Cenator : Les Russes, qui n'ont jamais cessé d'espionner l'Occident, se lamentent de la proximité de l'OTAN. Mais lorsqu'on voit comment ils tiennent en vie le régime moribond de Cuba ou du Venezuela, on imagine aisémment ce qu'ils feraient de l'Europe si l'OTAN reculait. Naïfs, les Occidentaux ont la mémoire courte.
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Des pêcheurs norvégiens ont repéré en fin de semaine dernière une baleine blanche (ou béluga) s’approchant dangereusement de leurs bateaux. L’animal, un harnais sur le corps, est suspecté par les experts maritimes d’être une arme envoyée par la Russie.
La baleine est restée durant plusieurs jours à proximité d’un navire de pêche qui naviguait devant la côte du comté de Finnmark (extrême nord). Après plusieurs tentatives, les trois pêcheurs à bord ont réussi à libérer l’animal.
Le cétacé « était apprivoisé », habitué à recevoir de la nourriture des humains. « A l’approche, nous avons vu qu’il y avait une sorte de harnachement », a raconté l’un des pêcheurs. Le harnais était équipé d’un support qui aurait permis de fixer une caméra.
A l’intérieur du harnais se trouvait la mention en russe « Equipement de St-Pétersbourg ». Les scientifiques norvégiens pensent que l’animal s’est bien échappé de Russie. Selon l’un d’eux, la baleine devait être aux mains de la marine russe.
L’Institut de biologie marine de Mourmansk, en mer de Barents, est un lieu reconnu de test et d’entraînement, en secret, de différents mammifères marins – plutôt des phoques, mais aussi des dauphins et bélugas ou baleines blanches – à des fins militaires.
En 2017, une télévision russe avait indiqué que la Marine avait acheté des phoques et des cétacés, dont des bélugas, pour ses très stratégiques bases navales de l’océan Arctique. Equipés de caméras ou d’armes, ces animaux seraient entraînés à surveiller les abords sous-marins des sites militaires. Au besoin, ils peuvent «aider à tuer des intrus pénétrant sur leur territoire».
Sources : 20min.ch (avec vidéo), RTBF
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Bizarre, pour des ultras professionnels, d’exhiber sa carte d’identité.