Merkel et compagnie instrumentalisent l’attentat antisémite de Halle
Alors que la chancelière allemande a fait attendre plus d’un an les victimes de l’attentat islamiste de Berlin pour leur présenter ses condoléances, elle a immédiatement réagi à l’intrusion d’un déséquilibré antisémite dans une synagogue. Et tout le camp du Bien, du président de la république aux journalistes des médias de grand chemin, tente maintenant de discréditer l’opposition de droite en prétendant que le tueur aurait été proche des idées de l’AfD, alors qu’en réalité il était inspiré par un racisme anti-juif et anti-israélien semblable à celui des socialistes nationaux d’Adolf Hitler et des islamo-gauchistes favorables aux « Palestiniens ». Le journal Junge Freiheit critique le double langage des dirigeants allemands.
https://jungefreiheit.de/debatte/kommentar/2019/stunde-der-scheinheiligen/
Traduction (Claude Haenggli) : Chez ceux qui dénoncent avec les accents les plus forts l’antisémitisme d’extrême-droite, mais qui ignorent et lénifient les manifestations « Al-Qouds » ayant lieu chaque année, tout comme les paroles antijuives hurlées par des foules arabes, ainsi que la haine des juifs que la gauche camoufle en « antisionisme », et qui ne se décident même pas à interdire en Allemagne l’organisation terroriste Hesbollah, tout en abreuvant d’argent des contribuables et des institutions allemandes, la propagande et les organisations antisémites au Proche-Orient, la phrase si souvent répétée de « Plus jamais ça ! » ne devient qu’une parole vide de sens et démagogiquement orientée.
Claude Haenggli, 10.10.2019
Le camp du Bien a encore l’illusion de pouvoir acheter la clémence des musulmans en se montrant dur avec les autochtones relégués en périphérie, ceux qui votent Afd, en fait ceux qui pourraient remettre en cause les privilèges de cette caste de dominants.
Tout ça va changer bientôt, quand les islamistes feront des attentats de grande ampleur et s’en prendront directement à ce camp du Bien, facilement plongé dans l’hébétude ayant perdu le contact avec la dure réalité des choses.