Lors de son interview sur TF1 le 12 avril, le président de la République, Emmanuel Macron a dit être «intraitable» dans la lutte contre l'islamisme radical.
Il a d'ailleurs menacé : «Il y a des mosquées ou des gens qui ne respectent pas les lois de la République, prêchent des choses qui ne sont pas conformes aux lois de la République et conduisent à la violence. Celles-ci seront fermées».
Pour appuyer son discours, il a notamment cité trois fermetures de mosquées, depuis la loi antiterroriste votée à l'automne dernier, à Sartrouville, Aix et Marseille ; en réalité, elles avaient déjà été l'objet d'une fermeture avant le vote de cette loi. Emmanuel Macron a toutefois dénoncé la «profonde erreur» que constituerait une confusion entre «nos concitoyens qui croient en l'islam» et l'islam radical :
«L'extrémisme, le fondamentalisme religieux [...] c'est un problème dans notre pays [mais] il ne faut pas confondre ce problème avec tous nos concitoyens qui croient dans l'islam.» «Ce serait une erreur profonde», a-t-il ajouté.
«Ce fondamentalisme-là, cet islam radical [...], cet islamisme, ce n'est pas l'islam», a-t-il soutenu, en assurant que l'Etat «va poursuivre ceux qui font cela pour les expulser».
La France négocie-t-elle avec l'Arabie Saoudite pour les financements de mosquées ?
En outre, Emmanuel Macron a fait référence aux pays étrangers qui financent les lieux de culte musulmans : «Je veux que le financement étranger soit organisé sous le contrôle de l'État et transparent. Je ne veux plus de mosquées qui s'ouvrent avec des financements cachés».
Dans le sillage du nouveau «partenariat stratégique» signé le 10 avril avec le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed Ben Salmane, principalement axé sur la culture et le tourisme, Emmanuel Macron a évoqué en outre la possibilité d’une action conjointe avec Riyad. «J’ai reçu le prince héritier d’Arabie saoudite il y a deux jours, je lui en ai parlé et nous allons prendre des décisions aussi conjointes», a-t-il précisé. Emmanuel Macron a aussi fait savoir que l'Etat allait «mieux contrôler les écoles privées, en particulier hors contrat, avant qu'elles ne s'ouvrent mais aussi pendant».
Extrait de: Source et auteur
Quand il aura compris qu’entre islam et islamisme ce n’est qu’une question de temps il aura fait un immense progrès.
DOMAGE UN PAYS JOLIE COME LA FRANCE ETRE DANS CETE ETAT ;APRES CETE INVASION ;JESUIS PAS PLUS PASSEE MES VACANCE LA BAS::JE AI PEUR:
Bon acteur suite à ses cours de théâtre prodigués par Brigitte, il nous mène en bateau, du moins si on le croit!!!3 mosquée salafiste fermées bof!!! sur des centaines sinon toutes les mosquées qui se référent toutes au coran !!!+ de 200.000.000 d ‘infidèles massacrés par les mahométans depuis des siècles au nom d’Allah le dieu lune sanguinaire et de son suppôt Momo le pédophile Il me fait rire ce président qui fait la distinction entre islam et islamisme c’est la même chose donc il nous enfume comme ses prédécesseurs et l’ue et toute la racaille mondialiste!!!on ne se laissera pas faire ok???
Mais il n’a rien contre le financement de mosquées par l’Arabie Saoudite, pays démocratique respectueux des droits de l’homme d’après lui. Je ne lis pas assez la presse française mais il me semble qu’il n’y a que Marine Le Pen qui a réagi. La droite a l’air morte.
Financement étranger ou pas, NOUS ne voulons plus de mosquées ni de musulmans sur nos terres. La coupe déborde !
Le but de ce cirque est de nous annoncer que le contribuable et les saoudiens financeront désormais le culte musulman. Elle n’est pas belle, la vie ?
Il est très clair que la construction effrénée de mosquées continuera coûte que coûte. Pour les financements, il sera peut-être demandé un effort aux contribuables mécréants, hein… Pourquoi pas ???
Moi ça me ferait bizarre de fricoter avec un prince Saoudien…… mais bon, de nos jours, tout le monde se fout complètement de la place qu’il occupera dans les manuels d’histoire…. et notre époque sera peu reluisante….