Les socialistes autrichiens se lamentent de perdre le contrôle des chemins de fer d’Etat
Les ŐBB étaient jusqu’à présent un apanage du parti SPŐ, qui avant les élections s’était empressé de placer plusieurs personnalités de son bord dans le conseil d’administration de la société nationale des chemins de fer pour leur assurer une confortable prébende au cas où il n’y aurait plus de socialistes au gouvernement. C’est maintenant arrivé et le nouveau ministre des transports, Norbert Hofer, a fait appel, à la place de politiciens, à des experts proches du parti libéral pour leur succéder, ce qui a provoqué des réactions à gauche. La décision de remplacer l’ex-secrétaire d’Etat aux relations avec l’Union européenne Brigitte Ederer par Arnold Schiefer, un fonctionnaire de haut rang qui avait en son temps assaini la filiale du transport des marchandises de l’ŐBB, a particulièrement suscité l’ire du parti socialiste..
http://unser-mitteleuropa.com/2018/02/09/spo-jammert-uber-verlust-der-obb-pfrunde/
Traduction (Claude Haenggli) : Les socialistes n’ont pourtant pas réagi lorsque Christian Kern, alors directeur général des chemins de fer, est devenu chancelier. En effet, pas plus d’une semaine après lui succédait un autre membre du SPŐ, Andreas Matthä. Son prédécesseur était d’ailleurs lui aussi un social-démocrate, Peter Klugar. Le fait que d’autres personnes proches du SPŐ dirigent des entreprises nationales n’a pas non plus fait l’objet de critiques. C’est ainsi que le président de l’aéroport de Vienne et le directeur général de la radio-télévision d’Etat sont des membres du parti socialistes.
Avec mes meilleures salutations
Claude Haenggli, 11.2.2018
C’est exactement comme Jean-Noël Rey le cousin de la Calmy, avec les PTT. Tout bousiller pour vendre terrains et autres immeubles dans des conditions qu’il est trop tard d’analyser Toute l’économie suisse était portée vers la résistance à la guerre. Et d’un coup ils ont tout foutu en l’air pour s’enrichir et acheter des robots informatiques afin de centraliser le tri. En quelques bombardements, GRACE A CES SOCIALO-CAPITALISTES ON PEUT PARALYSER LA SUISSE ET LA RENDRE TOTALEMENT DEPENDANTE DU BON VOULOIR DE L’EUROPE. C’EST UNE VOLONTE DE CETTE POLITICAILLE. Avec les flux tendus et à l’absence de stocks, la Suisse est dans la merde.
Et si des militaires ont gueulé et qu’on ne les a pas entendus, c’est encore grâce à Swisscom-Billag et sa SSR, monopole de la gauche la plus extrême qui est placé dans la même position de démantèlement organisé. Mais il n’y a que la gauche qui a le droit de le faire pour s’enrichir, d’où le non soutien à NO-BILLAG. Swisscom était sûrement déjà en train de l’organiser dans l’ombre et a été tout simplement pris de court. Si le oui ne l’emporte pas vous pouvez être sûr que la suite sera un NO-BILLAG qui préserve toutes les magouilles socialistes.
C’est fou comme les socialistes savent s’emparer des institutions de l’Etat. A Genève c’est pareil surtout à la ville…