La Suède malade de l’immigration. Et la France ?

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Enième mise en examen de Jean-Marie Le Pen, 90 ans en juin dernier, pour avoir attribué « 90 % des faits divers » aux immigrés. Au même moment, une enquête réalisée par le quotidien suédois Expressen, peu suspect de sympathie pour les « populistes », établissait que 94,5% des personnes impliquées dans la délinquance organisée à Stockholm ont au moins un parent d’origine étrangère, 82% d’entre eux étant issus de deux parents originaires d’un autre Etat – en priorité l’Irak, la Somalie, la Syrie et la Turquie. Les chiffres et la répartition géographique des délinquants sont identiques dans les 61 zones « vulnérables » (lire : de non-droit) que compte la Suède et au sein desquelles, affirme une responsable de la police, Linda Staaf, « règnent les criminels. Autrefois, ils tiraient dans les jambes afin d’intimider, désormais ils tirent dans la tête pour tuer ». Il y a deux ans, une enquête identique menée par le quotidien travailliste Dagens Nyheter établissait que 90% des personnes impliquées dans des délits avec arme(s) à feu étaient étrangères, pour la plupart originaires d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.

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