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L’Afrique aux africains et l’Europe aux européens. Basta !
Dix-huit années passées en Afrique me prouvent que Bernard Lugan analyse correctement la situation. Tant que dura le système colonial, tout allait, bon an mal an, la guerre tribale était réprimée, la famine et l’épidémie contenues. Lorsque brilla le maudit “soleil des indépendance”, les peuplades autochtones revinrent au tribalisme, à la razzia. Il n’est rien resté de l’organisation des Blancs sinon une inutile bureaucratie de caste.
La “Coopération” et quelques grandes entreprises ont créé des bulles de développement, comme on pourrait l’imaginer sur une planète inhospitalière dans un film de science-fiction. L’autochtone vit en périphérie de ces bulles, comme un parasite. Remettez-lui une de ces bulles, elle revient très rapidement au désert; je pourrais citer le cas de palmeraies, dans la vallée de la Turkwell (au Kénya), très productives tant que les Français les faisaient fonctionner puis, abandonnées aux autochtones (nomades !!!), retournées à la brousse.
Le cas de l’Afrique du Sud est pratiquement un cas d’école : abandonné entre les mains de l’ANC et autres bandits, le pays file à toute vibure vers le sous-développement. On tue les agriculteurs Blancs, on les exproprie, et bientôt le pays crèvera de faim.
On comprend que les investisseurs rechignent à entreprendre dans ces contrées : l’instabilité politique, l’immaturité et la paresse des populations font qu’elles n’offrent aucune garantie à moyen et à long terme.
Le danger est que l’Afrique, incapable de développement, inonde l’Europe de sous-doués qu’elle ne peut plus nourrir. Car que ferons-nous de ces types ? Rien de mieux que des parasites assistés,quérulents et violents, voire parfois dangereux.