Initiative au Tessin de Giorgio Ghiringhelli contre les prières musulmanes ostentatoires dans l’espace publique

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STOP ALLE PREGHIERE ISLAMICHE SU SUOLO PUBBLICO!

Le multiculturalisme que l’ont voit à l’oeuvre depuis une génération en France, en Angleterre, en Allemagne, en Suède, etc, ne conduit pas à l’assimilation, ni même à l’intégration mais permet l’inclusion d’immigrants ignorants et conduit à une ségrégation qui de multiculturelle est devenue multi-conflictuelle, violente, violeuse et colonisatrice. Ce multiculturalisme permet à des communautés d’individus étrangers d’une autre temporalité de vivre de manière séparée, sans les inciter à s’assimiler, tout en les poussant à pratiquer une ségrégation sociale, en se distinguant avec ostentation dans l’espace publique et en ayant des exigences croissantes, bref en se dissociant complètement du reste de notre société et de notre démocratie directe et en donnant naissance à des jeunes de la génération allah tout disposés à se radicaliser. Tout particulièrement par la communautarisation de l’oumma musulmane, ce multiculturalisme immigrationniste a débordé du domaine privé sur la vie publique. Chez nos voisins, il est même devenu ostentatoire et conquérant sur la voie publique, dans les entreprises et dans les établissements de formation, du jardin d’enfants à l’université.

C’est le grand mufti de Jérusalem al-Husseini, grand admirateur et ami d’Adolf Hitler pendant la deuxième guerre mondiale, qui perfectionna les armes de visibilité de l’islam actuel avec la mobilisation de masse utilisant les mosquées, le prêche démagogique des imams et des mollahs, les manifestations dans l’espace publique pour intimider, les suppliques ostentatoires dans la rue pour reconquérir le territoire qui aurait été créé par allah… A noter qu’en violation du principe de réciprocité, en pays musulman, toute manifestation ou démonstration chrétienne est malvenue, voire illégale par exemple en Arabie Saoudite où les seules structures sociales sont la pétromonarchie et l’islam-idéologie, mais encouragée par les mêmes musulmans pratiquants à Paris, Londres, Bruxelles, Cologne, etc. Quelle éblouissante réciprocité due aux lèche-babouches de la gauche devenue extrême-gauche et tant de partis de la droite et du centre devenus protecteurs et défenseurs de la gauche, du politiquement correct, de l’islamiquement correct et de l’islam-idéologie.

C’est grâce aux suppliques ostentatoires dans l’espace publique, qu’il y a maintenant plus de 750 zones de non-droit ou zones islamisées en Frankistan et bientôt autant en Angleterre, en Allahmagne et en Suède. Les Suisses veulent-ils vraiment suivre cet exemple et que leur Etat-nation ne soit plus un état de droit?

Nous les Suisses patriotes de culture judéo-chrétienne n’avons pas envie de vivre un grand remplacement de notre peuple, d’avoir l’impression de changer de continent quand nous sortons de chez nous faire nos courses, de nous retrouver minoritaires dans nos quartiers, de ne plus y entendre parler nos langues nationales, de supporter les divers étendards ostentatoires musulmans dans l’espace publique. Nous ne voulons pas subir leurs coutumes, leurs rituels et leurs soit-disantes valeurs qui sont si divergentes des nôtres et d’une autre temporalité. Nous n’avons plus aucune envie de vivre l’enfer quotidien du vivre côte-à-côte avec eux dans la cité et dans nos écoles. Nous avons le droit de choisir comment doit être le pays dans lequel nous vivons. Nous ne voulons pas donner notre pays aux autres. La surnatalité, la pauvreté et la corruption dans les pays africains  et dans des pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord ne sont pas notre problème, mais le leur. La corruption est devenue dans ces pays corrompus, une autre façon de respirer, à eux de s’en débarrasser. Nous n’en sommes pas responsables et ce n’est pas à nous à subir les conséquences de leur irresponsabilité, de leur refus de recourir aux moyens anticonceptionnels et de leur corruption. A eux de résoudre leurs problèmes, de prendre les armes pour défendre leur patrie, de se débarrasser de leurs terroristes, de leur racaille, de leurs dictateurs, de leur corruption et de ne plus mépriser leurs femmes et leurs miséreux.

Dans l’Europe menacée et meurtrie par le terrorisme musulman, les violences musulmanes telles que voitures incendiées, viols, assassinats, etc, ce djihad hard nous manipule. L’ostentation systématique, la visibilité symbolique dans la société et dans l’espace publique des étendards musulmans, ces saints emblèmes que sont, voile, burka, femmes mal emballées et sans gêne, barbe criarde, prière ostentatoire et tapageuse dans la rue, burkini tape-à-l’oeil, café sans femmes, mosquées, minarets, cimetières musulmans, centres culturels islamiques soit le djihad soft, etc, créent une ambiance agressive et malsaine favorable à modeler des musulmans pratiquants et leurs enfants naturalisés (!) de la génération allah pour en faire des terroristes et des soldats sans uniforme des califats. La violence s’est répandue partout; cette ostentation, cet envahissement de l’espace publique et cette visibilité doivent être inversées. L’islam-idéologie doit se Réformer. Chez nous, l’islam et les musulmans pratiquants doivent devenir discrets et effacés comme un réformé protestant.

Il y a plus d’une génération que nos élus et nos autorités auraient dû s’attacher à cette tâche prioritaire et urgente et auraient dû formuler et affirmer nos valeurs et nos vertus avec beaucoup plus de fermeté,. La meilleure prévention et la moins onéreuse eut été d’obliger tous les immigrants, en particulier les parents musulmans à vraiment s’assimiler dans leur pays d’accueil occidental. Les élus, les autorités, les médias de masse, les gens d’église et les voisins auraient du exiger que aussi bien la mère musulmane que le père s’assimilent vraiment puis déclarent en toute bonne foi: "Je suis musulman. Ma religion, c'est mon affaire privée et intime. Je ne deviens pas un meilleur musulman en portant une barbe, en diffamant d'autres personnes en tant qu’incroyants, en battant mes enfants pour qu’ils récitent leur suppliques, en faisant souffrir les animaux. Je ne deviens pas une meilleure musulmane en portant un voile, un burkini ou en mutilant sexuellement ma fillette et en lui interdisant d’aller à la piscine avec sa classe. Je suis musulman, mais je rejette un allah qui punit, menace d’enfer et m’ordonne de tuer les mécréants. Je suis musulman, mais je considère les filles et les femmes comme des égales et je les respecte. Je suis un homme qui traditionnellement a le pouvoir mais je ne veux pas de ce pouvoir. Je veux créer des droits égaux, des libertés égales. Alors je saurai que mon honneur est différent que dans les autoritaires cultures patriarcales. Je suis musulman et je défends la démocratie directe et les droits de l’homme tels que décrits dans la Constitution fédérale de mon pays d’accueil. »

L’islam-idéologie qui, avec la complicité de l’islamosphère, envahit l’espace publique et nous conduit au chaos et à la banqueroute des finances de notre nation, me fait très peur, autant que l’envahissement de la Suisse par les nazis faisait peur à mes parents. Cet ersatz de religion politique envahit l’espace publique, dissémine dans l’espace publique les suppliques collectives, avec la finalité de reconquérir des territoires en construisant des lieux où se prosterner, en cherchant à implanter des minarets et en créant des zones de non-droit, alors que toute vraie religion doit rester une affaire individuelle et intime. Contrairement à l’islam et dans les pays musulmans, dans nos démocraties chaque citoyen peut choisir et pratiquer une religion comme il l’entend, à la condition que cette/sa religion reste personnelle, intime et dans son domaine privé. L’islam actuel, lui, ne pourra jamais  être une telle religion européenne.

Les religions chrétiennes, tout comme par exemple le bouddhisme, sont avant tout des religions personnelles et intimes, avec des doctrines mystiques, une spiritualité et un amour de l’état contemplatif. Ce qui manque à l’islam-idéologie politique musulmane, c’est précisément ce religieux, au sens spirituel du terme. Voilà pourquoi, quand on voit, dans une église, se recueillir et prier un/une fervent/e croyant/e d’une religion comme le christianisme, même si on est athée, on ne peut s’empêcher d’être ému; au contraire lorsqu’on voit des hommes musulmans prier ostensiblement dans la rue en s’appropriant avec arrogance d’un territoire publique, on n’est pas ému parce qu’ils sont prosternés, pour adorer servilement l’idéologie politique indérogeable et liberticide qui les maintient dans une complète soumission. Telle islam-idéologie ambiante irrite tant d’Européens que «plus on les voit, moins on en veut ». Non sans raison, de plus en plus, ces Européens concluent qu’ils ne vont pas continuer à se laisser empoisonner dans l’espace publique; comme en France, en Angleterre et en Allemagne. De multiculturelle notre société est en passe de devenir multidéculturée et multiconflictuelle.

Parce qu’une vraie religion est toujours et obligatoirement une affaire strictement personnelle et intime, 24 des 26 Cantons suisses reconnaissent non pas des religions ou des idéologies mais des Eglises, soit des communautés de citoyens unies par une même religion et deux cantons expressément laïcs éloignent et mettent à part l’Etat et l’Eglise, non pas la religion et l’Etat. Contrairement à des théocraties comme par exemple l’Iran et l’Arabie Saoudite et à tout Etat des 57 nations musulmanes, un Etat-nation démocratique ne peut jamais prendre la liberté d’imposer des dogmes religieux à ses citoyens et les contraindre à se soumettre à une doctrine religieuse; il a seulement l’obligation de s’assurer que leurs religions ne soient pas en contradiction et/ou interfèrent avec les valeurs et les vertus laïques et démocratiques de la nation. A la différence du catholicisme et du protestantisme l’islam n’est pas une idéologie personnelle intime, ni une religion d’Eglise mais une relation politisée et de complète soumission de chaque musulman à allah, son messager Mahomet, ses dires ou hadiths, le coran et la charia leur loi universelle et autoritaire qui cherchent en priorité à lui dicter leurs pensées et leurs actes; par obligation juridique cette relation s’oppose catégoriquement à et interfère avec nos valeurs et vertus laïques et démocratiques, ce qui fait qu’un Etat-nation démocratique et de droit comme la Suisse est dans l’impossibilité absolue de reconnaître la société des fidèles de cet ersatz de religion, sa doctrine politique de conquête qu’est l’islam-idéologie et de lui accorder des privilèges tels qu’exonération d’impôts, subsides, aumôniers à l’armée et dans les prisons.

Etant donné que toute marque de tolérance de notre part est comprise par les musulmans pratiquants militants missionnés par l’islam et autres immigrants envahisseurs extra-européens comme un aveu de faiblesse, d’acceptation voire de soumission, à l’exemple des pays musulmans, nous ne devons adopter à leur égard que le langage de la fermeté et de la réciprocité. Par exemple il faut leur faire comprendre que l’espace public laïque n’est pas pluri-confessionnel, mais non-confessionnel et que l’espace confessionnel fait partie de la sphère privée et intime de chacun et évidemment l’exiger sans férir.

Dans toute société, chacun doit se rendre tolérable pour être toléré. Pour cette raison, aucune identité religieuse, ersatz religieux ou idéologie ne doivent s’affirmer dans la rue, dans les propriétés de l’Etat-nation et dans tous les lieux de formation. et y malmener les citoyens-contribuables autochtones quelque soit leur religion. Le privé, tout particulièrement la religion et le sexe, doit rester strictement le privé de chacun et l’espace publique doit rester l’espace publique de tous. Notre société démocratique doit formuler et affirmer ses valeurs et ses vertus avec beaucoup plus de fermeté.

Arrêtons de traiter les musulmans avec tant d’égards et de générosité alors qu’ils ont des coreligionnaires violents, revendicateurs, arrogants, intolérants, criminels  remplissant nos prisons, coûtant cher aux contribuables, et traitent les Suisses avec mépris parce que nous sommes tous des mécréants, que nous soyons  chrétiens ou athées, alors que nous sommes civilisés, tolérants, consensuels, affables, discrets, respectueux, travailleurs, des entrepreneurs innovants et que ceux qui ont la foi pratiquent discrètement des religions personnelles, apolitiques et intimes.

Dr. méd. Dominique Schwander, février 2019