En cas de référendum, 40% des Français voteraient pour le Frexit, 55% pour le rétablissement de la peine de mort, 76% pour le retour de l’ISF (IFOP)

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[Sondage exclusif] RIC, Europe, peine de mort : ce que pensent les Français Le référendum d’initiative citoyenne semble devoir s’inscrire durablement dans la société française. Peine de mort, cannabis ou révocation des élus: les résultats de notre sondage Ifop – Valeurs actuelles détonnent. (…) Valeurs Actuelles #RIC 76% des Français voteraient pour le retour de […]

 

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9 commentaires

  1. Posté par Sylvie le

    JE SUIS ..POUR LE FREXIT … POUR LA PEINE DE MORT POUR LES ASSASSINS …ET TRAITRES A LA NATION …ET POUR LE RETABLISSEMENT DE L ‘ISF … ET POUR LA RECUPERATION DES 100 MILLIARDS PAR AN DE FRAUDES FISCALES AVEC PENALITES … !

  2. Posté par Alex le

    Je ne crois pas une seule seconde la véracité de ce sondage. Les instituts de sondages sont des organismes politisés qui surestiment toujours les idées de gauche. Selon les sondages, Trump ne pouvait pas gagner, Fillon non plus à la primaire de droite, le Brexit ne pouvait pas passer et le referendum de 2005 devait assurément donner le oui gagnant. Les surprises sont toujours de droite, comme par hasard…Aujourd’hui, les européistes ont tous peur de l’effondrement de l’Europe. La seule façon de connaitre la réponse est de faire un referendum. Macron lui-même a dit qu’il pensait que les français voteraient le FREXIT. Je pense aussi que le FREXIT serait approuvé en cas de referendum, avec une majorité confortable.

  3. Posté par glanduron le

    Si ces chiffres sont vrais, la conclusion est que la France est un pays de c… La ruine est toute proche pour eux. Vous vous souvenez vous de la Grèce ? Et bien ,a la France est une Grèce en puissance. Il va y avoir du sang dans la rue. Que dis-je ? Il y en a déjà !

  4. Posté par Marie-France le

    Jamais, jamais le RIC ne sera mis sur les rails ! Les “zélites” françaises ont bien trop peur du peuple qu’elles méprisent et jugent comme incompétent. Il pourra peut-être y avoir une caricature de référendum : des questions sans grand enjeu choisies par les dites “zélites”.. et si la réponse du peuple ne leur convient pas, au panier.. ou alors, “on”mettra ou enlèvera une virgule ici,, un point là…et hop ça passera par le Parlement comme Sarko l’a fait pour le référendum sur la constitution européenne en 2005 !
    En France , on n’efface pas si facilement des siècles de monarchie !!

  5. Posté par miranda le

    QUEL DOMMAGE que 40 % seulement des Français seraient d’accord pour un FREXIT.

    Car si l’on y regarde de près : qu’il s’agisse de la France ou d’autres pays d’Europe, on sent bien que depuis des années “L’EPANOUISSEMENT ECONOMIQUE, INDUSTRIEL ET FINANCIER DE L’EUROPE” ne soit pas désiré. Depuis notre asservissement à Bruxelles nous ne cessons de décliner.

    Mr CASTAGNER se plaignait devant l’assemblée de la décision de Bruxelles face à la fusion ALSTOM-SIEMENS. En effet cette fusion ne doit pas avoir lieu car elle fausse … soi-disant la possible concurrence. Tout a été envisagé et tout est prétexte à empêcher l’EUROPE de devenir performante.
    Un petit rappel qui pourrait éclairer tout un chacun sur cet “empêchement programmé” qui dure depuis que BRUXELLES s’impose aux états Européens :
    C’est un peu long, j’en conviens, mais si on ne lit pas un résumé aussi salutaire, on ne comprendra absolument pas ce qui nous arrive.

    De Pierre Hillard : la décomposition des nations européennes.
    La deuxième moitié du XXe siècle aura été fondée sur un paradoxe. Des générations d’hommes politiques ont parlé de la ” construction européenne ” mais il semble s’agir d’un objectif qui, comme l’horizon, s’éloigne au fur et à mesure que l’on avance. En fait, avec les années qui passent, on assiste à la déconstruction, à la destruction des nations, sans que rien ne vienne les remplacer. Et l’on peut même se demander, hypothèse encore plus terrible, mais vraisemblable, si ” faire l’Europe ” ne consiste pas, en fait, à détruire les nations. L’historien allemand Rudolf von Thadden l’avait dit sans prendre de gants : ” Pour faire l’Europe, il faut défaire un peu la France “. La construction européenne fut fondée, dès l’origine, sur l’idée d’une renonciation à l’exercice de la souveraineté, sous prétexte que certains pays européens, l’Allemagne, en particulier, avait cédé, entre 1914 et 1945, au vertige de la puissance. On avait libéré les nations mais pour, aussitôt, les démanteler à nouveau. Confondant la puissance et la souveraineté, on s’imaginait que l’équilibre des puissances passait désormais par l’abolition des souverainetés. Comme le montre Pierre Hillard, jeune et brillant connaisseur de l’Allemagne et des affaires européennes, on a, par cette politique de gribouille, permis à des forces fascistes et impériales de revenir sur le devant de la scène. Son nouvel ouvrage est l’occasion, pour lui, d’élargir le champ de son enquête : derrière le morcellement territorial des Etats, on ne retrouve pas seulement des organisations héritières du national-socialisme et des mouvements ethno-racistes, largement décrits dans son Enquête sur le plan allemand qui va bouleverser l’Europe : on recense, en fait, de multiples courants qui, de la droite à la gauche, militent pour la destruction des nations et, quelquefois consciemment, font le jeu de la mondialisation économique et politique, qui est, en fait, le produit du basculement des Etats-Unis d’Amérique dans l’impérialisme, comme l’avouent ouvertement les idéologues du gouvernement Bush. Pierre Hillard montre comment l’atlantisme, qui n’avait plus de raison d’être après la fin de la guerre froide, est devenu l’instrument de ce ” mondialisme ” que prônait, dès son élection à la présidence de la République, le père de l’Europe actuelle, Valéry Giscard d’Estaing. Chercheur scrupuleux, Pierre Hillard reconstitue un certain nombre de réseaux et identifie les fondations qui, en Europe et aux Etats-Unis, s’emploient à saper les principes mêmes de la souveraineté des Etats, au nom des droits des minorités et au service du capitalisme prédateur qui caractérise notre époque, toutes ces tendances faisant le jeu de l’hégémonie américaine. Une hégémonie que Zbigniew Brzezinski décrivait, en 1997, dans un cadre spenglerien : la vocation américaine est désormais de contrôler l’Eurasie, pour réaliser l’empire occidental. C’est la logique mortifère d’une Europe carolingienne à la fois impuissante diplomatiquement et ravagée par les désordres économiques qu’engendre l’ordre américain pour détruire la seule Europe possible, celle des souverainetés pleinement exercées par des Etats nationaux, coexistant dans la paix et la prospérité. L’auteur de ce livre s’affirme de plus en plus, en effet, comme un observateur très précieux de la politique internationale. La clarté et la précision de ses analyses sont le meilleur antidote aux tours de passe-passe idéologiques dont se servent les manipulateurs de la démocratie. ” (un livre bénéfique, à avoir en permanence sur sa table de chevet)
    La déconstruction de l’Europe empêche une dynamique INDUSTRIELLE, ECONOMIQUE ET FINANCIERE qui pourrait faire d’elle un ensemble économique performant. Et donc une concurrente.
    Nous sommes , sur cette planète, dans une logique de débiles mentaux restés encore au stade de chasseurs cueilleurs défendant âprement leurs territoires respectifs.

    Tout ce que les sciences en général, sciences humaines et sciences de la matière auraient pu nous apporter en terme d’évolution, est bloqué par LE MENTAL SOUS DEVELOPPE D’UNE POIGNEE DE PUISSANTS.

    Nous ne pourrons pas vivre en paix sur terre TANT QUE NOUS NE SAURONS PAS PARTAGER EQUITABLEMENT LES GRANDS SECTEURS DE PRODUCTION qui engendreront de multiples petits secteurs de production.
    Et nos concurrences nous entraîneront à AFFAIBLIR LA PLANETE puisque cette course infernale, nous empêche d’avoir le temps de penser à l’écologie.

    Il y a suffisamment d’intelligence et de créativité pour que nous sachions partager les découvertes qui amélioreront la vie des humains et leur permettront d’aller vers un développement personnel et spirituel. TOUT CELA SE HEURTE A LA HAINE que ressentent en général les puissants à l’égard de tous les peuples mais aussi leur goût d’un PROFIT SURDIMENSIONNE.

  6. Posté par Peter Bishop le

    Plus de taxes, plus de pouvoir à l’état…
    Si ces chiffres sont justes, ils donnent raison à ceux qui disent que les Français sont trop cons pour le RIC…

  7. Posté par Michel Vasionchi le

    Le meilleurs des sondages serait , 76 % des français pour le Frexit, 40 % pour le retour de l’ISF et 55% pour le rétablissement de la peine de mort sans guillotine de funeste mémoire…..

  8. Posté par Apolitique le

    Leur U.E. , c’est la peine de mort pour la FRANCE . 40 % , c’est faux , je n’y crois pas ; Quant au R.I.P. , ça reste un rêve pour nous et un cauchemar pour les “bien pensants” aux affaires . Tout reste lié à la situation économique , qui chacun le sait , est florissante et s’améliore de jour en jour ! Toujours plus de jeux et encore moins de pain , voilà l’avenir . Moins de pain que nous partagerons avec plus de parasites improductifs , la robotisation et la productivité améliorée ne compenseront pas l’accroissement de richesse nécessaire à la satisfaction de consommation des envahisseurs .

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