La HEIG-VD, haute école professionnelle transformée en laboratoire idéologique, déploie sa propagande transgenre.
Déjà sous le mandat d'Anne Catherine Lyon, la HEIG-VD était régulièrement détournée de ses missions et s'est peu à peu transformée en laboratoire d'application idéologique : une filière à caractère hautement discriminatoire réservée aux femmes et interdite aux hommes a ainsi été créée. Les cours dispensés y servent de piédestal à quelques professeures féministes militantes comme Madame Fahten Urso, qui ne se prive pas de promouvoir ses vues idéologiques auprès des jeunes femmes venues chercher une formation professionnelle.
Ce détournement de l'institution de sa mission de formation se poursuit encore largement sous Cesla Amarelle. Les nombres d'heures dévolus à la formation sont régulièrement diminués, les budgets d'investissement pour les activités d'enseignement sont limés année après année, les effectifs de classe sont augmentés drastiquement pour faire des économies au dépens de la formation. Pendant que des plans d'économie sont imposés à toute l'école, la HEIG-VD dilapide l'argent du contribuable dans des campagnes de propagandes politiques, illégales dans une haute école professionnelle.
La dernière campagne en date concerne un programme totalitaire de lutte contre les supposées discriminations dont souffriraient les personnes transgenres dans l'institution. Doté d'un copieux budget, un programme d'affichage massif a ainsi été réalisé dans le hall de l'école. D'autres actions coûteuses sont d'ores et déjà annoncées pour poursuivre l'opération.
Le ton est donné sur les panneaux d'affichage : "Les canaux de dénonciation doivent être clairement identifiés". Les transgenres cherchent ainsi à déployer une atmosphère de peur tout en se surprotégeant. Dans une institution universitaire qui devrait faire la place belle au débat et à la confrontation d'idées, voilà un nouveau un sujet pour lequel l'opinion est imposée, la libre parole muselée, et la police de la pensée aux aguets.
L'ambiance minée, déjà très lourde dans l'école, ne va certainement pas aller en s'arrangeant.
Photos : www.grosfichiers.com/2F5anu833ghrX
H.Y.
Pareil à l’Uni de Genève, Où l’on peut voir presque partout des affiches prétendu anti-discrimination mais qui visent souvent à mettre en cause les hommes et à mettre sur leur dos tous les échecs académiques féminins. De plus, un nouveau programme à l’interne vise expressément à favoriser la relève féminine dans le monde académique au détriment des hommes. Avec nos sous, une fois de plus.
La vermine socialiste ne recule décidément devant rien pour détruire ce qui fonctionne encore dans notre société. Ces affiches mentionnent des “canaux de dénonciation”. Belle mentalité, digne du National SOCIALISME ou de l’Union des Républiques SOCIALISTES Soviétiques.
En tant que diplômé de cette école, je pense que les étudiants ont franchement d’autres chats à fouetter, vu le niveau d’exigence et la quantité de travail imposés pour réussir. Peut-être que depuis, cela a changé et que Mmes Lyon et Amarelle préfèrent distribuer les diplômes comme des pochettes surprises. Pour une haute école d’ingénierie et de gestion, c’est vrai qu’il est tellement plus important et prioritaire de défendre obstinément une ultra-minorité – qui n’est pourtant pas persécutée, que je sache – que de promouvoir le dépassement de soi et l’excellence. Amener des femmes aux métiers d’ingénieures, oui. Mais militer pour les lobbies LGBTQIXYZ, non! Ce n’est pas la vocation de cette école.
”la HEIG-VD dilapide l’argent du contribuable dans des campagnes de propagandes politiques, illégales dans une haute école professionnelle.” –> Je n’ai pas vu une baisse dans les budgets !
” … les personnes transgenres dans l’institution. Doté d’un copieux budget, un programme d’affichage massif a ainsi été réalisé dans le hall de l’école” –> Bizarre cette attitude d’arroser au moyen d’un copieux budget l’information au sujet des transgenres.
”voilà un nouveau sujet pour lequel l’opinion est imposée, la libre parole muselée, et la police de la pensée aux aguets”
Les transgenres n’étant pas un sujet prioritaire, ni par son importance ni par le nombre, je ne comprends par Mme C. Amarelle de vouloir persister dans cette voie SANS ISSUE !