- Il y a actuellement moins de 200'000 licenciés d'une société de tir. Mais entre 2,5 et 5 million de propriétaires d'armes (légaux) en Suisse. Cela veut dire qu'au moins 1 million de personnes, sans doute plus, à savoir tout ceux qui possèdent légalement une arme, mais qui ne sont pas des tireurs réguliers, deviendront des criminels.
Par exemple, la jeune tireuse, qui deviens mère de famille, et qui ne peut plus pratiquer son sport pendant quelques années. Ses armes lui seront confisquées.
Ou le père de famille, victime d'un AVC ou d'un accident de vélo, qui ne peut plus pratiquer le tir le temps de sa convalescence. Est-il irresponsable? Est-il un criminel? Mérite t'il de se faire confisquer une partie de son patrimoine qui a souvent une valeur émotionnelle très forte (les armes se transmettent de génération en génération en Suisse)? Nous pensons que non.
- Cette loi inclut déjà les bases juridiques pour les prochaines restrictions; la suivante débutera dès le mois de Novembre 2020 (l'année prochaine!) c'est donc juste le premier volet. Pourrons nous voter sur les suivantes? Rien n'est moins sur, parce-que le CF envisage de faire supprimer le droit au référundum facultatif pour les adaptations mineurs du droit international.
- Les fameuses "exceptions suisses" négociées (qui n'en sont pas tant que ca) sont en réalité simplement un sursis de quelques années, pour faire accepter la loi. Grâce à l'article 17, la Suisse sera forcée à reprendre les autres mesures dès la prochaine adaptation (Novembre 2020). Pourtant tout le monde reconnait que ces autres mesures détruiraient la tradition Suisse du tir. Mais rares sont ceux à avoir l'honnêteté d'en parler dès aujourd'hui. En ce sens, le manque de transparence est pour le moins litigieux (sans dire plus).
- Nous passons d'un régime de détention à un régime d'autorisation. Imaginez vous que votre voiture vous est confisquées si vous ne passez pas un examen par année avec? Dans un pays libéral, la propriété ne doit pas être conditionnée à l'utilisation.
- Notre ancienne ministre du Département Justice et Police, Madame Sommarugua, avait reconnu qu'en cas de refus devant le peuple, nous ne sortirions pas de Schengen, mais simplement il y aura une nouvelle période de négociation. Le Président du parti Socialiste, Monsieur Levrat, a tenu des propos similaires, sur un autre sujet: en cas de refus de l'Accord Cadre.
Voici pourquoi nous affirmons, que ce texte détruira bel et bien le 4ème sport Suisse si elle est acceptée. En moins de dix ans.
Vu le nombre d’armes de guerre qui innondent les cités françaises, il est certain que la priorité est de désarmer le citoyen blanc européen.
Il y a 3 catégories d’individus qui gagnent en cas de oui : les malfrats, les terroristes et les dictateurs! !! Nos autorités, CF en tête, trahissent la Constitution. Est-ce que les suisses onf encore assez de bon sens? C’est la question posée par ce référendum…
@Michel : garder une arme à domicile c’est être prêt à se défendre si nécessaire.
De nombreux citoyens ne sont pas chasseurs ou membres de clubs, mais pratiquent régulièrement le tir.
Il n’y a aucune raison de vouloir les désarmer comme vous le suggérez.
Et quand vous parlez d’avancée pour la sécurité, vous oubliez de préciser que l’immense majorité des délits liés aux armes concernent des armes qui sont déjà détenues illégalement selon le droit actuel.
Tant mieux s’il y a un meilleur contrôle. Et si quelqu’un ne fait plus partie d’un club de tir, n’a pas fait le service militaire, ou n’a pas de permis de chasse, alors il n’a plus aucune raison d’avoir une arme chez lui et doit la déposer.
Combat inutile et d’arrière-garde. C’est une avancée pour notre sécurité.
Concentrez vos forces et vos moyens dans la bataille de novembre contre la libre-circulation des personnes.
Merci de vous battre et d’argumenter encore et encore ! Bravo pour votre ténacité que j’admire ! Il est évident que je voterai non aux directives de l’Union européenne.
C’est bien vous qui avez raison, et non la propagande officielle qui veut nous soumettre à tout ce que dicte l’U.E.