et les parfums» a souhaité pour toutes les femmes le droit de couvrir leur intimité et ainsi de se protéger contre les violences.
Aujourd’hui, ceux qui sont plus catholiques que le Pape ont transformé ce droit en obligation… C’est une idéologie qui passera comme toutes les autres..
Mais il y a un aspect dont on ne parle jamais et qui dérange ceux qui n’aiment pas les références à notre nature animale.
Pourtant c’est une réalité physiologique.
En amont des questions de civilisations, éducations, traditions etc., les humains sont des mammifères comme les chats, chiens, vaches, chamois, etc.
Quand la femelle atteint sa maturité sexuelle, chez les humains les premières menstrues vers 12 ans, elle va en chaleur et se cherche un mâle pour la féconder.
Exemple: les comportements extravagants des adolescentes à la sortie de l’école: criailleries, rires hystériques, habillements provocateurs, maquillages excessifs etc. pour attirer l’attention des mâles. Ce comportement se retrouve jusqu’à la ménopause chez les femmes qui sont en chaleur, en chasse, aguicheuses, tentatrices, enjôleuses, entraineuses, excitantes, fatales… etc.…
Mais oui : Eve séduit Adam, les femmes séduisent les hommes, dans la nature c’est comme ça. Pour ce faire elles sont aidées par des hormones: les phéromones qui sont des odeurs qui attirent les hommes. On a même inventé des parfums qui emploient les mêmes stratagèmes…
Quand les biches sont en chaleur elles émettent des phéromones qui provoquent le rut des cerfs. Une fois la femelle fécondée, ses phéromones s’apaisent et les mâles s’en vont tranquillement de leur côté jusqu’à la prochaine chaleur des femelles. Les mammifères ne vivent pas en couple.
Les musulmans qui veulent couvrir leurs femmes se justifient en disant que c’est pour préserver la pudeur des femmes et aider les mâles qui ne sont pas capables de se maitriser… Nous résolvons ce problème avec l’éducation.
Cependant couvrir les femmes est totalement illusoire car les phéromones sont des odeurs qu’aucun tissu ne saurait arrêter. Pour arrêter les phéromones il faudrait enfermer les femmes dans des bulles hermétiques…
Toutefois, une question se pose:
Si les femmes séduisent les hommes avec leurs phéromones, c’est que le Créateur les a créées ainsi…
Que se passe-t-il quand les homme s’opposent à la volonté de leur Créateur?
Eh bien, ils commettent le péché…
Conclusion: la burqa est un blasphème.
Question subsidiaire: que se passe-t-il avec ceux qui commettent le péché?
Pendant leur vie ils emm….. tout le monde.
Pendant leur mort ils vont en enfer.
Anne Lauwaert.
Sauf que chez le mammifère autoproclamé sapiens la vue est nettement plus importante que l’odeur pour la séduction d’où le dimorphisme sexuel et les formes des seins et des fesses (forme de coeur inversé) et le visage angélique des femmes, forts signaux sexuels