Les conséquences de la politique migratoire allemande
En septembre 2015, Angela Merkel ouvrit les frontières de l’Allemagne aux migrants venus par les Balkans. Rien qu’en 2015, plus d’un million de « réfugiés » ont rejoit l’Allemagne. Les conséquences de cette politique migratoire sont aujourd’hui visibles dans tout le pays.
Seulement trois mois après la déclaration de la chancelière allemande d’ouvrir les frontières, les premières conséquences de sa politique migratoires se firent sentir : durant les célébrations du Nouvel An le 31 décembre 2015, une vague d'agressions sexuelles collectives, de vols, de braquages et de viol est rapportée à travers l'Allemagne, principalement à Cologne. Les agresseurs sont des jeunes hommes issus de l’immigration. Le mythe selon lequel l’Allemagne aurait aidé des familles syriennes en détresse commence alors à se fissurer. Depuis cet événement le nombre d’agressions et violences dont les auteurs sont des jeunes hommes issus de l’immigration ne cesse de croître.
L’Allemagne est réellement submergée par la vague migratoire et ne parvient pas à gérer ce problème. Les migrants sont bien souvent placés dans des communes non préparées. Les habitants qui osent faire part de leurs craintes sont rapidement qualifiés d’extrémistes de droite (ce qui revient en Allemagne à les assimiler aux Nazis), la presse et la classe politique ne cessent de parler de l’apport positif des migrants. Martin Schulz, alors président du parlement européen et futur candidat malheureux à la chancellerie déclara « ce que les réfugiés nous apportent est plus précieux que de l’or » (1).
Dans la réalité, bien loin de M. Schulz ou Mme Merkel, les « réfugiés » n’ont apporté qu’une hausse de l’insécurité et de tensions sociales. Au point que même une soupe populaire à Essen à décidé de ne plus servir des étrangers, suite au comportements des « réfugiés » lors de la distribution d’aliments pour les plus démunis.
Le constat est alarmant. Moins de trois ans après la mise en œuvre de la politique d’accueil des migrants, l’Allemagne souffre.
Mais pour quelles raisons la chancelière Merkel décida d’ouvrir les frontières ? S’agissait-il simplement d’un coup de tête politiquement correct ? Ou existe-t-il une explication plus rationnelle ?
Le politologue allemand Herfried Münkler, spécialiste des conflits et auteur de nombreux ouvrages sur l’évolution des guerres actuelles lève le voile. Dans une discussion publique au musée national de Zurich (2), il déclarait que l’ouverture des frontières était une décision que la chancelière avait prise afin d’éviter un nouveau conflit en Europe. Selon Münkler, Merkel craignait le scénario selon lequel la fermeture des frontières envers l’Autriche aurait causé la fermeture des frontières autrichiennes vers la Hongrie ce qui aurait conduit le premier ministre hongrois, Victor Orban, à prendre des mesures fermes contre les migrants qui se seraient alors naturellement dirigiés vers la Hongrie. En clair, des millions de réfugiés seraient restées bloqués dans les pays des Balkans. Le manque de stabilité politique dans les Balkans et les nombreux conflits ethniques et religieux qui ne sont pas surmontés font que la présence de nombreux migrants (on parle ici en millions de personnes) aurait probablement enflammé un nouveau conflit dépassant la région. Pour M. Münkler, l’Allemagne a choisi d’absorber les problèmes des Balkans.
Cette affirmation d’un éminent spécialiste, qui à d’ailleurs conseillé par le passé la chancelière allemande, est inquiétante ! Mme Merkel était donc clairement au courant du potentiel dévastateur de cette vague migratoire. Elle a sciemment laissé rentrer plus d’un million de migrants dans son pays. Le conflit qui aurait peut-être explosé dans les Balkans a maintenant pris place dans son propre pays. La Chancelière est non seulement responsable des tensions au sein de son pays, elle en est la principale coupable.
Avec sa politique de la porte ouverte, et actuellement la possibilité pour les migrants de demander le regroupement familial, Mme. Merkel est devenue un danger pour la stabilité de toute l’Europe.
Albert Leimgruber, 9.5.2018
- Lors d’un discours en 2016 à Heidelberg
- http://blog.nationalmuseum.ch/2018/03/herfried-muenkler-geschichte-und-gegenwart-des-krieges/
Elle a politiquement eu raison, les Allemands ont revoté pour elle. Pour les Allemands l’immigration islamique n’est donc pas un problème.
Je cite : ”La Chancelière Mme Merkle la bolchévik, est non seulement responsable des tensions au sein de son pays, elle en est la principale COUPABLE !”
Au lieu que le conflit avec les migrants/immigrés soit contenu dans les Balkans, elle a manœuvré pour que les conflit à venir soient étendus dans toute l’Europe ! Merci du cadeau empoisonné !
Alors comme ça, elle aurait sacrifié l’Allemagne pour sauver les Balkans. Du grand n’importe quoi. Elle a simplement fait venir les musulmans sur ordres ; afin d’affaiblir la société allemande de souche, pour le plus grand profit des industriels et autres financiers internationaux qui l’ont mis à la tête de la Chancellerie. Il y a belles lurettes que la plupart des politiciens prennent leurs ordres auprès de la finance et jurent la main sur le coeur, n’agir que pour l’intérêt général.
Vivement le clash final