En quelques minutes, les policiers ont été encerclés par des dizaines de trafiquants. Depuis les fenêtres d'un immeuble, un citoyen excitait les Africains contre les policiers en traitant les agents de "nazis" et de "fascistes".
"Tout ce qui est arrivé à Turin aux jardins Alimonda est le miroir d'une société dans laquelle le criminel est convaincu de toujours s'en tirer"
C'est ainsi que Stefano Paoloni, secrétaire général du Syndicat de la police autonome (SAP), a dénoncé l'agression brutale qui a malheureusement vu deux policiers du commissariat de Barriera à Milan, attaqués par une trentaine de trafiquants de drogue non-européens.
Les deux agents s'étaient rendus dans un appartement mis aux enchères pour le livrer à l'huissier. Ils ont trouvé deux trafiquants de drogues africains. A la vue de la police, les deux hommes se sont enfuis vers les jardins d'Alimonda. Là, les deux individus ont demandé aux autres trafiquants présents du soutien: en peu de temps, les policiers ont été encerclés par 30 Africains et ont été attaqués violemment.
Depuis les balcons, un citoyen italien excitait les trafiquants en insultant les policiers : "Fascistes, foutez le camp. Nazis ". Scène de révolte.
Malgré le chaos total, grâce à l’intervention de quelques patrouilles de renfort, l’un des deux trafiquants a pu être arrêté alors que le second a réussi à s'enfuir. Le citoyen italien qui a insulté les policiers a également été arrêté.
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Ofcs.report / Forzearmatenews.it / Sap-nazionale.org / Torino.diariodelweb.it
Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Un jour les juges seront jugés
« Depuis les fenêtres d’un immeuble, un citoyen excitait les Africains contre les policiers… »
Quand le collabo(-consommateur ?) prend la défense de l’envahisseur-vendeur de mort … que c’est beau, la solidarité entre nuisibles !
Je me suis rendu à Turin trois ans de suite à la même époque. Comme partout en Europe, l’assombrissement des villes – notamment des parcs – est visible. Les trafiquants (et fouteurs de merde en général) sont les mêmes à chaque coin de rue ou de parc.
Mais, attention, le dire en couleur peut nous zemmouriser ou robinsoniser sévèrement. En d’autres termes, avoir des ennuis avec une justice qui, d’habitude, est bien clémente avec les ressortissants de l’immense île à problèmes, au sud de la Méditerranée.
Éric Zemmour a été condamné pour avoir dit : « … Pourquoi on est contrôlé 17 fois ? Parce que la plupart des dealers sont noirs et arabes, c’est comme ça, c’est un fait ! … » https://www.youtube.com/watch?v=UmsLJo3-Ju0
S’il avait dit la vérité (c’est à dire « … la quasi-totalité … », à la place de « … la plupart … »), il aurait été exécuté !
Allons-nous supporter ceci encore longtemps ???
Maintenant ça suffit, basta !
On leur rentre dedans , on les réexpédie dans leurs shit holes. et on met des patriotes au pouvoir pour veiller au grain.