Le ministère italien de l'Intérieur, dirigé par l'homme fort du gouvernement transalpin, Matteo Salvini, a publié le 12 octobre un communiqué dans laquelle il révèle avoir expulsé trois hommes identifiés comme étant liés à «l'extrémisme islamiste» et représentant «un danger pour la sécurité nationale».
Dans sa publication, le ministère donne quelques détails sur les individus, pour expliquer ce qui a motivé sa décision. Le premier, un Marocain âgé de 22 ans, avait menacé en octobre 2017 des passants devant la synagogue de Florence en brandissant un couteau de cuisine et en criant «Allah Akbar».
Le second, un Gambien de 24 ans, avait été arrêté pour des crimes de droit commun tout en étant accusé d'être lié à «des groupes terroristes internationaux». Dans un carnet retrouvé en sa possession, l'homme avait, selon Rome, reproduit des schémas d'engins explosifs avec des instructions pour leur montage et leur utilisation. Dans ce même carnet, il aurait confié être proche d'une formation paramilitaire active dans le centre-ouest de l'Afrique, et avait exprimé le désir de «tuer les touristes blancs» et les «chrétiens» en Gambie, en attaquant des hôtels et des églises.
Les autorités italiennes ont également expulsé un Tunisien de 28 ans qui avait été arrêté à Modène pour vandalisme et vente de drogue. Lors de son procès, celui-ci avait vanté à maintes reprise les mérites de l'Etat islamique. Refusant de retourner dans sa cellule, il avait agressé des représentants de la police.
L'annonce de ces nouvelles expulsions suit de près celle de Elbadry Elbasiouny Aboualy, un imam égyptien de 26 ans accusé d'«incitation au terrorisme islamiste». L'homme avait notamment été identifié comme étant l'un des responsables de l'attaque contre l'ancienne députée Daniela Santanchè en 2009, lors d'une manifestation contre le port du voile intégral. Le ministère italien de l’Intérieur a précisé avoir procédé à 339 expulsions depuis janvier 2015, dont 102 en 2018.
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Le gouvernement italien a entièrement raison. La pratique devrait être généralisée en Europe selon le principe. “Un migrant clandestin commets, ou projète une agression physique ou un viol sur un Européen, il est expulsé ipso facto après avoir purgé une peine de prison”. Et si le pays d’origine n’est pas d’accord pour les reprendre on suspend toute aide au développement et tout accés légal aux ressortissants de ce pays en Europe!
Un accident est si vite arrivé. Il n’est pas rare non-plus qu’on se “suicide” en prison. Souvenons-nous de la bande à Baader.