En Amérique, tant au Canada qu’aux États-Unis, l’immigration illégale – ou les « migrations irrégulières » pour employer le novlange d’Ottawa – défraie les manchettes depuis quelques années.
Au sud du 51e parallèle, l’immigration illégale, principalement en provenance des pays de l’Amérique latine, est un phénomène majeur, mais ne date pas d’hier, contrairement au Canada où c’est le fameux Tweet « Bienvenue au Canada » lancé par Justin Trudeau sur le réseau social Twitter qui a enclenché le phénomène à l’hiver 2017.
Depuis, ce sont des dizaines de milliers de clandestins qui ont franchi la frontière américano-canadienne pour être accueillis à bras ouverts par les autorités canadiennes. C’est énorme pour une population comme celle du Canada, bien que le phénomène soit beaucoup moins important qu’aux États-Unis où les clandestins sont au minimum 10 millions selon le Pew Research Center qui présente un nombre probablement bien en deçà de la réalité.
La volonté de Donald Trump de bâtir un mur entre le Mexique et les États-Unis et d’appliquer une ligne dure envers l’immigration illégale explique en partie son élection à la Maison blanche et a eu un impact beaucoup plus important qu’une quelconque intervention russe.
Au Canada, la campagne électorale n’a pas encore été officiellement déclenchée, mais déjà le conservateur Andrew Scheer, le principal adversaire de Trudeau fils, attaque le premier ministre sur cet enjeu qui risque de devenir un élément marquant de sa campagne.
Mais le problème avec cet enjeu est qu’il reste relativement secondaire. Certes, il va de soi qu’un gouvernement doit contrôler ses frontières, ce qui est la base même de toute souveraineté. Il est aussi crucial que dans un état de droit, une démocratie libérale comme les États-Unis et le Canada, les règles soient respectées. Ces pays ont renié toute identité nationale ou ethnique ; l’appartenance au pays nécessite une adhésion à ses lois et institutions.
C’est la seule façon dont ces états de plus en plus artificiels, car de plus en plus coupés de leur identité nationale et ethnique au profit d’une approche inclusive, peuvent perdurer.
Mais ce n’est justement pas les institutions et l’état qu’il faut préserver, mais la nation, le peuple qui est à son origine. Les institutions peuvent changer, l’état peut s’écrouler, peu importe, tant que la nation survit. L’exemple russe qui a connu le régime tsariste, la révolution, la tyrannie et la violence avant de renaître de ses cendres nous le démontre bien. Et quand on parle de survie nationale, ce n’est pas l’immigration illégale et statistiquement marginale qui importe, mais l’immigration de masse, tout à fait légale qui est orchestrée par les élites.
Le Grand remplacement ne se fait pas de façon clandestine et illégale, mais bien au grand jour à travers l’immigration de masse. Au Canada, celle-ci a explosé, passant d’un niveau ingérable d’un quart de million de nouveaux venus annuellement pour une population totale de moins de 40 millions à un tiers de million chaque année et les chiffres continuent de grimper. C’est là le véritable enjeu. Les quelques milliers qui parviennent à entrer au pays ne représentent qu’une goutte d’eau dans le tsunami migratoire que nous impose Trudeau.
Si les Conservateurs voulaient vraiment enrayer le Grand remplacement, ils s’attelleraient tout de suite à ce dossier. Mais voilà, ce n’est pas ce qu’ils souhaitent.
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99
Cet article La droite nord-américaine fait fausse route est apparu en premier sur Eurolibertés.
Extrait de: Source et auteur
“Si les Conservateurs voulaient vraiment enrayer le Grand remplacement, ils s’attelleraient tout de suite à ce dossier. Mais voilà, ce n’est pas ce qu’ils souhaitent”, dites-vous.
Alors, il doit y avoir “conservateurs et conservateurs”. Les vrais conservateurs aiment l’homogénéité d’un pays bien que cette homogénéité les confrontent à la forte puissance du groupe d’origine quand celui-ci a des exigences sociales, politiques et autres. Mais certains conservateurs aiment ce jeu de lutte et savent que ça fait partie d’une nation, à la condition d’AIMER la nation. Des partis comme celui de Marine Le Pen ont encore cet attachement viscéral à la nation. En est-il de même pour les conservateurs canadiens?
Quel est le degré d’enracinement d’un ou des membres d’un parti pro-national dans une nation comme la France millénaire?
Quel le degré d’enracinement d’un ou des conservateurs dans une nation comme le Canada qui a émergé depuis 1867.Pays qui n’est âgé que de 152 ans?
Aujourd’hui le migrant représente ” une manne future d’individus que l’on rendra dociles et exploitables, le moment venu”. Mais pour le moment c’est “sa pénétration destabilisatrice qui est importante pour les politiques” et essentielle pour faire perdre aux autochtones l’habitude de se sentir “chez soi” et dans “ses droits”.
Si l’on regarde le fonctionnement du monde occidental aujourd’hui, c’est comment faire en sorte que le citoyen autochtone CONSCIENT de ses droits, soit enseveli sous les masses ou grâce aux masses venues d’ailleurs. Jusqu’à lui imposer l’entrée de l’Islam radical si nécessaire.
Cette méthode est appliquée partout dans le monde occidental. Que nous réserve l’avenir si nous laissons au pouvoir des gens qui n’ont de cesse d’appliquer ce programme?
”un gouvernement doit contrôler ses frontières, ce qui est la base même de toute souveraineté”
Sage décision de la part de M. Trump.
Quand la Suisse rétablira des contrôles aux frontières dignes de ce nom. Schengen est une PASSOIRE