ndlr. LETTRE OUVERTE AUX DIRIGEANTS DE LA SSR, Michel Piccand
LETTRE OUVERTE AUX DIRIGEANTS DE LA SSR, de Michel Piccand
O8.02.2018
Une lettre ouverte a été envoyée ce jour au Conseil d’administration de la SSR. Elle reflète une position un peu différente sur la votation No Billag. Une position différente car la radio-télévision suisse appartient au peuple suisse et non pas à des dirigeants ou à des journalistes.
No Billag pose la question du financement de la SSR, mais ce n’est pas la seule question qui pose problème. Ce n’est pas juste le financement exagéré, la conception extraordinairement cupide et autoritaire de la redevance qui sont problématiques, c’est aussi et surtout la désinformation que pratique la radio-télévision publique.
On ne peut imaginer un peuple plus humilié que ça. Un peuple forcé de payer cher des journalistes qui le désinforme. Il faut le voir pour le croire.
Que No Billag passe ou non, le problème restera entier. La SSR ne va pas disparaître du seul fait de No Billag, il faudra d’autres décisions qui seront alors politiques.
Les dirigeants de la SSR ont fait bien attention de ne parler que de considérations financières, réduisant le problème à cette unique question. Et bien non, le premier problème de la SSR c’est celui de la désinformation, c’est celui des atteintes qu’elle porte à la souveraineté de notre peuple, et cela doit être maintenant porté sur la place publique.
Michel Piccand
Lettre envoyée au Conseil d’administration de la SSR le 8 février 2018.
LETTRE OUVERTE AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA SSR
(Société suisse de radiodiffusion et télévision)
À Mesdames et Messieurs,
Jean-Michel Cina, Marc Furrer, Ursula Gut-Winterberger, Jean-François Roth, Oscar Knapp, Luigi Pedrazzini, Alice Sachova-Kleisli, Andreas Schefer, Sabine Süsstrunk.
En ce mois de mars 2018 notre peuple va être appelé à se prononcer sur le financement de notre radio-télévision publique. Comme nombre de mes concitoyens j’écoute avec attention les arguments qui ont pris corps çà et là et je dois vous dire que j’éprouve un profond malaise. En Suisse romande des pans entiers de la population appellent à votre disparition, alors que vous faites semblant de ne pas vous en apercevoir…
Si je peux comprendre votre stratégie vous imaginez bien qu’aucune raison n’indiquera jamais que c’est ainsi que l’on résout les problèmes… Car problèmes il y a et ce ne sont pas ceux que vous décrivez.
Parce qu’enfin de quoi parle-t-on ? Le peuple va ici voter avec l’intention de supprimer le financement automatique dont vous jouissez par la redevance, certains avancent que c’est l’existence de la radio-télévision qui est en jeu, bien qu’à ce stade une telle disparition soit impossible puisque la SSR ne peut d’elle-même ni être dissoute ni renoncer à sa concession.
Le problème n’en reste pas moins crucial puisqu’une partie de la population veut désormais votre disparition pour des raisons politiques, à cause de la désinformation que pratique votre entreprise, parce que la SSR telle qu’elle est aujourd’hui est un problème politique pour la Suisse et pour la souveraineté de son peuple.
Pour ma part, s’il devait advenir que cette radio-télévision publique disparaisse suite à cette suppression de son financement, radio-télévision publique qui jusqu’à preuve du contraire appartient au peuple suisse, alors je pense que vous en serez responsables, personnellement responsables.
Parce que voyez-vous il faut quand même parfois dire la vérité, ou que quelqu’un vous la rappelle. Depuis plus de vingt ans, en Suisse-romande, la radio-télévision publique manipule l’information qui concerne nos relations avec l’UE, manipule l’information à propos de la libre circulation des personnes, voilà plus de vingt ans que la RTSR applique et soutient l’agenda politique des trois partis favorables à la libre-circulation et à l’Union européenne que sont le PLR, le PDC et le PS.
Il est devenu impossible aujourd’hui pour vous de le nier, des cas sont documentés, des milliers de personnes sont de cet avis. Et c’est pour cette raison qu’une partie de la population veut aujourd’hui votre disparition.
Près de vingt ans de manipulation de l’information. Et afin de vous éviter toute velléité de vouloir le contester voici deux preuves, l’une qui a eu lieu à la fin des années 90 au début où ces questions avec l’UE ont commencé à se poser, et une autre qui a lieu en ce moment même.
1.
À la fin des années 90, le Conseil fédéral écrivait en toute lettre dans ses programmes d’orientations politiques que son objectif stratégique à long terme était l’adhésion de la Suisse à l’UE, et je dis bien adhésion (FF 1994 I 180). Que son objectif était l’adhésion et ce « même si les moyens utilisés sont refusés par une partie de la population» (FF 1999 IV 3887) partie de la population en ce qui concerne l’adhésion qui représente plus de la moitié des citoyens suisses. Vous pouvez chercher dans vos archives vous ne trouverez aucune mention que vous en ayez jamais informé le peuple suisse.
Dans une démocratie directe informer les citoyens que leur gouvernement veut appliquer des orientations politiques contre leur volonté est une information capitale, essentielle. Si les citoyens ignorent de telles intentions alors ils ignorent tout de leur politique. Aujourd’hui encore un nombre considérable de Suisses ignore tout de ces intentions du Conseil fédéral d’adhérer à l’Union européenne. Tout simplement parce que vous ne l’en avez jamais informé, parce que vous l’avez dissimulé. Alors même que le mandat qui vous a précisément été confié par le peuple est de l’informer objectivement afin qu’il puisse se former librement son opinion, comme l’indique clairement l’article 93 alinéa 2 de notre constitution.
2.
Dix-sept ans plus tard, en 2016, (on passe les innombrables cas de désinformation continuelle survenus entretemps, ces cas sont documentés), alors que grâce à votre désinformation le peuple suisse est désormais pris dans un engrenage avec l’UE que vous avez donc contribué à lui faire accepter, que ce même peuple dans un vote souverain demande le 9 février 2014 le retour de sa pleine souveraineté en matière migratoire face à l’UE, que ce vote est bafoué par un parlement et un Conseil fédéral qui refusent totalement de l’appliquer, qu’il y a une violation totale du fonctionnement de nos institutions, une violation totale de nos principes démocratiques, qu’il y a constitutionnellement un coup d’Etat, vous passez (à nouveau) toute cette réalité sous silence pour inventer une version abracadabrante des faits en racontant au peuple qu’une solution a été trouvée au vote du 9 février, que les partis politiques ont appliqué le vote, que vos journalistes désignent sous le terme purement inventé d’application light. Travestir plus la réalité est ici impossible.
Ces deux exemples montrent sans conteste que vous avez désinformé le peuple suisse sur des questions essentielles pour sa souveraineté.
Le propre des gens qui ont trop de pouvoir est qu’il arrive toujours un moment où ils finissent par ne plus s’en apercevoir. Ce qui vous a permis de survivre politiquement jusqu’ici c’est le pouvoir excessif qui vous a été confié, c’est les moyens financiers incroyables que le peuple met à votre disposition. C’est la difficulté d’aller en justice pour vous contrer.
La simple logique permet cependant de comprendre qu’il n’est jamais possible qu’un excès ne trouve sa fin, que ce n’est jamais qu’une question de temps. Un nombre certain de citoyens veut aujourd’hui votre disparition, ce n’est pas un hasard.
Il y a une chance cependant qui est la vôtre, c’est que nous vivons dans une démocratie. Mes semblables, la culture de cette société dans laquelle j’ai eu la chance de naître, m’ont appris que s’il existe une possibilité de tendre la main et de trouver une solution alors on doit chercher ce chemin.
J’ai déposé récemment une plainte pour désinformation contre votre entreprise, le journal du 19h30 de la RTS, vous la trouverez jointe à ce pli (réclamation du 18.12.2017).
Si votre Conseil d’administration reconnait le contenu de cette plainte avant la votation, reconnait que depuis plus de vingt ans la SSR viole son mandat d’information du peuple sur les questions européennes et de souveraineté de notre nation, qu’il reconnait que le peuple a été désinformé et qu’il propose une réforme politique de son entreprise, notamment par la mise en place de journalistes et de rédactions politiques reflétant (ce qui n’est pas le cas aujourd’hui) l’attachement profond des Suisses à leur indépendance et à leur souveraineté, alors je pense, certainement comme des milliers d’autres citoyens, qu’une autre base de discussion pourrait naître dans notre pays.
Dans le cas de cette plainte je demande précisément que vous expliquiez comment il est possible que l’inapplication totale de deux dispositions constitutionnelles votées par le peuple n’ait pas été présentée au public pour ce qu’elle est, c’est-à-dire un coup d’Etat, une violation de notre constitution et un empêchement du fonctionnement normal de nos institutions. Je vous demande de l’expliquer, c’est-à-dire de nous dire d’où vient l’intention de cacher la réalité au peuple, de qui elle vient et ce qui a rendu possible une telle désinformation. Je pense également que vous devrez présenter des excuses et faire des propositions concrètes pour que cela ne puisse plus jamais se reproduire.
Dans le cas inverse, sans réponse de votre part, vous imaginerez sans peine dans quel sens ira mon vote et celui de milliers de concitoyens, et vous prendrez par conséquent l’entier de vos responsabilités. Car vous n’avez eu aucune pitié ni pour la souveraineté de notre pays ni pour la conscience de millions d’hommes et de femmes de ce pays. Si vous persistez à être un problème politique la nature des choses elle-même exige que vous soyez traités comme un problème politique.
Je vous prie, Mesdames et Messieurs, de croire à l’expression de ma considération la plus réservée.
Michel Piccand
N.B. Vous n’êtes pas sans savoir qu’en tant que membres du conseil d’administration, si votre entreprise viole la loi, que vous en êtes informés (c‘est le cas désormais) et que vous n’agissez pas, alors votre responsabilité personnelle peut-être engagée.
Copie de la présente lettre est adressée à des médias de réinformation, envoyée à vous-même et à l’ATS (Agence Télégraphique Suisse).
Annexe : la plainte précitée.
LA PLAINTE POUR DÉSINFORMATION EST PUBLIÉE ICI :
https://mouvement-9fevrier.org/actions-en-cours/plainte-pour-desinformation-contre-la-rtsr/
Il faut actionner la justice pour annuler la votation qui ne respecte pas la constitution pourquoi les politiques ne le font-ils pas?
Enfin quelqu’un qui parle du véritable fond du problème et de ses enjeux.
Ce n’est pas le prix de la redevance le problème. C’est la ligne politique des gens qui en bénéficie et en abuse.
Même pour Fr. 1. — par année , ce serait trop cher payé pour se faire entuber comme nous le sommes actuellement, par cette mafia auto-proclamée de la bien-pensance.
Nous ne voulons plus financer la désinformation et la propagande de ces traîtres.
NO BILLAG.
BRAVO! NOUS TOUCHONS LA AU COEUR DU PROBLÈME!
Et comme je l’ai déjà dit, il faut interdire la publication de sondages concernant les votations, 70 à 80% de la population forge son opinion sur la base de ce que pensent les autres, se sont des suiveurs, ils ne veulent pas se disqualifier du groupe. Dès lors nous pouvons dire que ça n’est pas l’opinion publique qui fait les sondages, mais les sondages qui font l’opinion publique! Les sondages sont donc un outil de manipulation de masse totalement anti-democratique!
oui, vous avez raison, les journalistes de la RTS n’ont pas un grand souci de l’objectivité dans l’information mais ils tentent plutôt de “faire l’opinion”selon leur ligne rédactionnelle dans bien des domaines. Dans la campagne de no billag, ils ont de plus l’arrogance de nous dire que seul le service public est à même de fournir une information fiable. Par cet argument , ils insinuent que les humains qui travaillent dans le service public ont une meilleure éthique que les humains qui travaillent dans le privé. Cet argument représente une forme d’insulte pour approximativement 70% des citoyens de ce pays. Répondons aux journalistes de la RTS par un oui à no billag !
Vous êtes tous formidables dans vos écritures,que cela me fait un bien particulier,de constater que tout n’est pas perdu dans cette lutte contre ces socialogauchosbolchèviques anti-patriotiques,pro EU,pro migrants,poussant ainsi notre population jeunes et moins jeunes au départ volontaire.Monsieur Piccand votre texte est tout simplement magnifique,les commentaires en réponse à vos écrits le prouve encore une fois.Votre place est certainement au CF,choutez moi ces gonzesses de ce palais fédéral!
Bravo et merci M Piccand.
Une preuve récente et flagrante de la volonté de désinformation de la part des rédactions RTS fut la diffusion d’une vidéo truquée du discours du Président Trump à Davos. Le son de la video RTS avait été truqué (effacement des applaudissements et des rires et amplification des booos !) . Une diffusion accompagnée d’un commentaire du redacteur en chef ” Trump hué à Davos”- La comparaison avec la video originale sur le serveur du WEF constitue la preuve d’une volonté de manipulation de l’opinion. Un fait qui ne prête pas à interpretation, une preuve.
La RTS avait également informé le peuple Romand de manière très tendancieuse et lacunaire avant la votation concernant le tournant énergétique.
Vous avez raison, cela a assez duré.
La suspension de Madame Poste Suisse était très certainement dans les tiroirs prête à faire diversion contre les abus et les combines manifestes qui jalonnent l’exploitation de la SSR. Sans parler des pédophiles couverts par le système, ils semble bien, que la Leuthard aurait pu suspendre depuis bien longtemps quelques grands guignols du mamouth SSR-Swisscom-Billag etc. Mais comme cette hypothèse aurait pu nuire au non à NO-BILLAG, et que les sondages y étaient encore favorable, le plan B de diversion grâce à CarPostal était déjà prêt pour exécution.
4000 CHÔMEURS SOCIALISTES SSR CONTRE 5’500 CHÔMEURS DE TOUTES TENDANCES, N’EST-CE PAS FAIRE LE JEU D’UNE DICTATURE CONTRE LE PEUPLE ?
Il semble que parmi les hypothèses anti-NO-BILLAG, la mise au chômage de 4000 employés ait été avancée si ces taxes arbitraires ne pouvaient pas être ponctionnées dans les entreprises. Le problème, quand on connaît le système, c’est qu’on peut largement supposer, vu les salaires SSR surfaits, que ce sont alors 5000 ou 5500 salariés de l’industrie moins bien payés et plus représentatif d’un VÉRITABLE PLURALISME POLITIQUE QUI EUX POURRAIENT ÊTRE VICTIMES D’UNE DEFAITE DE NO-BILLAG. C’est donc un choix numérique et aussi de pluralisme politique, parce que cet arithmétique doit aussi être introduite POUR DEMONTRER QUE LE RACKET BILLAG AUX ENTREPRISES CREERA ENCORE PLUS DE CHÔMEURS AVEC UN NON A NO-BILLAG !
Tout autant que la Leuthard va se sortir indemme du scandale de Postauto en sacrifiant un fusîble, les plaintes individuelles concernant la RTS vont glisser sur elle comme sur les plumes d’un canard, car elle a truffé cette officine de propagande de ses alliés politiques à tous les étages. Ne vous bercez pas d’illusions: seule une victoire dans les urnes ou une plainte collective massive et bien organisée pourront nous sauver des griffes de ce Leviathan orwellien.
Le 4 mars, votez et surtout faites voter autour de vous vos amis, vos connaissances, votre famille; c’est une chance inouïe que nous avons en Suisse par la démocratie directe de pouvoir se débarrasser de ce lavage de cerveau perpétuel de notre population qui s’appelle la SSr.
Félicitations et un grand MERCI, Monsieur Piccand, pour votre action courageuse.
Oui, très bien Mr. Piccand.
Néanmoins une plainte individuelle à moins de poids ( aussi juridiquement très bien rédigée) qu’une plainte collective signée par x milliers de personnes. Les USA sont fortiches en la matière.
Ce qui est le plus étonnant est que le Gouvernement Suisse ne soit jamais intervenu. Dès lors que leur attitude était flagrante et anticonstitutionnelle. Et pourquoi?
La RTS est bien un organe public payé par les contribuables possédant une Radio et une TV.
Comment un petit groupe de journalistes peut monopoliser un organe public en sa faveur et exercer une propagande idéologique sans être autrement dérangé ou rappeler à l’ordre.
La neutralité a été bafouée pendant des années en toute impunité dans ce pays. Aussi bien à la radio qu’à la Télévision.
Nous ne sommes pas en Régime Totaltaire Soviétique ? Eh bien oui, nous le sommes. Et c’est inacceptable.
Ces personnes se permettant ce genre d’exercice doivent être renvoyées ainsi que leurs directeurs, au plus haut niveau. Ils ont enfreint toutes les lois. Il n’y a plus d’excuses surtout à si long terme.
Il fut un temps où les auditeurs et téléspectateurs étaient sensés donner leur avis sur les émissions. C’est terminé. Même les SMS sont triés sur le volet à 10 contre 1 en leur faveur, pas Mamar ? dictateur en chef de la TV romande. L’horreur, cette femme. Dehors.
Il est plus que temps de faire ménage dans ses écuries.
Si No-billag perd, il sera important de compter sur l’opposition des citoyens et revendiquer des droits,.sSi elle gagne ( mon vœu) encore mieux.
J’en arrive à ne même plus écouter des nouvelles importantes de notre pays tant j’ai la nausée de les entendre, c’est peu dire!
Quel excellent travail, dont je vous remercie, tout en doutant qu’il aboutisse à un résultat concret. Sauf si nous gagnons la votation. Entre temps nos adversaires vont hausser les épaules et continuer à faire rouler imperturbablement le rouleau compresseur de leur lavage de cerveau orwellien…
Le problème c’est que ce genre de texte, ils s’en fichent. Vous n’en avez même pas idée!
Vous pensez avoir affaire à des gens normaux pour qui les arguments fonctionnent, qui se remettraient en question, qui possèdent une conscience. Ce n’est pas du tout le cas. Vos deux exemples Monsieur Piccand prouvent à quel point ils se sont acharnés contre la vérité depuis longtemps. La remise en question d’un tel système est donc impossible pour ces gens puisqu’ils considèrent tout cela comme normalisé, pour “le bien du peuple malgré lui”. D’où l’immense arrogance dont ils font preuve pour nous “éduquer”.
Pensez bien que cela fait des dizaines d’années que des gens leur écrivent sans aucun changement. Cela doit même les faire rire.
D’ailleurs, quel serait le visage de la Suisse sans ces “journalistes” puisqu’ils ont pu biaiser nombre de votations et d’élections? Cette télévision est responsable de nombreuses souffrances vis-à-vis de notre peuple, rien qu’en considérant tous les criminels qui ont pu agresser les nôtres grâce à la libre circulation.
https://lesobservateurs.ch/2017/11/23/suisse-un-specialiste-du-renseignement-economique-devoile-le-pot-aux-roses-en-controlant-la-radio-et-la-television-on-peut-gagner-des-elections/
Bravo et merci tout est écrit…seul les menteurs le nieront…et ça !!! l’on sait qui c’est.
Bravo et merci
Ce qu’écrit Monsieur Piccand reflète exactement ce que je pense du rôle que s’est attribué la SSR, je ne pense pas que c’est un problème uniquement romand. C’est la raison pour laquelle je voterai sans état d’âme pour NO BILLAG car je doute d’une remise en cause de l’attitude de ces équivalents de roitelets nègres, administrateurs de la SSR.
La Confédération aura toute lattitude d’avoir des exigences sur le contenu des différentes concessions qu’elle mettra aux enchères, pour autant qu’elle soit honnête.
Excellent Monsieur Piccand , votre place est au CF à la place d’un des nains actuels.
Magnifique lettre ! Grand merci de prendre si bien en main ce problème !
Cela m’a frappé aussi à quel point on met l’accent uniquement sur les aspects financiers et de cohésion de la Suisse, encore une fois pour manipuler les votants.
Personnellement, je ne suis ni contre le fait de payer une redevance, ni contre le fait d’avoir une radio fédérale. En revanche, si cette radio – qui sur le plan culturel est fort bonne, et je regretterais d’en voir disparaître ce domaine -, sert de propagande à des partis politiques, tels le P.L.R., le P.D.C. et le P.S., dont le grand but est de dissoudre la Suisse dans cet empire quasi dictatorial qu’est l’Union européenne, alors non, c’est-à-dire oui à no-Billag !
Je suis horrifié et terriblement irrité chaque fois que j’entends un débat contradictoire, lors duquel il a bien fallu inviter un opposant, c’est-à-dire un représentant de la souveraineté suisse, car ce pauvre représentant est moqué, vilipendé, voire traîné dans la boue, et cela quand on lui laisse la parole. Sans compter toutes les émissions socio-politiques, toujours tournées dans le même sens, avec des pontes invités, souvent français – comme si en Suisse on n’a que des bâblets -, qui viennent encore servir cette propagande pro-internationaliste et pro-européiste ; ils ne contribuent donc absolument pas à la cohésion de la Suisse, et cherchent à influencer l’opinion, comme si ce qui est écrit dans la brochure d’explication de la votation était appliqué, mais dans un sens seulement : « Selon la Constitution, la radio et la télévision doivent contribuer à la formation et au développement culturel, à la formation de l’opinion… »… “contribuer à la formation de l’opinion” : quel programme ! Car pour la RTS, cela signifie simplement former l’opinion c’est-à-dire manipuler le public.
Tout est dit dans la belle lettre de Michel Piccand, et si les journalistes socio-politiques de la RTS ne deviennent pas réellement neutres, alors une radio fédérale n’a aucun sens.
Btavo Monsieur Piccand.
Si seulement on pouvait vous mettre à la place de Parmelin….